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Richard Berry

  • Nos femmes

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    La soirée Poker devait commencer à 21h tapantes mais Simon (Thierry Lhermitte) est en retard ce qui agace prodigieusement Max (Richard Berry). De son coté, Paul (Daniel Auteuil) se montre plus conciliant mais il n’a pas encore idée de la soirée agitée qui l’attend ! Lorsque Simon arrive enfin - après quand même trois quart d’heure de retard - il est livide et annonce à ses 2 potes d’enfance qu’il a commis quelque chose d’atroce. Il vient de tuer sa femme Estelle (Pauline Lefevre) ! C’est un véritable cataclysme pour Max & Paul dont la première réaction est de vouloir prévenir la Police mais il s’agit tout de même d’un de leurs meilleurs amis.

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    Un succès au théâtre s’accompagne souvent d’une adaptation pour le grand écran et la pièce d’Eric Assous a été confiée à Richard Berry qui, comme Daniel Auteuil, reprend le rôle qu’il tenait sur les planches. Pour les accompagner Thierry Lhermitte s’invite pour une comédie au schéma convenu ; une bande de potes et une réunion qui dégénère en règlements de comptes. Outre ce scénario bateau, Nos femmes est surtout plombé par le jeu excessif des comédiens (un poil cliché la prestation de Max sur Ma Benz non ?). Il ne doit y avoir que l’explosion de Paul qui ait réussi à me décrocher un léger sourire en dehors de ça on a quand même hâte que le jour se lève !

     

    Il faut le voir pour : Aider votre femme de ménage en faisant la vaisselle !

  • Avant l'hiver

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    Difficile de plaindre notre pote Paul Atkinson (Daniel Auteuil), ce neurochirurgien mène une belle vie auprès de sa femme Lucie (Kristin Scott-Thomas). Ces derniers jours pourtant, il n’arrête pas de recevoir des bouquets de roses rouges que ce soit à son cabinet ou directement à son domicile. Il ignore qui lui envoie ces fleurs mais cela a peut-être un rapport avec une jeune femme qu’il ne cesse  de croiser ces dernier temps. Serveuse dans un bar, Lou (Leïla Bekhti) prétend en effet qu’elle a autrefois été opérée par Paul et depuis il l’a revu à plusieurs reprises, difficile tout de même de croire qu’il ne s’agit là que d’un simple hasard.

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    Tout part d’un repas convivial, on découvre la vie confortable d’un couple puis progressivement ce bonheur apparent se décompose. Avant l’hiver se révèle être un film d’une grande humanité en soulignant justement toutes les faiblesses, la fragilité qui définit chacun des personnages. Les premières secondes annoncent une issue tragique et il faut effectivement attendre les derniers instants pour découvrir réellement l’histoire qui lie tout ce beau monde. Une révélation qui intervient un peu comme un coup de poing dans l’estomac. Délicat et magnifiquement interprété, on restera aussi marqué par l’émouvant tête-à-tête entre cette patiente atteinte d’une tumeur et Paul.

     

    Il faut le voir pour : Offrir à vos enfants un Docteur Maboul si vous voulez en faire plus tard des chirurgiens.

  • Rue Mandar

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    C’est une tragédie qui réunit aujourd’hui Emma, Rosemonde & Charles (Sandrine Kiberlain, Emmanuelle Devos & Richard Berry) ; ils doivent faire leurs adieux à leur mère. Un évènement douloureux pour tous et notre pote Rosemonde doit en plus gérer le départ de son fils Elie (Ivan Cori) qui part étudier à New York pendant 3 ans. Il faut aussi réfléchir à ce qu’ils veulent faire de l’appartement de leur mère situé 13, rue Mandar où ils ont grandi et la décision de la mettre en vente s’impose naturellement. C’est Emma qui sera chargé de la vendre car il faut dire qu’entre les crises d’hystérie de sa sœur et la folle envie de Charles de vouloir effectuer les travaux chez lui, elle est la seule qui puisse s’en occuper.

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    Inspirée par ses souvenirs personnels, la réalisatrice Idit Cebula nous convie à une réunion de famille qui se transforme en une belle foire dans laquelle on se sent parfois un peu perdu. Les situations cocasses s’enchainent et à certaines occasions ça part même dans des envolées loufoques mais les émotions elles ne sont pas au rendez-vous. Rue Mandar peut toutefois compter sur l’évidente complicité liant le trio Sandrine Kiberlain / Emmanuelle Devos & Richard Berry qui viennent apporter un peu d’animation dans la période de deuil que traversent leurs personnages. Une comédie qui n’est pas non plus à la rue et qui malgré quelques bons moments n’a vraiment rien de très attrayant.

     

    Il faut le voir pour : Demander à avoir un cercueil sur-mesure !

  • Le marquis

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    Après un coup qui lui a fait malencontreusement perdre 100 000 euros, notre pote Quentin (Richard Berry) n’a plus le droit à l’erreur. Son boss Jo (Jean-Hugues Anglade) lui laisse une dernière chance en prévision d’un formidable casse qui aura lieu à Manille, aux Philippines. C’est ainsi que lui est venu l’idée d’engager le meilleur, le légendaire Marquis qui est actuellement en prison … enfin c’est ce qu’il pense. Le marquis c’est Thomas Mardesse (Franck Dubosc) du moins c’est ce qu’il a fait croire à tout le monde afin de se faire respecter par les autres. Dans la confusion, une évasion est donc organisée et voilà tout ce beau monde réuni pour le hold-up du siècle !

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    Après l’agréable surprise que fut L’amour c’est mieux à deux, Dominique Farrugia nous ressert une comédie avec cette fois à sa-tête un duo taillé pour nous faire rire. Ce sont donc Franck Dubosc & Richard Berry qui mènent un film à l’humour dans l’ensemble assez lourd avec des personnages pas toujours très raffinés mais avec un peu d’indulgence, on pourra trouver Le marquis plutôt divertissant. Une petite comédie sympathique mais pas forcément le rendez-vous incontournable au cinéma, on pourra très bien se contenter d’une VOD ou d’un prochain passage à la télévision.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention quand vous mangez des marshmallows !

  • Le coach

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    On dit de lui qu’il est le meilleur, qu’il est capable de faire de n’importe qui une machine à gagner. Maximilien Chêne (Richard Berry) est coach et il est très demandé mais malgré toutes ces sollicitations, il a d’énormes dettes de jeu contractées par sa passion du poker. Coup de chance, il est sur un gros coup : la société ILB Constructions a fait appel à lui pour coacher Patrick Marmignon (Jean-Paul Rouve), un employé aux méthodes de travail très discutables mais qui a la chance d’être le neveu du PDG. Cette filiation bienheureuse lui a d’ailleurs permis d’obtenir la gestion d’un énorme dossier avec les chinois, un projet d’une telle envergure qu’elle met en péril l’avenir de la société toute entière.

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    Apparu de manière récente dans notre société, le coaching est devenu un métier à part entière jusqu’à devenir le thème central du film d’Olivier Doran. Il ne suffit pas d’une bribe d’idée et de réunir duo improbable et bien que sympathique pour nous pondre une comédie digne de ce nom. un soi-disant winner, un looser totalement laxiste et une Anne Marivin en atout charme, c’est tout ce qu’on nous propose ; ah d’accord…. Le coach se contente donc du minimum syndical et reste un film plutôt agréable mais ce n’est pas une raison pour le réalisateur de se priver d’un coach pour nous éviter autant de banalités.

    Il faut le voir pour : Draguer plus facilement les femmes qui lisent.

  • L'emmerdeur

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    C’est à Nice qu’a lieu le procès de Randoni (Michel Aumont) qui déchaine toutes les passions. On attend en effet de grandes révélations de sa part impliquant des gens hauts-placés et l’atmosphère est de plus en plus électrique. Ralph Milan (Richard Berry) vient d’arriver à son hôtel situé juste en face du palais de justice et sa mission est simple : éliminer Randoni pour le faire taire. Il avait tout prévu sauf … son voisin de chambre ! Il s’agit d’un certain François Pignon (Patrick Timsit), journaliste en pleine dépression qui ne se remet pas de sa rupture d’autant plus que sa petite-amie s’est installée dans la région de Nice.

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    La nouvelle cuvée de Francis Veber est donc arrivée et pour succéder à Gad Elmaleh dans le rôle si glorieux de François Pignon, c’est Patrick Timsit qui s’y colle. L’emmerdeur porte plutôt bien son nom car c’est exactement le rôle du film à l’humour beaucoup trop téléphoné et super poussif (Cf. le rôle des deux jeunes). Le duo Richard Berry/Patrick Timsit ne parvient en aucun cas à sauver les meubles et nous n’évoquerons pas les présences fantomatiques de Virginie Ledoyen & Pascal Elbé. A vouloir faire du neuf avec du vieux, on en vient parfois à faire un film complètement dépassé. Oublions vite en attendant un prochain épisode d’un Pignon plus inspiré.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais prendre de chambre avec une porte communicante.

  • Une journée de merde !

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    Pour Marc Chanois (Richard Berry), ça devait être une journée mémorable ; celle où il pourrait enfin demander la main de sa bien-aimée Sabine (Moonha N’diaye). Il faudra être patient et attendre le diner avec ses parents, pour le moment direction le bureau où il doit finaliser un gros contrat avec M.Zucker (Philippe Magnan). Hélas tout ne va pas se passer comme il avait prévu avec tout d’abord la visite inopinée de Martine (Anne Brochet), une ex qu’il n’a pas revu depuis 5 ans. Les imprévus s’accumulent notamment à cause du voisinage et ça devient vraiment une journée de merde !

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    Parce que chacun de nous a déjà vécu ce type d’expérience, on était en droit d’attendre d’Une journée de merde une comédie digne de ce nom. Malheureusement, ce ne sera qu’un coup dans l’eau car on ne peut pas dire que les mésaventures de Richard Berry nous étouffent de rire. Les situations cocasses s’enchainent durant cette journée qui parait être un long cauchemar mais la mayonnaise ne prend à aucun moment. On sent que tout est tiré par les cheveux et il vous faudra être bien magnanime si vous voulez voir ce film qui ne risque pas de sauver votre mauvaise journée !

  • Les insoumis

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    Le commandant Drieu (Richard Berry) vient de débarquer au commissariat de Saint-Merrieux, un coin paumé. Le commissariat ne sera bientôt plus qu’un souvenir, la zone industrielle devrait le raser d’ici à 3 mois et les flics se contentent juste du strict minimum en s’occupant juste de la main courante. Evidemment, Drieu a un peu plus de moral et va vouloir faire un peu le ménage. Très réticents aux départs, ses nouveaux collègues finissent par l’adopter d’autant plus qu’ils sont peut-être sur la piste d’une grosse affaire de drogue. Est-ce que cela a un rapport avec le dangereux criminel Abel Vargas (Gérald Laroche), récemment libéré ?

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    Ça commence à 100 à l’heure et par la suite, au niveau de l’action, on n’est pas déçu du moins pour une production française ! En revanche, à la sortie de la salle on est assez partagé ; il y a vraiment de bonnes intentions dans Les insoumis mais dans le même temps certains aspects viennent plomber le film. La caricature du flic qui boit de la bière, une intrigue brouillonne parfois grotesque et un final extravagant rendent le premier film au cinéma de Claude Michel Rome tout de suite moins intéressant. C’est néanmoins rafraichissant de voir autre chose que des comédies de la part des réalisateurs français.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais attaquer la Police dans son commissariat.

  • J’veux pas que tu t’en ailles

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    Sur son divan de psychiatre, Paul (Richard Berry) en a vu défiler de toutes les couleurs et quand il voit débarquer ce nouveau patient qu’est Raphaël (Julien Boisselier), il ne se doute pas qu’il est en train de traiter l’amant de sa femme. Il avait déjà quelques doutes car c’est vrai que sa relation avec Carla (Judith Godrèche) n’a plus la même intensité qu’avant mais il n’y prêtait pas plus d’attention que cela. C’est donc en faisant la thérapie de Raphael qu’il comprend alors ce que traverse sa femme et il est bien décidé à tout faire pour la reconquérir.

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    De prime abord, on ne peut s’empêcher de penser à Petites confidences (à ma psy) bien que les 2 films prennent des chemins bien différents au grand dam de cette comédie française. Si le film américain tirait tout son intérêt de l’interprétation dynamique de Meryl Streep, dans J’veux pas que tu t’en ailles aucun comédien ne parvient à insuffler un tant soit peu d’énergie. Pire, les échanges entre Boisselier & Berry paraissent interminables et condamne ce qui devait être une comédie en un fatras sentimental pour le moins ennuyeux.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus faire confiance à son psy.

  • La boîte noire

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    Arthur Seligman (José Garcia) a eu un grave accident de la route alors qu’il se dirigeait à Cherbourg. Après un profond coma, il a enfin repris connaissance pour le plus grand soulagement de tous mais garde toutefois quelques séquelles. Notre pote éprouve bien des difficultés pour se souvenir de certaines choses et durant son coma, il semblerait que son inconscient, sa boite noire se soit révélé. C’est le début de longues interrogations qui vont lever le voile sur une partie oubliée de son existence.

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    Pour être sombre, le film est très sombre constituant un parfait reflet de la personnalité d’Arthur. La boite noire partait d’un principe plutôt intéressant avec ces souvenirs enfouis remontant soudain à la surface mais Richard Berry (le réalisateur), en voulant restituer la désorientation de son personnage perd dans le même temps le spectateur. Par contre le jeu de José Garcia est plutôt convaincant bien qu’assez peu mis en valeur enfin un dernier regret sur une conclusion assez grotesque.

     

    Vivez le film Dans la peau du personnage !!