Under the skin
![]()

A bord de sa camionnette, elle (Scarlett Johansson) sillonne les rues au hasard en espérant tomber sur une proie qui lui convienne. Une belle jeune femme brune seule et qui laisse à croire qu’elle est perdue ça attire forcément l’attention des hommes qu’elle n’hésite pas à aborder. Les quelques passagers qu’elle fait monter à coté d’elle ne résistent d’ailleurs pas longtemps à son charme mais viendra le moment où ils le regretteront. Alors qu’ils tentent de se rapprocher d’elle, ils vont s’enfoncer dans un liquide noir mystérieux duquel ils ne pourront jamais s’échapper. Qui est cette femme et quelle est son véritable but ?

Attention, ovni cinématographique en approche ce qui est presque logique avec cette adaptation du roman de Michel Faber. Il nous avait déjà fait le coup avec Birth, Jonathan Glazer persiste et signe avec une réalisation à l’esthétique soignée mais surtout lente et qui s’étend jusqu’au bout de l’ennui. Ennui parce que l’intérêt d’Under the skin se réduit vite comme une peau de chagrin puisque hormis voir notre pote Scarlett conduire et découvrir son corps, on se demande bien ce qu’on fait devant l’écran. L’absence de véritable histoire et surtout cette mise en scène monotone qui rappelle parfois ce que peut faire Terrence Malick font que beaucoup de monde risque de vite décrocher de cet étrange expérience.
Il faut le voir pour : Ne plus jamais monter dans le véhicule d’une belle jeune femme seule !







Voici mes potes d’enfance Eddie et Frisouille et nous sommes venus pour vous demander votre aide. En fait, Tartine et moi on jouait sur le barrage et il se trouve que j’ai enlevé un bout de bois pour m’en servir comme épée. Attention, c’était juste un petit bout, minuscule même je dirais.
On m’a dit qu’il n’y avait que vous les Castors qui pouviez faire toutes les réparations. Il faut absolument que vous nous aidiez sinon toute la foret risque d’être inondée et je tremble à l’idée de la réaction de Madame Blaireau. S’il vous plait merci !
