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Ciné2909 - Page 167

  • L'attaque du crocodile géant

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    Son parc animalier n’aura jamais été aussi proche de la fermeture mais notre pote Jack McQuade (Peter Tuinstra) ne renoncera pas ! La visite d’Evelyn Namawong (Sherry Phungprasert), une inspectrice est tout sauf un hasard car Konsong (Tawon Saetang) cherche depuis longtemps à faire fermer l’établissement pour ses projets immobiliers. Les coups bas pleuvent comme l’évasion inexplicable des crocodiles du parc qui coïncide avec de dramatiques accidents. La Thaïlande vit en effet sous la psychose d’un crocodile qui a déjà fait de nombreuses victimes, un prédateur géant qui mesurerait plus de 7 mètres et que Croc Hawkins (Michael Madsen) connait bien !

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    Un titre simple pour un film qui ne l’est pas moins ! C’est certain qu’avec L'attaque du crocodile géant on ne risque pas d’écrire l’histoire du cinéma en revanche pour ce qui est de le couler … On se fout complètement du scénario, ce qui nous intéresse ce sont bien sur les scènes où cette créature va dévorer ses victimes et là c’est juste consternant. Le crocodile géant promis n’est qu’un simple carnassier cadré pour faire illusion seulement il faut un peu de talent pour ce genre de chose. Plutôt que de nous abreuver d’hémoglobine, on préfère nous faire coltiner un simili soap-opéra et on espère que Michael Madsen a touché un bon cachet pour venir s’embourber dans cette niaiserie ambulante !

  • Un bonheur n’arrive jamais seul

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    Même si sa mère souhaiterait plus que tout que son fils trouve la femme de sa vie, Sacha Keller (Gad Elmaleh) est ravi de profiter de son statut de célibataire. Fils de et pianiste lui-même, il a l’occasion de se produire dans un club quand ça lui plait et compose de temps à autre des mélodies publicitaires en attendant de monter son propre spectacle avec son pote d’enfance Laurent (Maurice Barthélémy). Et puis le hasard a fait qu’il a croisé le chemin de la superbe Charlotte (Sophie Marceau), un coup de foudre réciproque avec toutefois 2 détails qui vont avoir leur importance. D’une part, c’est la femme d’Alain Posche (François Berléand), l’actuel employeur de Sacha et d’autre part elle a 3 enfants !!

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    Nouvelle comédie romantique qui débarque sur nos écrans amené par James Huth à qui l’on doit Hellphone ou plus récemment l’adaptation de Lucky Luke. Au vu de ses réalisations, on s’attendait à ce qu’Un bonheur n’arrive jamais seul sorte un peu des sentiers battus mais c’est loin d’être une évidence. Bien au contraire, ce film semble simplement reprendre un chemin maintes fois utilisé et ce n’est pas Sophie Marceau tout aussi charmante que gaffeuse qui y changera quoi que ce soit. Il n’y a donc que la perspective de découvrir ce couple inédit complété par Gad Elmaleh qui pourra vous permettre de vous amuser un peu sinon c’est l’impression de déjà-vu qui va vite se faire ressentir.

     

    Il faut le voir pour : Faire appel à un vrai plombier, c’est plus sur pour vous !

  • Starbuck

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    En 1988, notre pote David Wosniak (Patrick Huard) habitait à coté d’une clinique de fertilité qu’il connait bien pour y avoir fait de nombreux dons de sperme sous le pseudonyme de Starbuck. 20 ans plus tard, cette période de sa vie ressurgit soudainement lorsqu’un avocat vient lui apprendre qu’il est le père de 533 enfants et parmi eux 142 veulent connaitre la véritable identité de Starbuck. Coup de massue pour ce célibataire aussi perdu dans sa vie professionnelle que sentimentale et si sa première réaction est la fuite, il est tout de même curieux de voir à quoi ressemblent ses enfants. Il découvre ainsi un footballeur, une ado mal dans sa peau ou encore un jeune garçon handicapé et lui vient l’idée de devenir leur ange-gardien.

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    C’est une idée déjantée qui sert de scénario à cette nouvelle comédie québécoise ; comment un mec qui a la panoplie complète du loser va bien pouvoir assumer la paternité de 533 enfants ? Avec sa dégaine des années 1980, David Wosniak va assurément vous faire rire avec ses drôles de déboires sans oublier son associé père de famille découragé et avocat gaffeur. C’est surtout la rencontre avec ses enfants qui apporte à ce Starbuck un incroyable panel d’émotions et va permettre à notre héros de gagner en maturité. Atypique, drôle et même touchant ; la bonne humeur est donc au rendez-vous et le cinéma québécois accouche une nouvelle fois d’une belle surprise.

     

    Il faut le voir pour : Chercher une autre activité manuelle !

  • Dance of the dead

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    La fin de l’année scolaire est arrivé et avant de se quitter, il y a le très attendu bal de promo. Notre pote Steven (Chandler Darby) rêve de s’y rendre au bras de la belle Gwen (Carissa Capobianco) mais cette dernière a jeté son dévolu sur un autre garçon et finalement, il va devoir passer la soirée avec le club de science-fiction Au programme, une sortie excitante du coté du cimetière où ils vont se rendre compte qu’il se passe de drôles de choses car celui-ci est situé juste à coté d’une centrale nucléaire. Lorsque le soir tombe, les cadavres putréfiés sortent de terre et viennent semer la panique en ville avant de jouer les invités de dernière minute au fameux bal de promo !

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    Un énième film de zombies mixé avec le teen-movie, voilà à quoi on pourrait résumer Dance of the dead et ça aurait pu suffire pour nous faire tourner les talons ce qui aurait été dommage ! Bien que ce film tient plus de la comédie, on est agréablement surpris par la qualité des effets spéciaux qui sont plus qu’honorables pour ce genre de production au point que certains films pourraient s’en inspirer. Agrémenté d’un humour à prendre au second degré et auquel on ne sera pas insensible et sans être une révolution, il vous fera facilement passer un bon moment. S’il ne parviendra pas à s’imposer parmi la liste des nombreux films du genre, il n’a pas à rougir de la comparaison avec ses ainés.

  • Les sorties du 04 Juillet

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    Les fans de Marvel avaient coché la date depuis l’annonce du reboot de la saga Spider-man. Ils se jetteront sur The amazing Spider-man pour découvrir de nouveau les aventures de Peter Parker incarné par Andrew Garfield accompagné d’Emma Stone tandis que Marc Webb prend lui le siège de réalisateur à Sam Raimi.

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  • Safe

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    Il s’était résigné à en finir ; notre pote Luke Wright (Jason Statham) avait l’intention de se jeter sous le métro car plus rien ne le rattachait à la vie. Ancien flic, il s’est mis à dos quelques uns de ses collègues après avoir révélé leurs combines et par la suite il s’est attiré les foudres de la mafia russe. Pour l’atteindre, c’est sa femme qui fut exécutée. Luke avait la vie sauve mais on n’allait pas pour autant lui laisser le moindre répit et ce harcèlement va finir par le faire craquer. C’est donc sur ce quai de métro que tout devait s’achever pour lui seulement il remarque une gamine qui semble un peu perdue. Elle s’appelle Mei (Catherine Chan) et c’est une génie des mathématiques qui a en mémoire un code extrêmement précieux ce qui lui vaut d’avoir de nombreux poursuivants à ses trousses.

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    Ce ne sera pas vraiment une surprise, notre pote Jason Statham revient dans un film d’action et se révèle toujours aussi doué pour distribuer les coups. L’impatience (et bon sang que le début est laborieux) avec laquelle on attendait que l’acteur entre réellement en action laisse peu à peu place à une certaine frustration. Safe souffre de son rythme saccadé et nous avec ! On aurait certainement été plus conciliant si le film avait assumé pleinement son statut de film d’action et sans mettre dans les pattes de Luke la petite Mei, personnage totalement futile. Il n’y a donc vraiment que les spectateurs en manque qui pourront se sentir sauvés, les autres se sauveront également mais d’une toute autre manière !

     

    Il faut le voir pour : Faire réviser les maths à vos enfants !

  • La clinique de l’amour

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    David Marshal (Michel Aumont) et sa femme ont réalisé leur rêve en ouvrant cette clinique et aujourd’hui leur 2 fils John & Michael (Artus de Penguern & Bruno Salomone) y travaillent comme chirurgiens. Les 2 hommes ont des styles totalement opposés ; le premier est un brillant médecin introverti tandis que le second est un coureur de jupons de surcroit très vénal. John a le cœur brisé lorsque Priscilla (Héléna Noguerra), la femme qu’il aime épouse son frère. Ne pouvant supporter cela, il s’exile au Canada pour tenter de l’oublier et laisse la clinique aux mains de Michael qui décide d’en faire un établissement dédié à la chirurgie esthétique. Malheureusement son inexpérience le pousse à commettre de nombreuses erreurs et va mener l’hôpital vers la faillite.

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    Toute ressemblance avec des soap-opéras interminables est loin d’être fortuite ! Artus de Penguern détourne avec une grande dérision ces séries aux scénarios invraisemblables ce qui nous donne une comédie totalement folle. Un état d’esprit qu’on retrouvait déjà dans Grégoire Moulin contre l’humanité, sa précédente et unique réalisation qui remonte déjà à 11 ans. La clinique de l’amour s’impose avec un univers à l’humour très second degré où le héros peut tailler un bout de gras avec un ours sauvage ou encore lorsque les employés de l’hôpital célèbrent avec joie l’accident d’un car. Drôle et incontestablement original, la seule note négative est que la dernière partie est moins percutante.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais dire "Ta gueule" à une femme !

  • Le grand blond avec une chaussure noire

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    Quelque part aux Etats-Unis, un homme a été arrêté et suspecté de trafic de drogue mais d’après ses dires il aurait seulement agit dans le cadre d’une mission des autorités françaises. A peine de retour de vacances, Louis Toulouse (Jean Rochefort), chef des services secrets est le premier surpris par ces déclarations du moins le fait-il croire car il se sait espionné par son propre adjoint Milan (Bernard Blier) qu’il suspecte immédiatement. Il décide alors d’organiser un piège : un homme providentiel devrait faire son apparition pour régler cette histoire mais il ne s’agit que d’un subterfuge. Pour tromper Milan et son équipe, il va désigner un inconnu ; le grand blond avec une chaussure noire soit un certain François Perrin (Pierre Richard) qu’il va faire passer pour un agent secret.

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    Il n’y a réellement que la présence de Pierre Richard qui donne un véritable intérêt à cette comédie d’Yves Rovert et pourtant Le grand blond avec une chaussure noire a su, avec les années passant, conquérir un fidèle public. Et puis son générique à la flute de pan signé Vladimir Cosma a également contribué à marquer nos mémoires (tout comme la robe de Mireille Darc !). Il suffit bien souvent de voir apparaitre le comédien pour déclencher les sourires et si besoin est c’est sa légendaire maladresse qui prend ensuite le relais. Quelques bonnes idées sont dispersées tout au long du film mais jamais de quoi nous rendre hilares juste de quoi passer un bon moment. Si vous recherchez les fous rires, vous ne trouverez certainement pas chaussure à votre pied mais on s’y sent quand même à l’aise !


    En savoir plus sur Le retour du grand blond ?

  • The deep blue sea

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    Londres dans les années 1950. Notre pote Esther (Rachel Weisz) vient de tenter de se suicider et sans l’intervention de Madame Elton & Monsieur Miller (Ann Mitchell & Karl Johnson) elle ne serait peut-être plus de ce monde. Qu’est ce qui a bien pu pousser cette femme à commettre un tel acte, elle qui a une situation confortable puisque mariée à William (Simon Russell Beale), un juge respectable ? L’amour tout simplement. Esther a en effet découvert le véritable amour et il s’appelle Freddie (Tom Hiddleston), elle s’épanouit totalement en sa compagnie mais son époux va finir par découvrir la vérité. Ayant déjà perdu sa femme, William refuse toutefois de perdre son honneur et refuse de divorcer mais dans le même temps ne veut plus la voir.

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    A l’origine, il s’agit d’une pièce de théâtre qu’a entrepris d’adapter sur le grand écran notre pote Terence Davies. L’histoire tourne autour d’un triangle amoureux entre Weisz, Hiddleston & Beale mis en scène de façon assez sobre pour mieux privilégier de longs échanges verbaux où l’ennui risque de vous gagner tôt ou tard. Le temps semble figé - tout comme notre intérêt - à l’image de ses scènes qui s’attardent sur une Esther fumant sa cigarette et certains spectateurs risquent de se précipiter vers la sortie pour s’en griller une (voire le paquet). The deep blue sea a donc l’art de nous entrainer dans des profondeurs d’où on aura bien du mal à remonter.

     

    Il faut le voir pour : Ne surtout plus oublier l’anniversaire de votre femme !

  • Bitch slap

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    Une voiture file dans le désert avec à son bord 3 femmes. Hel, Camero & Trixie (Erin Cummings, America Olivo & Julia Voth) ne sont pas venues faire du tourisme mais sont à la recherche d’un butin estimé à 200 millions de dollars. Une piste les a menées jusque-là et cette piste s’appelle Gage (Michael Hurst) qui se trouve enfermé dans leur coffre mais il ne semble pas vouloir obtempérer. Il va falloir employer la méthode forte ce qui n’est pas pour déplaire à Camero qui ne se prive pas pour se défouler un peu ! Comment ces 3 charmantes demoiselles se sont-elles retrouvées dans cette situation ? Il faut pour comprendre cela remonter le temps ; au moment où Hel & Camero se sont connus en prison mais d’autres révélations sont à venir.

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    Il faut bien garder à l’esprit que Bitch slap est avant tout un hommage aux films de série B des années 1960-70 menés par des femmes fatales. Vous comprendrez alors d’autant mieux que notre trio d’héroïnes se retrouvent si souvent en petite tenue ou que certains plans se focalisent sur leurs plus beaux atouts anatomiques. Si le concept avait de quoi nourrir un brin d’espoir, le film tourne vite en rond à travers sa réalisation répétitive. Un flash-back toutes les 5-10 minutes pour dévoiler un scénario aussi court que la jupe des demoiselles et quelques split-screens pour donner un peu de style. A noter pour l’anecdote la réunion de 2 ex-stars du petit écran avec Lucy Lawless & Kevin Sorbo soit les célèbres Xena, la guerrière et Hercule !

     

    Il faut le voir pour : Les 3 actrices, il n’y a que ça à voir !