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jonathan levine

  • Warm bodies

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    Ça fait des jours et des jours que notre pote R (Nicholas Hoult) traine dans cet aéroport et pour cause c’est un mort-vivant ! Alors qu’il partait à la recherche d’un petit en-cas, il tombe sur un groupe d’humains parmi lequel se trouve la belle et très vivante Julie (Teresa Palmer). Vous ne le croirez peut-être pas mais notre zombie a un vrai coup de foudre et après avoir dégusté un peu de cervelle, il réussit à la ramener dans son antre ; un avion abandonné. Evidemment, Julie a du mal à comprendre ce qui lui arrive mais s’aperçoit rapidement que R ne lui veut pas de mal bien au contraire et si ces morts-vivants étaient capables de redevenir les êtres humains qu’ils étaient avant ?

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    Le zombie fait toujours recette au petit comme au grand-écran mais avec Warm bodies on change les habitudes puisqu’on nous réserve une petite comédie romantique ! Mais oui après les vampires et les loups-garous,  les mort-vivants ont eux aussi le droit d’aimer et ça pourrait même les conduire à une guérison inespérée. Une idée plutôt amusante pour une comédie qui se contente du strict minimum car on ne peut pas dire qu’on s’éclate à faire réveiller des morts. C’est sur qu’on passe un moment sympathique en compagnie de nos héros mais l’histoire adopte un schéma convenu ce qui enlève pas mal de charme au film.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que tous les chômeurs portent des sweat-shirts à capuche !

  • 50/50

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    Pour Adam (Joseph Gordon-Levitt), il était temps que leur relation passe un cap et quand un homme propose à sa petite-amie de faire une place parmi ses affaires, c’est que ça devient réellement sérieux ! En couple avec Rachael (Bryce Dallas Howard), c’était l’évolution la plus logique mais cela ne semble pas vraiment enchanté son pote d’enfance Seth (Seth Rogen) qui ne supporte pas cette soi-disant artiste. Les choses vont devenir autrement plus compliquées lorsqu’Adam apprend qu’il a contracté un cancer et d’après les renseignements glanés sur le net, ses chances de guérison sont de 50/50. Beaucoup de choses vont changer dans sa vie à commencer par une rupture puisqu’il apprend que Rachael a une liaison avec un autre homme.

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    Comment continuer à vivre lorsque la mort plane au-dessus de votre tête, c’est un peu la sale période que traverse le héros de 50/50. Avec son visage de gendre idéal, Joseph Gordon-Levitt ne s’est pas vu proposé beaucoup de premiers rôles et sa prestation ici mériterait que l’acteur soit un peu plus sous les feux des projecteurs. Malgré son sujet larmoyant, ce film de Jonathan Levine sait nous donner le sourire et la présence de Seth Rogen n’y est certainement pas étrangère. On évite les clichés inhérents au drame de ce genre et même s’il ne restera pas gravé dans nos esprits, ça n’en reste pas moins un bon film.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’emprunter le rasoir de votre pote, vous ne savez pas ce qu’il peut en faire.

  • Tous les garçons aiment Mandy Lane

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    Tous les garçons du lycée se damneraient pour sortir avec la belle Mandy Lane (Amber Heard) mais jusqu’à ce jour, on ne l’a jamais vu au bras d’un garçon. Afin de fêter dignement la fin de l’année scolaire, Red (Aaron Himelstein) a convié quelques potes d’enfance dans un ranch appartenant à sa famille. Parmi les invités, il est parvenu à faire venir Mandy et les 3 garçons présents ont bien l’intention de tente leur chance. Sexe et alcool, le séjour part sur de bonnes bases mais lorsque la nuit tombe, survient alors les premiers meurtres perpétrés avec une grande sauvagerie.

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    En parcourant rapidement le scénario, on a vite à l’idée que Tous les garçons aiment Mandy Lane sera identique à tous ces slash-movies qu’on a déjà pu voir par le passé. Ce n’est pas complètement faux si ce n’est qu’ici, l’intrigue est traitée de façon plus formelle. On ne s’égare pas par exemple dans des ficelles faciles comme désigner tour à tour chaque personnage comme le potentiel assassin, la réponse nous est donnée dès le début de l’histoire. Coté réalisation, Jonathan Levine maintient une atmosphère assez lugubre et signe un film réussi mais sans grande originalité qui aurait peut-être mérité une petite sortie en salle quand on le compare à d’autres productions du même genre.