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julie le breton

  • Tokyo fiancée

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    Notre pote Amélie (Pauline Etienne) est née au Japon où elle a grandi jusqu’à l’âge de 5 ans avant que ses parents ne décident de déménager en Belgique. Aujourd’hui, à 20 ans elle a l’opportunité de revenir vivre dans ce pays qui fait partie d’elle. Afin de gagner sa vie, Amélie donne des cours de français et c’est ainsi qu’elle va faire la rencontre de Rinri (Taichi Inoue) qui sera son premier élève. Avec le temps, une certaine intimité va s’installer entre eux jusqu’à ce que naisse un véritable couple mais Rinri n’est pas un garçon comme les autres. Issu d’une famille particulièrement aisée, Amélie appréhende déjà la rencontre avec ses parents.

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    Adaptation du roman autobiographique Ni d’Eve, ni d’Adam d’Amélie Nothomb ; Tokyo fiancée nous conduit au pays du soleil levant qu’on découvre sous un autre aspect. Bien sur, on retrouve ce petit coté loufoque qui caractérise si bien le peuple japonais mais on a droit aussi à une photographie moins conventionnelle que ce qu’on a l’habitude de voir au cinéma. Ajouté à ça, on a une Pauline Etienne qui est juste parfaite dans la peau de la belge / japonaise qui fait preuve d’une belle énergie à l’image de cette petite séquence façon comédie musicale. S’il ne s’agit pas d’un film incontournable, on passe tout de même un bon moment et surtout il nous offre un peu de dépaysement.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de manger du poulpe vivant quand vous irez au Japon !

  • Starbuck

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    En 1988, notre pote David Wosniak (Patrick Huard) habitait à coté d’une clinique de fertilité qu’il connait bien pour y avoir fait de nombreux dons de sperme sous le pseudonyme de Starbuck. 20 ans plus tard, cette période de sa vie ressurgit soudainement lorsqu’un avocat vient lui apprendre qu’il est le père de 533 enfants et parmi eux 142 veulent connaitre la véritable identité de Starbuck. Coup de massue pour ce célibataire aussi perdu dans sa vie professionnelle que sentimentale et si sa première réaction est la fuite, il est tout de même curieux de voir à quoi ressemblent ses enfants. Il découvre ainsi un footballeur, une ado mal dans sa peau ou encore un jeune garçon handicapé et lui vient l’idée de devenir leur ange-gardien.

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    C’est une idée déjantée qui sert de scénario à cette nouvelle comédie québécoise ; comment un mec qui a la panoplie complète du loser va bien pouvoir assumer la paternité de 533 enfants ? Avec sa dégaine des années 1980, David Wosniak va assurément vous faire rire avec ses drôles de déboires sans oublier son associé père de famille découragé et avocat gaffeur. C’est surtout la rencontre avec ses enfants qui apporte à ce Starbuck un incroyable panel d’émotions et va permettre à notre héros de gagner en maturité. Atypique, drôle et même touchant ; la bonne humeur est donc au rendez-vous et le cinéma québécois accouche une nouvelle fois d’une belle surprise.

     

    Il faut le voir pour : Chercher une autre activité manuelle !