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cinéma - Page 277

  • Cinéman

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    Il s’appelle Régis Deloux (Franck Dubosc) et jusqu’à présent il n’était qu’un simple professeur de la banlieue de Montreuil sous bois. Pourtant, il possède un don particulier ou du moins il a entre ses mains un objet magique : la broche de Sissi alias Viviane Cook (Lucy Gordon). C’est Pierre Richard en personne qui lui a appris qu’il suffisait d’un simple baiser sur la broche pour se retrouver propulsé dans un film de cinéma. Sa mission est de sauver Viviane qui a été enlevée par l’ignoble Douglas Craps (Pierre-François Martin Laval) et qui la promène de films en films. De Pour une poignée de dollars à Robin des bois, Régis va vivre des aventures passionnantes.

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    L’univers du cinéma est immensément riche et on s’attendait donc à un bel hommage placé sous le signe du rire de la part de Yann Moix. Une fois qu’on se retrouve devant le film, on se dit alors que Cinéman est tout simplement une aberration ; un cauchemar pour tout bon spectateur qui se respecte. Passe encore le scénario ridiculement expéditif mais cette pseudo comédie nous gave pendant 1H30 avec ses gags très lourdauds et Dubosc en fait des tonnes ce qui tape rapidement sur les nerfs. Rarement une comédie française n’aura été aussi consternante et donc vous aurez compris qu’il vaut mieux aller voir un vrai film de cinéma.



    Il faut le voir pour : Rêver de pouvoir un jour entrer dans les films pour détruire celui-ci !

  • Les copains des neiges

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    Les petits bouts de choux ont encore frappé ! Tout ça c’est de la faute de Patapouf qui n’a pas pu résister à l’appel irrésistible de son estomac et qui s’est engouffré dans ce camion de glaces. Evidemment ; ses frères et sœurs Rosabelle, Bouboue, Bouddha & Bandit se sont laissés entrainer et voici nos 5 chiots qui sont embarqués dans un avion et atterrir de façon mouvementé en Alaska. C’est là qu’ils font la connaissance de Shasta, le chien d’Adam (Dominic Scott May) qui n’a qu’une envie ; constituer une équipe pour participer à la fameuse course annuelle de chiens de traineaux de Ferntiuktuk.

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    Nos chiots préférés sont de retour et cette fois, ils prennent des vacances d’hiver ! Suite directe du film 5 toutous prêts à tout ; on retrouve donc nos héros embarqués dans une histoire invraisemblable mais les enfants n’en tiendront pas rigueur. Pas de surprises avec Les copains des neiges, cette production Disney ne prend pas de risques et nous sert une nouvelle fois du réchauffé. On se laissera tenter avant tout pour faire plaisir aux plus petits ou alors parce que vous êtes un amoureux des petits chiens qui parlent !

    En savoir plus sur 5 toutous prêts à tout ?


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Micmacs à tire-larigot

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    Il y a exactement 30 ans, Bazil (Dany Boon) perdait son père terrassé par une mine anti-personnelle. Lui a eu plus de chances (enfin si on peut dire), il a été témoin d’un règlement de comptes et reçu une balle en pleine tête mais est toujours vivant. Malheureusement, son accident a eu d’autres répercussions puisqu’il se retrouve désormais à la rue et sans travail. Si dans un premier temps, il se débrouille seul il va ensuite rejoindre Placard (Jean-Pierre Marielle) et ses potes d’enfance, des marginaux qui se sont organisés. Un jour, Bazil se retrouve face à la cause de ses malheurs ; les marchands d’arme La vigilante de l’armement et Les arsenaux d’Aubervilliers.

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    On le sait désormais, les films de Jean-Pierre Jeunet ont cette incroyable faculté à nous transporter dans un tout autre univers et celui-ci ne déroge pas à la règle. Impossible de rester de marbre devant l’innocence de Bazil ou encore avec la facétieuse troupe de Placard, galerie de personnages vraiment insolites. Le charme aurait été complet si le scénario de Micmacs à tire-larigot ne nous semblait pas aussi paresseux. La bande à Bazil qui font des pieds et des mains pour se faire confronter deux méchants marchands d’arme, on a vu mieux. On ressort donc de la salle avec une pointe de déception même si le voyage était agréable.



    Il faut le voir pour : Rester sur vos gardes lorsque vous ouvrez votre réfrigérateur.

  • Wasabi

    Bonjour, Commissaire Hubert Fiorentino (Jean Reno)

     

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    01.jpgEn moins de 48 heures, je viens d’apprendre que la seule femme que j’ai aimé et qui m’a quitté sans donner de ses nouvelles est morte en laissant derrière elle une fille ; notre fille. Elle s’appelle Yumi (Ryoko Hirosue) et elle a 19 ans.

     

    Sa mère Miko (Yuri Sakai) a demandé dans son testament que je m’occupe d’elle jusqu’à sa majorité c'est-à-dire dans 2 jours. Bref, me voici de retour au Japon après des années d’absence. Cette affaire a quelque chose de louche, sur le corps de Miko j’ai trouvé des traces suspectes.

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    J’ai confié les relevés à mon ancien partenaire Momo (Michel Muller) afin qu’il les fasse analyser mais mon petit doigt me dit que tous ces évènements ont un rapport avec la fortune dont a hérité Yumi.

     

     

    En savoir plus sur Wasabi ?

  • Clones

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    Dans un futur proche, les progrès technologiques ont permis de créer des êtres artificiels, des clones que l’on peut contrôler à distance. Le gouvernement a également permis l’utilisation de ces clones dans la vie quotidienne et ils occupent désormais une place prépondérante dans notre société. Les agents du FBI Peters & Greer (Radha Mitchell & Bruce Willis) enquêtent actuellement sur un meurtre inquiétant puisque pour la première fois non seulement le clone a été détruit mais son utilisateur a également trouvé la mort. Les choses sont encore plus étranges lorsqu’ils apprennent que la victime n’est autre que le fils de Lionel Canter (James Cromwell), créateur de la technologie des clones.

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    Adaptation d’un comic book (Surrogates), l’histoire semble elle aussi avoir été clonée sur des films comme I Robot. On retrouve ainsi une société aseptisée envahie d’êtres artificiels où tout le monde ressemble à des mannequins sans oublier un groupe d’illuminés dénonçant cette déshumanisation à outrance. Pas brillant donc au niveau du scénario, le reste n’est pas meilleur et la présence de Bruce Willis n’y changera rien ! Avare en matière d’action et trop superficiel au niveau de l’intrigue, on échappe donc pas à ce désagréable sentiment de déjà-vu et en ce sens Clones porte bien son nom !



    Il faut le voir pour : Donner l’occasion à votre clone de se faire une séance de ciné.

  • Michael Jackson’s This is it

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    En Juillet 2009, après près de 10 ans d’absence, Michael Jackson aurait du donner une série de concert pour ponctuer son immense carrière. Nous sommes à quelques mois de cet évènement mondial, l’annonce des concerts ravit évidemment les fans qui se ruent sur les places et espèrent vivre un show mémorable. Pendant ce temps, Michael et son équipe se préparent ; les castings sont organisés pour trouver les danseurs et les répétitions vont débuter sous l’œil et devant la caméra du directeur artistique Kenny Ortega. Le roi de la pop veut offrir sa plus belle performance, pour remercier son fidèle public il souhaite tout simplement donner le meilleur de lui-même.

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    A peine quelques mois après son décès, on peut s’interroger sur les réelles motivations qui accompagnent la sortie de Michael Jackson’s This is it. Hommage au King of pop et l’occasion de célébrer sa mémoire ou pur produit marketing, chacun se fera son avis. Ce qui est sur c’est que si on été séduit par l’artiste, c’est avec émotion qu’on le reverra au cours de ces répétitions où il démontre qu’il n’a rien perdu de sa superbe. Danseur extraordinaire et chanteur de génie, il provoque les applaudissements dans la salle et fera également couler quelques larmes aux spectateurs les plus émotifs. A aucun moment, on évoque sa disparition preuve s’il le faut encore que sa légende reste immortelle.

     

    Il faut le voir pour : Michael Jackson !

  • Jennifer’s body

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    Jennifer (Megan Fox) et sa pote d’enfance Needy (Amanda Seyfried) étaient parties pour assister à un concert du groupe Low Shoulder mais la soirée allait prendre une tournure dramatique. Un incendie s’est déclaré faisant une dizaine de victimes, une tragédie pour tous les habitants de Devil’s Kettle et ce n’est pas tout ! Le même soir, Jennifer qui n’avait pas l’air dans son état normal est partie en compagnie des membres du groupe et lorsqu’elle revient elle semble comme possédée. Needy ne reconnait plus celle avec qui elle a grandi et pendant ce temps Jennifer doit assouvir sa faim en dévorant les garçons qu’elle croise.

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    Après le gros succès de Juno, Diablo Cody continue son analyse de l’adolescence mais incorpore cette fois une teinte de fantastique et d’épouvante. Si on peut volontiers un certain talent d’écriture à Jennifer’s body, la réalisation confiée à Karyn Kusama (Aeon Flux) n’a elle vraiment rien d’extraordinaire. Malgré tout on ne peut pas nier qu’on se laisse facilement entrainer dans une histoire résolument orientée vers le fun. Un film diablement efficace à défaut d’apporter du sang neuf et puis la présence de Megan Fox en dévoreuse d’hommes au sens propre comme au sens figuré n’est vraiment pas désagréable à nos yeux !



    Il faut le voir pour : Croire tout ce qui est écrit sur Wikipédia !

  • Arrête ou ma mère va tirer

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    Joe Bomowski (Sylvester Stallone) est un grand flic. Il a affronté les pires dangers, il est sorti indemne de nombreuses fusillades mais s’apprête aujourd’hui à affronter sa plus grand épreuve de sa vie : recevoir sa mère à la maison ! Dès son arrivée, Tutti (Estelle Getty) met son fils dans l’embarras n’hésitant pas à montrer toutes les photos de son enfance ou en se mêlant de sa vie sentimentale. Alors qu’elle ne devait passer que quelques jours avec lui, elle se retrouve témoin d’un meurtre alors qu’elle venait d’acheter un super flingue pour son fils. Il s’agit en fait d’une affaire bien plus compliquée et Joe ne va pas avoir d’autres choix que d’avoir pour partenaire sa mère !

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    Chercher une pure comédie dans la filmographie de Sylvester Stallone, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin et quand on tombe dessus ça ne fait pas forcément du bien ! Arnold Schwarzenegger s’était lui essayé à jouer les instits dans Un flic à la maternelle et son pote Sly a donc voulu suivre le même chemin du moins le temps d’un film. Arrête ou ma mère va tirer n’a vraiment rien de la grande comédie mais on ne peut s’empêcher de sourire devant un Stallone en couche-culotte. Forcément culte quand on connait le reste de la filmographie de l’acteur bien plus à l’aise dans les films d’action.

  • Sin Nombre

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    Mexique. Casper (Edgar Flores) est membre de la Mara, un des nombreux gangs qui gangrènent le pays. Pour défendre leur territoire, ils sont prêts à tout et le nombre de victimes ne cessent de grandir. Aujourd’hui, il est venu avec Smiley (Kristian Ferrer) son pote d’enfance dont il veut faire un nouveau membre mais faire partie du gang se mérite. Pendant ce temps, Sayra (Paulina Gaitan) accompagnée de son père et de son oncle s’apprête à quitter le Honduras pour rejoindre les Etats-Unis et plus précisément le New Jersey. Ils doivent donc traverser le Mexique mais le voyage est très dangereux et nul ne sait ce qui peut arriver au cours de leur périple.

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    On est loin du pays paradisiaque et de ses paysages fascinants, Sin Nombre dévoile un aspect plus misérable du Mexique. Un pays gangrené par la violence des gangs et leur continuelle rivalité sans oublier cette traversée de migrants rêvant de meilleurs lendemains sur le territoire américain. Un état des lieux qui se met en place à travers le destin de 2 adolescents ; l’un qui a trahi ses frères du gang et l’autre qui doit sacrifier une partie de sa vie pour assurer son avenir. Un cinéma sud-américain qui évoque le chef d’œuvre de Fernando Meirelles La cité de Dieu sans toutefois atteindre la même puissance. Une très bonne découverte d’autant plus quand on sait qu’il s’agit d’un premier film.

     

    Il faut le voir pour : Attacher votre ceinture dès que vous montez dans une voiture !

  • Tempête de boulettes géantes

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    Dès son plus jeune âge, notre pote Flint Lockwood avait ce don d’inventer toutes sortes de choses rocambolesques. Dernièrement, il s’est mis en tête de fabriquer une machine capable de transformer l’eau en nourriture mais cela n’est pas encore tout à fait au point ! Toutes ces expériences ne sont pas au gout de son père qui voudrait bien que Flint trouve un véritable travail et pourquoi pas à la boutique de pêche qu’il tient. Pris au piège, Flint trouve néanmoins le moyen de finaliser son invention mais une fois encore cela tourne à la catastrophe jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’il a provoqué une pluie de cheeseburgers !

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    Les spectateurs qui ont un gros appétit vont pouvoir se rassasier jusqu’à plus faim avec cet excellent film d’animation, un véritable régal pour les yeux. A l’origine, il y a un livre pour enfants datant de 1978 qui a inspiré l’histoire de Tempête de boulettes géantes. Un paysage enneigé de glaces aux différents parfums, des steaks qui tombent directement dans vos assiettes ; cela relève presque du fantasme et ça plaira aussi bien aux enfants qu’aux plus grands. Garni de gags et haut en couleurs, difficile de ne pas apprécier toute la saveur de ce film et on est même prêt à demander du rab !


    Il faut le voir pour : Oublier votre régime.