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Tommy Lee Jones

  • The homesman

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    La solitude, notre pote Mary Bee Cuddy (Hilary Swank) a été obligée de s’y habituer elle qui vit dans une ferme du Nebraska. Difficile pour elle de trouver un mari, il n’y a donc rien qui la retient dans cette ville de Loup aussi semblait-elle être la personne idéale pour ce voyage. Trois femmes ont en effet perdues l’esprit et il a été convenu de les conduire jusqu’en Iowa où on saura prendre soin d’elles. Le hasard a désigné Mary Bee pour les accompagner mais ce voyage s’annonce dangereux et surtout éprouvant aussi cela requiert la présence d’un homme à ses cotés. C’est ainsi qu’un certain George Briggs (Tommy Lee Jones) va se retrouver lui aussi embarqué pour ce voyage.

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    Adaptation du roman Le charlot des damnés de Glendon Swarthout, The homesman est surtout un projet dans lequel s’est entièrement impliqué notre pote Tommy Lee Jones. A la fois producteur, scénariste, réalisateur et acteur ; il nous offre un western âpre où il partage l’affiche avec une Hilary Swank comme souvent impériale. D’ailleurs, il ne faut pas se le cacher ; ce duo constitue la seule véritable attraction d’un film à la mise en scène classique qui n’ose pas grand-chose ce qui finit par rendre le temps long. Un road-movie qu’on découvrira essentiellement pour le talent de ses interprètes mais qui risque d’en décourager beaucoup par sa lenteur.

     

    Il faut le voir pour : Penser à garder du fromage sur vous si vous voulez vous marier.

  • The homesman

    Notre pote Tommy Lee Jones revient à la réalisation avec The homesman mais il sera aussi présent devant la caméra. Il va être sauvé par Hilary Swank qui lui demande en contrepartie de l'accompagner vers l'Iowa. Ils ne seront pas seuls puisqu'ils devront y conduire 3 femmes ayant perdu l'esprit.

    Date de sortie : 18 Mai 2014.


     

  • Malavita

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    Une nouvelle famille vient de déposer ses valises dans le petit village de Cholong-sur-Avre mais les Blake n’ont pas vraiment choisi leur destination. Depuis qu’ils ont quitté Brooklyn et surtout la Mafia, Maggie & Fred (Michelle Pfeiffer & Robert De Niro) accompagnés de leurs enfants Belle & Warren (Dianna Agron & John D’Leo) cherchent à se faire discret avec l’aide du FBI. Considérés comme des traitres, leurs têtes sont mises à prix et mieux vaut éviter de penser aux conséquences s’ils se faisaient un jour repérer. En attendant, ils vont pouvoir profiter d’une vie normale enfin presque puisqu’ils ne sont pas à l’abri d’un petit dérapage de temps à autre.

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    Pour adapter le roman de Tonino Benacquista, Luc Besson a vu les choses en grand puisque non content d’avoir Martin Scorcese comme producteur, il s’offre aussi les présences de Michelle Pfeiffer, Robert De Niro & Tommy Lee Jones. Au milieu de tous ces grands noms, la seule anomalie reste le réalisateur français qui prouve, une fois n’est pas coutume, avec Malavita qu’il a bien du mal à s’adapter à l’ère du temps. Des personnages sans saveurs aux clichés qui ne réussissent même pas à nous arracher un sourire en coin, difficile de s’emballer pour un film totalement dépassé et au final on ne peut que constater ce terrible gâchis.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller vos nouveaux voisins !

  • Lincoln

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    L’Amérique en 1865. Abraham Lincoln (Daniel Day Lewis) arrive au terme de son second mandat de Président des États-Unis mais avant de quitter les rênes du pouvoir, il tient à écrire l’histoire. La Guerre de sécession bat son plein, le Nord et le Sud du pays s’affrontent depuis 4 ans maintenant et Lincoln veut faire accepter le 13ème amendement, celui qui permettra de promulguer l’abolition de l’esclavage. Pour cela, l’amendement doit être adopté aux 2/3 et s’il peut compter sur la majorité républicaine, il lui manque toutefois 20 voix démocrates. Son équipe va donc être chargée de convaincre ces anciens opposants de voter en faveur d’un amendement qui changera à jamais l’histoire des États-Unis.

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    16ème Président des Etats-Unis, Abraham Lincoln restera pour l’histoire celui qui a permis de libérer les esclaves noirs. Un acte fondateur qui trouve d’autant plus d’écho dans un pays qui a réélu à sa tête Barack Obama témoignant de l’incroyable chemin parcouru en 150 ans d’histoire. Le biopic de Spielberg se concentre donc sur cette période charnière où le Président tente de rallier à sa cause d’anciens opposants et c’est à peu près tout. Lincoln se repose ensuite sur une réalisation que l’on sait maitrisée et sur les prestations de Daniel Day Lewis et Sally Field qui ne parviennent pas à faire digérer pas mal de longueurs puisque le film s’étale quand même sur 2H29 ! Un film solide mais pas forcément très passionnant pour le spectateur.

     

    Il faut le voir pour : Prendre un cours d’histoire.

  • Tous les espoirs sont permis

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    31 ans de mariage ! Pour certains couples, ce serait un évènement mais pour nos potes Kay & Arnold Soames (Meryl Streep & Tommy Lee Jones), c’est devenu presque anecdotique. La passion semble avoir quitté le couple et ce depuis bien longtemps déjà puisque tous deux sont embrigadés dans un quotidien routinier les conduisant jusqu’à faire chambre à part. Kay se dit qu’il faut réagir et prend donc l’initiative de les inscrire à une thérapie proposée par le Docteur Bernie Feld (Steve Carrell). En apprenant cela, Arnold est loin de se réjouir d’autant plus que cela coute une vraie fortune ! Il accepte à contrecœur d’accompagner sa femme et ce voyage est certainement la dernière chance de ce couple de sauver leur mariage.

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    A notre époque, on pourrait presque croire que l’amour éternel est une belle utopie or c’est une flamme qu’il faut apprendre à raviver de temps à autre (snif… c’est beau !). C’est l’histoire du couple Meryl Streep/ Tommy Lee Jones parti à la recherche de cette petite étincelle et l’occasion de nous pondre une comédie qui nous fera vite déchanter. Tous les espoirs sont permis mais aucuns ne se concrétisent ; le duo de comédiens est bien sympathique mais ne masque pas une histoire sans caractère. A quoi bon inviter Steve Carrell à cette thérapie si ce n’est simplement pour lui faire porter des cravates en laine ; David Frankel nous gratifie d’un film soporifique et qui ne trouvera audience qu’auprès d’un public d’un certain âge (jusqu’à provoquer des applaudissements dans la salle, véridique !).

     

    Il faut le voir pour : Donner un vrai baiser à votre femme lorsque vous partez travailler !

  • Men In Black 3

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    Sur la prison de Lunar Max, le chaos a pris place suite à l’évasion d’un dangereux criminel Morris l’animal (Jemaine Clement). Tueur en série redoutable, il avait été appréhendé il y a 40 ans par l’agent K (Tommy Lee Jones) et désormais il compte bien se venger ! Son objectif est simple : lors de sa détention, il a entendu parler d’un appareil capable de remonter le temps et il va donc réécrire l’histoire. Il parvient ainsi à faire disparaitre K et à l’effacer de la mémoire de tous excepté de son pote et partenaire l’agent J (Will Smith). Ce dernier va devoir à son tour voyager dans le temps pour stopper Morris mais se faisant il va également croiser un agent K (Josh Brolin) qui ne le connait pas encore.

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    Et vlan, voici venir notre Men In Black 3 qui cette fois abat la carte du voyage dans le temps avec bien entendu son lot d’extraterrestres. Après un 2nd épisode franchement décevant, on s’attendait à ce que Barry Sonnenfeld redonne ses lettres de noblesse à la saga hélas c’est un vœu pieu ! L’intrigue est simpliste au possible, Will Smith & Tommy Lee Jones quant à eux reprennent leurs rôles sans trop y croire et l’ennui finit naturellement par nous gagner tandis qu’on laisse le film tourner à vide. Seules choses positives Josh Brolin parfait en clone rajeuni de l’agent K et le petit secret dévoilé sur les origines de J. A l’instar de son prédécesseur, on est loin de retrouver les qualités du 1er volet et à moins d’être un grand fan, inutile de se précipiter dans les salles.

     

    Il faut le voir pour : Prendre un verre de chocolat au lait après la séance.


    En savoir plus sur Men In Black ?

    En savoir plus sur MIIB ?

  • MIIB

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    Nouvelle affaire pour l’agent J (Will Smith) ; on a signalé un assassinat d’alien contre alien dans une pizzeria et lorsqu’il arrive sur les lieux, il n’y a plus que Laura (Rosario Dawson) seule témoin du drame et encore sous le choc. C’était irréel ; son patron sous la menace d’une femme s’est complètement évaporé, il ne reste de lui que son enveloppe charnelle gisant sur le sol. J entend alors parler de la Lumière de Zartha, une énorme source de pouvoir qui serait sur Terre mais la seule personne qui pourrait en savoir plus à ce sujet est l’ancien agent K (Tommy Lee Jones). Ce dernier avait été neuro neutralisé et travaille aujourd’hui comme facteur et il va falloir le sortir de sa retraite.

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    La logique du box-office a parlé et nos agents préférés ont repassé leurs costumes pour effectuer leur retour. Si on éprouve une certaine satisfaction de revoir nos 2 héros, l’effet de surprise n’est plus de mise pour nous séduire, un handicap qui n’est aucunement compensé par un scénario beaucoup trop sommaire. Le retour de K aux affaires nous réserve quelques bons moments et en dehors de ça et un caméo de Michael Jackson, il n’y a pas grand-chose d’autre à se mettre sous la dent. Il faut aussi dire que sorti en 2002, MIIB n’a pas lésiné sur les effets spéciaux qui ont rapidement et mal vieilli ce qui rend parfois le film indigeste. Une suite purement commerciale qu’on préférera oublier, il est où ce neuro neutraliseur ?

     

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  • Men In Black

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    Pour beaucoup d’entre nous, l’existence des extraterrestres n’est qu’un fantasme de l’homme et pourtant cela fait des années qu’ils cohabitent avec nous. L’agent K (Tommy Lee Jones) est d’ailleurs bien placé pour en parler puisqu’il est chargé de réguler les migrations sur notre bonne vieille planète ; il est un Men In Black ! Pour l’heure, il doit trouver un nouvel équipier capable de l’épauler et surtout prêt à tout abandonner pour cette mission d’un genre particulier. C’est ainsi qu’il tombe sur l’agent de police James Edwards (Will Smith), un flic dynamique de New York qui va devenir l’agent J. Un travail pour le moins insolite et les débuts sont assez mouvementés car qui aurait cru que nous étions entourés par des milliers d’extraterrestres !

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    Si ce film n’a pas vraiment les atouts pour être une grande œuvre cinématographique, il faut quand même reconnaitre que Men in Black a marqué une génération. Plusieurs éléments sont devenus des références à commencer par le costume impeccable des agents accompagnés de l’accessoire indispensable que sont leurs lunettes noires mais aussi le désormais célèbre neuro neutraliseur. Reprenant le concept du duo comique au sein d’une histoire aussi drôle, décalée et innovante ; Barry Sonnenfeld n’a pas eu de grandes difficultés pour imposer son film. Que du fun donc en compagnie des agents J & K et on ne rechigne jamais à rejeter un œil à leurs aventures !

     

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  • J - Men in black

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    J : Tu as vendu un carboniseur azimuté réverbérant à capacité accrue à un clandestin céphalopoïde, Jeebs. Espèce de trouduc !

  • Captain America : First Avenger

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    1942. Hitler et l’armée nazie sème terreur et désolation en Europe et l’aide militaire américaine est la bienvenue. Steve Rogers (Chris Evans) veut rejoindre l’armée malheureusement pour lui sa frêle apparence et sa santé fragile jouent en sa défaveur néanmoins son abnégation impressionne. C’est d’ailleurs ce qui a persuadé le Dr. Abraham Erskine (Stanley Tucci) de le choisir pour expérimenter une formule capable de le transformer en un soldat aux capacités extraordinaires. Alors que Steve découvre avec stupéfaction son nouveau corps, le Dr. Erskine est tué par un espion allemand et disparait avec lui le secret de la formule. D’abord considéré comme un simple porte-parole, celui que l’on appelle Captain America va rapidement devenir un héros dans cette guerre et devra affronter l’armée du terrible Red Skull (Hugo Weaving).

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    C’était l’adaptation à ne pas louper d’une part parce que Captain America n’est pas qu’un simple super-héros, il est une icône dans l’univers du comic et d’autre part car ce film est la pierre angulaire du prochain blockbuster The avengers. Le risque était qu’on nous serve un film débordant de patriotisme, un hymne au héros américain mais on est vite rassuré ; pas question ici de faire de la surenchère. Contrairement à ses potes d’enfance Iron Man ou Thor, Cap trouve ses origines au cœur de la Seconde guerre mondiale et ça donne l’occasion de découvrir un film de super-héros dans un contexte bien différent. Il ne faut donc pas s’attendre à un film aussi spectaculaire que ceux de ses collègues vengeurs mais il n’en reste pas moins que Captain America : First Avenger est une belle réussite. Reste plus qu’à attendre la réunion des plus grands héros de la terre et ça va être long !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire de la musculation, on va bien finir par la trouver cette formule secrète !