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teresa palmer

  • Point Break

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    L'adrénaline offert par les sports extrêmes c'est ce qui séduisait Johnny Utah (Luke Bracey) mais sa vision des choses a changé du jour au lendemain avec la mort de son pote d'enfance Jeff (Max Thieriot). On le retrouve 7 ans plus tard alors qu'il est sur le point de rejoindre les rangs du FBI qui enquête actuellement sur des affaires de braquages atypiques. Un gang a en effet dérobé des diamants puis des liasses de billets en s'échappant par la voie des airs et tout semble indiquer qu'ils vont frapper de nouveau. Johnny a en effet découvert que leurs différents exploits correspondent aux 8 défis d'Ozaki réputés comme surhumains.

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    La vague des reboots hollywoodiens aura donc emporté Point Break et comme je ne connais pas l'original à ce jour, il n'y a pas trop d'appréhensions à découvrir cette version actualisée. L'accent est donc mis sur les sports extrêmes avec des phases de surf, des sauts en wingsuit ou encore de l'escalade et si cela n'offre pas forcément des sensations fortes il y a tout de même quelques belles images à découvrir. On ne va pas trop s'appesantir sur les personnages sans charisme et ce scénario dérisoire qui n'est qu'un prétexte pour lancer les différentes exploits. A la limite faites donc un tour sur Youtube ou Dailymotion, ça vous fera gagner du temps !

     

    Il faut le voir pour : Choisir votre voie !

  • Warm bodies

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    Ça fait des jours et des jours que notre pote R (Nicholas Hoult) traine dans cet aéroport et pour cause c’est un mort-vivant ! Alors qu’il partait à la recherche d’un petit en-cas, il tombe sur un groupe d’humains parmi lequel se trouve la belle et très vivante Julie (Teresa Palmer). Vous ne le croirez peut-être pas mais notre zombie a un vrai coup de foudre et après avoir dégusté un peu de cervelle, il réussit à la ramener dans son antre ; un avion abandonné. Evidemment, Julie a du mal à comprendre ce qui lui arrive mais s’aperçoit rapidement que R ne lui veut pas de mal bien au contraire et si ces morts-vivants étaient capables de redevenir les êtres humains qu’ils étaient avant ?

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    Le zombie fait toujours recette au petit comme au grand-écran mais avec Warm bodies on change les habitudes puisqu’on nous réserve une petite comédie romantique ! Mais oui après les vampires et les loups-garous,  les mort-vivants ont eux aussi le droit d’aimer et ça pourrait même les conduire à une guérison inespérée. Une idée plutôt amusante pour une comédie qui se contente du strict minimum car on ne peut pas dire qu’on s’éclate à faire réveiller des morts. C’est sur qu’on passe un moment sympathique en compagnie de nos héros mais l’histoire adopte un schéma convenu ce qui enlève pas mal de charme au film.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que tous les chômeurs portent des sweat-shirts à capuche !

  • Numéro quatre

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    En apparence notre pote John Smith (Alex Pettyfer) a tout du lycéen ordinaire mais en réalité ce jeune homme est en fait un extraterrestre originaire de Lorien. Cette planète fut dévastée par les Mogadoriens et il ne reste aujourd’hui plus que 9 rescapés qui ont trouvé refuge sur Terre. Trois d’entre eux ont déjà été traqués et tués par les mogs et John est le numéro 4, il est leur prochaine cible. Pour garder son identité secrète, John et son protecteur Henri (Timothy Olyphant) ont donc été forcés de déménager une fois encore et c’est cette fois dans l’Ohio qu’ils atterrissent. Cependant, leur couverture va vite disparaitre car John a la fâcheuse tendance à se faire remarquer partout où il passe !

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    En parcourant le scénario, on se disait que Numéro quatre avait un bon potentiel pour s’imposer dans le cinéma d’action. On déchante rapidement car en dehors des 5 premières minutes et du dernier quart d’heure, il ne se passe rien ! Ah, si tout de même on a droit aux états d’âmes d’une pâle copie de Clark Kent qui se désespère de sa solitude mais qui trouvera toutefois le bonheur dans les bras d’une belle blonde. On se croirait dans un mauvais épisode de Smallville et on ne croit pas si bien dire puisque c’est le duo Alfred Gough & Miles Millar (ba justement les scénaristes de la série) qui se sont chargés d’adapter le roman de Pittacus Lore sur le grand écran. Un film qu’on laissera de coté sans grands regrets.

     

    Il faut le voir pour : Se dire qu’on a eu de la chance d’échapper aux 3 premiers !

  • Soumission

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    Avec un cadavre planqué dans le coffre de leur voiture, Dale & Ron (Teresa Palmer & Travis Fimmel) sont en cavale et plus le temps passe, plus l’étau se resserre autour d’eux. Les poches vides, ils ont absolument besoin d’argent avant de continuer leur route et ils s’arrêtent donc dans la première maison qu’ils croisent, celle-ci appartenant à Andrew (Stephen Moyer). Cet homme vit seul depuis que sa petite-amie l’a quitté et il a la particularité de souffrir d’agoraphobie. Soumis aux menaces du couple, il leur propose 40 000 dollars australiens mais pour cela Dale va devoir se faire passer pour sa petite-amie.

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    Un jeune couple façon Bonnie & Clyde, un mec un peu louche et une belle somme d’argent ; voici lancée l’histoire de Soumission. Thriller psychologique reposant sur une relation des plus ambigües entre ses 3 personnages, le film n’est pas désagréable. On se laisse prendre par le scénario bien que l’on devine assez vite qu’Andrew ne sera pas une victime ordinaire et qu’il va nous réserver quelques surprises. Bref, il ne faut pas s’attendre à un grand film mais ça reste tout à fait raisonnable et puis ça vous permettra de découvrir un peu plus le cinéma australien.