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Timothy Olyphant

  • Joyeuse fête des mères

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    Bien que divorcés, nos potes Sandy & Henry (Jennifer Aniston & Timothy Olyphant) ont gardé d'excellents rapports pour le plus grand bonheur de leurs deux fils. La jeune femme femme a remarqué un changement dans le comportement de son ex-mari et elle commence à se demander s'il n'essaierait pas de recoller les morceaux. Pendant ce temps, à l'approche de la fête des mères, Jesse (Kate Hudson) se met à penser à la sienne avec laquelle elle s'était disputé et à qui elle n'a pas adressé la parole depuis. Poussée par sa sœur Gabi (Sarah Chalke), elle se décide à la recontacter sans se douter que cela va provoquer des retrouvailles qui s'annoncent animées !

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    On dirait bien que Garry Marshall a trouvé un bon filon pour pérenniser sa carrière de réalisateur puisque après Valentine's day & Happy new year ; voilà qu'il vient nous souhaiter une Joyeuse fête des mères ! La formule n'a pas changé d'un iota avec la présence d'une multitude de personnages et d'histoires oscillant entre l'émotion (les histoires de Bradley & Kristin) et le vaudeville de bas-étage (Jesse et ses parents). Mielleux à souhait et aussi prévisible qu'un discours politique en pleine campagne présidentielle, la comédie est digne de ses prédécesseurs à savoir un produit sans saveur. Vous aurez peut-être envie d'aller le voir avec votre mère mais je ne suis pas certain qu'elle prenne cela comme un cadeau !


    Il faut le voir pour : Apprendre à tweeter si vous voulez être une maman branchée !

     

    En savoir plus sur Valentine's day ?

    En savoir plus sur Happy new year ?

  • Numéro quatre

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    En apparence notre pote John Smith (Alex Pettyfer) a tout du lycéen ordinaire mais en réalité ce jeune homme est en fait un extraterrestre originaire de Lorien. Cette planète fut dévastée par les Mogadoriens et il ne reste aujourd’hui plus que 9 rescapés qui ont trouvé refuge sur Terre. Trois d’entre eux ont déjà été traqués et tués par les mogs et John est le numéro 4, il est leur prochaine cible. Pour garder son identité secrète, John et son protecteur Henri (Timothy Olyphant) ont donc été forcés de déménager une fois encore et c’est cette fois dans l’Ohio qu’ils atterrissent. Cependant, leur couverture va vite disparaitre car John a la fâcheuse tendance à se faire remarquer partout où il passe !

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    En parcourant le scénario, on se disait que Numéro quatre avait un bon potentiel pour s’imposer dans le cinéma d’action. On déchante rapidement car en dehors des 5 premières minutes et du dernier quart d’heure, il ne se passe rien ! Ah, si tout de même on a droit aux états d’âmes d’une pâle copie de Clark Kent qui se désespère de sa solitude mais qui trouvera toutefois le bonheur dans les bras d’une belle blonde. On se croirait dans un mauvais épisode de Smallville et on ne croit pas si bien dire puisque c’est le duo Alfred Gough & Miles Millar (ba justement les scénaristes de la série) qui se sont chargés d’adapter le roman de Pittacus Lore sur le grand écran. Un film qu’on laissera de coté sans grands regrets.

     

    Il faut le voir pour : Se dire qu’on a eu de la chance d’échapper aux 3 premiers !

  • Rango

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    Il vient de débarquer à Poussière et plus rien ne sera comme avant ! Il se fait appeler Rango et a la gâchette facile et d’ailleurs avec une seule balle, il est parvenu à terrasser le faucon qui terrorisait toute la ville. Pourtant, il y a encore quelques heures, Rango n’était qu’un simple caméléon perdu en plein désert Mojave après un accident de la route qui l’a séparé de ses propriétaires. Pour se fondre dans le décor, il s’est donc fait passer pour un redoutable cow-boy et cette réputation lui vaut d’être nommé shérif. Sa première tache sera de résoudre l’énigme concernant l’eau qui n’arrive plus jusqu’à Poussière et qui pousse chaque habitant à quitter la ville.

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    Après nous avoir fait voyager en compagnie de Jack Sparrow et de ses hommes du Black Pearl, Gore Verbinski nous offre une belle récréation avec Rango, un caméléon qui va vous en faire voir de toutes les couleurs. Premier point frappant, les graphismes sont d’une beauté et d’une finesse exceptionnelle à l’image du clone de Clint Eastwood. A cela s’ajoute un panel de personnages d’une grande diversité avec évidemment comme point d’attache un héros peu conventionnel. Belle aventure qui promet aux spectateurs de toutes les générations de passer un très bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à apprécier l’eau courante !

  • The crazies

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    Ogden Marsh, 1260 habitants. C'est une journée totalement ordinaire, un match de baseball se déroulait et puis Rory (Mike Hickman) est apparu une carabine à la main. Le shérif David Dutton (Timothy Olyphant) va rapidement au devant de lui et craint que ce fermier ne soit retombé dans l'enfer de l'alcool. Après plusieurs sommations, il est forcé de l'abattre lorsqu'il pressent que celui-ci va utiliser son arme. Cet incident émeut tous les habitants mais un autre drame surgit quelques instants plus tard ; une mère et son fils meurent lors d'un incendie qui aurait été provoqué par le mari. Une vague de folie semble contaminée la ville et personne n'est à l'abri.

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    Un vent de folie souffle dans The crazies et il est bien dommage que ce ne soit pas également le cas au niveau de la réalisation. Enième film du genre où de gentils citoyens se retrouvent soudainement métamorphosés en créatures malfaisantes et évidemment la survie s'impose. Un scénario qui nous a donc déjà été servi à maintes reprises et proposé ici avec pas mal d'hémoglobine et un résultat final plutôt satisfaisant. Le manque d'originalité rend le film totalement dispensable pour une soirée cinéma mais devrait bien fonctionner quand il sortira en location.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus boire l'eau du robinet.

  • Ma vie sans lui

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    Elle avait encore tellement de choses à lui dire hélas, Gray (Jennifer Garner) vient de perdre celui qui devait partager sa vie. Ca faisait 6 années qu’ils se connaissaient et ils avaient enfin décidé d’échanger leurs vœux mais le destin en a décidé autrement. Alors qu’elle se remet difficilement de cette disparition, elle apprend que celui-ci lui avait caché quelques secrets. C’est en faisant le point dans les comptes de son compagnon qu’elle apprend que celui-ci cachait une fortune qui se monte à environ d’1 million de dollars mais la plus grande surprise reste à venir. Par l’intermédiaire de son pote d’enfance Fritz (Timothy Olyphant), elle tombe sous le choc : l’homme qui allait devenir son mari avait déjà un enfant !

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    Le titre en dit déjà beaucoup et voilà certainement le genre de film que votre petite-amie sera amené à louer pour une belle soirée en amoureux. Comédie dramatico-romantique, Ma vie sans lui risque vite de vous endormir en raison d’une histoire dont la teneur est entièrement révélée durant la première demi-heure. Par la suite, les personnages se réunissent, se font une petite bouffe et puis vont à la pêche avant que la belle Jennifer Garner retombe amoureuse du beau gosse de service. Malgré un beau petit casting (Kevin Smith, Juliette Lewis), le film suit une mécanique connue et nous conduit à un bel ennui ; nul doute que vous pourrez continuer votre vie sans lui !

  • Hitman

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    Il n’a pas de nom, seulement un numéro, le 47 (Timothy Olyphant). Il est un tueur redoutable entrainé depuis sa plus tendre enfance à de multiples techniques de combat pour agir le plus efficacement et le plus discrètement possible. Certains disent qu’il n’est qu’un fantôme mais pour l’agent d’Interpol Mike Whitthier (Dougray Scott), c’est un assassin qu’il tente de neutraliser depuis des années. Un nouveau contrat court sur Mikhail Belicoff (Ulrich Thomsen), candidat favori à la course présidentielle en Russie, N°47 est sur les rangs mais l’exécution ne se passe pas comme prévue. On a essayé de le piéger et il a bien l’intention de régler ses comptes.

     

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    Pour ceux qui’ s’y connaissent un tant soit peu en matière de jeux vidéos, vous savez déjà que Hitman est un jeu signé Eidos (à qui l’on doit notamment Tomb Raider). Le personnage de 47 manque un peu de charisme, la ravissante Olga Kurylenko tient parfaitement son rôle de potiche en nous dévoilant ses charmes et Hitman c’est donc du plaisir à l’état pur si on le considère comme un divertissement. Le réalisateur français Xavier Gens se glisse avec talent dans le moule hollywoodien et s’offre un joli joujou agrémenté de scènes aussi grotesques que jouissives. Il ne faut donc pas s’attendre à un film cérébral mais à un habile mélange entre l’explosivité de xXx, la classe de James Bond & l’intellect de Rambo.

     

    Il faut le voir pour : Adopter le style Costard-Cravate & crane rasé.

     

    En savoir plus sur Hitman : Agent 47 ?