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action - Page 12

  • Du sang et des larmes

    cinéma, film, action, drame, guerre, du sang et des larmes,  	Mark Wahlberg, Taylor Kitsch, Emile Hirsch, Ben Foster, Yousuf Azami, Ali Suliman, Eric Bana, Alexander Ludwig, Peter Berg

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    Base aérienne de Bagram, Afghanistan. L’opération Red wings vient de recevoir le feu vert ; une équipe va être envoyée pour capturer Ahmad Shah (Yousuf Azami), un dangereux Taliban. L’équipe Spartan 01 sera constituée de nos potes Mike, Marcus, Danny & Axe (Taylor Kitsch, Marc Wahlberg, Emile Hirsch & Ben Foster) choisis parmi les meilleurs des Navy seals. Les premières heures de l’opération se déroulent sans problèmes mais ils vont se faire surprendre par des villageois durant leur planque. La mission est désormais compromise et pour ne rien arranger, impossible de contacter la base. Mike prend alors la décision de relâcher les otages et de rebrousser chemin mais les Talibans se mettent vite à leur recherche.

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    Ce n’est pas un énième film sur la guerre en Afghanistan, Du sang  et des larmes est d’abord un hommage aux Navy seals et à l’équipe qui a mené l’opération Red wings. Le scénario s’inspire en effet de la réalité et retrace ainsi une mission particulièrement sanglante avec un dénouement qui donnera naissance à une belle histoire. Coté réalisation, à défaut de faire du raffiné Peter Berg fait dans l’efficacité et ça marche parfaitement. Les tirs et explosions résonnent au cœur des montagnes afghanes et surtout la violence est exposée de manière brute (les chutes me font d’ailleurs encore bien mal !). En dehors de quelques scènes où le patriotisme est un peu trop poussé voilà un film d’action qui vous fera passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de sauter des falaises, les chutes peuvent faire mal !

  • Kaizoku Sentai Gokaiger Vs. Uchū Keiji Gyaban : The Movie

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    La bataille a commencé dans le ciel et s’est poursuivi sur la terre ferme ; Captain Marvelous, Joe Gibken, Luka Millfy, Don Dogoier, Ahim de Famille (Ryota Ozawa, Yuki Yamada, Mao Ichimichi, Kazuki Shimizu, Yui Koike) autrement dit les Gokaigers qui affrontent Gyaban (Kenji Ōba). Ce dernier est venu les capturer sur ordre du Commandant de la police de l’espace Weeval (Shiro Sano) mais il flaire quelque chose de louche et ses soupçons se confirment lorsque le monstre Ashurada  fait alors son apparition. Gyaban parvient à libérer les Gokaigers qui s’enfuiront avec Gai Ikari (Junya Ikeda) venu à leur rescousse mais se faisant il est capturé et est fait prisonnier dans le monde Makuu. Pour Captain Marvelous, cette rencontre avec Gyaban fait remonter un lointain souvenir ; il lui doit la vie et compte bien le remercier en allant à son secours.

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    Commençons par une petite présentation de Kaizoku Sentai Gokaiger qui est la 35ème série des Super Sentai et qui s’inspire grandement de One Piece puisque les héros sont cette fois des pirates ! Quant à Gyaban vous le connaissez peut-être sous le nom d’X-Or et voilà donc un crossover impressionnant imaginé à l’occasion du 35ème anniversaire des séries Super Sentai et du 30ème de Gyaban. Bien sur quand on connait les 2 séries, ce Kaizoku Sentai Gokaiger Vs. Uchū Keiji Gyaban : The Movie est un petit bijou d’autant que d’autres guests se sont invités à la fête avec les débuts des Tokumei Sentai Go-Busters ou encore les apparitions de Battle Kenya et Denzi Blue. Des héros à la pelle, de l’action à gogo et toujours l’inimitable Kenji Ōba ; c’est simple j’ai retrouvé mon âme d’enfant, en même temps il n’était pas parti bien loin.

  • Hunger Games – L’embrasement

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    Après avoir été déclarés grands vainqueurs de la 74ème édition des Hunger Games, Katniss Everdeen & Peeta Mellark (Jennifer Lawrence & Josh Hutcherson) ont regagné le District 12. Un repos de courte durée puisqu’ils sont sur le point d’entamer une tournée où ils seront les témoins de la gronde de la population. Une situation qui ne plait pas au Président Snow (Donald Sutherland) et qui, avec l’aide du nouveau haut juge Plutarch Heavensbee (Philip Seymour Hoffman), va non seulement lancer les 75ème Hunger Games mais aussi célébrer la 3ème expiation. Leur but est de neutraliser Katniss qui est devenue un véritable symbole d’espoir auprès de tous les districts et d’écraser tous ceux qui l’entourent.

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    Le succès était au rendez-vous pour l’adaptation du roman de Suzanne Collins, le retour de Katniss & Peeta était donc inévitable pour cette suite qui met beaucoup de temps à démarrer. Il faut en effet attendre presque 1H30 avant de pouvoir se mettre sous la dent quelques scènes d’action potables. Il suffira ensuite d’un habile tour de passe-passe scénaristique pour nous refourguer une nouvelle séance de massacre à coups de flèches et autres armes sorties d’un catalogue de chez Nerf. Non franchement aucun intérêt là non plus si ce n’est la conclusion … qui nous invite à attendre les prochains épisodes ! Il vaudrait d’ailleurs mieux que ça dépote davantage parce qu’il y a tromperie sur le titre ; Hunger Games – L’embrasement ? Une petite étincelle tout au plus !

     

    Il faut le voir pour : Prendre plus souvent l’ascenseur, il y a parfois de belles rencontres !


    En savoir plus sur Hunger Games ?

  • Uchū Keiji Gyaban The movie

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    Potes d’enfance, Itsuki, Geki & Toya (Yukari Taki, Yuma Ishigaki & Takuya Nagaoka) se sont promis un jour de partir à la conquête de l’espace. Quelques années plus tard, leurs rêves se sont réalisés puisque Geki & Toya ont embarqué pour une mission capitale sur Mars. Hélas, on finit par perdre leurs traces et cela fait 1 an qu’Itsuki  reste sans nouvelles d’eux mais garde l’espoir de les revoir un jour. Alors qu’elle est attaquée par un monstre sorti de nulle art, un justicier en armure argenté vient pour la sauver : Uchū Keiji Gavan, elle reconnait alors son ami de toujours Geki. Une autre question ne tarde pas à se poser qu’est-il arrivé à Toya ?

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    Bon déjà il faut savoir que j’adorais X-Or donc la perspective de voir un film sur ce célèbre Metal Heroe me réjouissait au plus haut point. Rappelons qu’il s’agit d’une série japonaise de 44 épisodes qui a eu droit à une diffusion française à partir de 1983 incarné à l’époque par Kenji Ōba. Pour en revenir à Uchū Keiji Gyaban The movie, il prend la suite de la série et que les fans se réassurent un guest en blouson de cuir marron et en pantalon blanc fera son apparition. Il faut d’ailleurs attendre son arrivée pour voir un peu d’animation car on s’endormait peu à peu devant ce film bien kitsch et pas aidé par des effets spéciaux branlants. Il n’y a bien que les fans du héros gris métallisé qui passeront un bon moment tandis que les autres joueront les indifférents.

  • Urban fighter

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    Si jamais l’envie vous prend un jour de faire un tour du coté de chez Mikey (Mike Möller), vous risquez d’être frappé au sens propre comme au sens figuré. Il y règne en effet un climat de violence instauré par les gangs de la ville et notamment les Bloods menés par Slater (Volkram Zschiesche) qui viennent de faire une nouvelle victime. Mikey et ses potes d’enfance pleurent la disparition de Mathis (Mathis Landwehr) qui ne restera pas impuni ! Il existe un tournoi où s’affrontent les meilleurs combattants des gangs et où la domination des Bloods est sans conteste mais Mikey est bien décidé à y mettre un terme. Grâce à un entrainement intensif, il va perfectionner ses techniques jusqu’à devenir invincible.

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    Alors j’ai quand même effectué quelques recherches sur Internet et oui ce film est disponible à la vente !! Pourquoi je vous dis ça ? Il suffira de 5 minutes devant Urban fighter pour comprendre qu’on a là un super film amateur. Au départ on ne sait pas trop si on a devant nous une parodie ou un truc complètement pourri mais la seconde option s’impose vite avec une réalisation aussi élaborée qu’un film de vacances, des comédiens recyclés d’AB Productions ou encore des scènes aberrantes (Mikey à la neige ou Mikey dans cette sorte d’usine). On sera généreux en accordant au moins à ce film que les scènes de baston sont à peu près potables mais ça n’empêchera pas qu’on a là un beau navet à offrir à vos meilleurs ennemis !

  • Evasion

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    Cela fait 7 ans que notre pote Ray Breslin (Sylvester Stallone) teste en situation réelle la sécurité des prisons et jusqu’à présent aucune n’a su lui résister. Un nouveau challenge l’attend ; c’est la CIA qui fait cette fois appel à ses services afin d’évaluer une prison non-officielle et une mission qui lui rapportera un beau pactole. Une décision qu’il regrettera très vite puisqu’il s’agit en réalité d’un piège ; Ray est livré à lui-même mais il ne va pas pour autant baisser les bras. L’évasion reste possible mais il va devoir identifier les failles de cette prison et pourra compter sur le soutien de son tout nouveau pote d’enfance Emil Rottmayer (Arnold Schwarzenegger) qui a pas mal de relations, ce qui peut toujours servir !

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    On avait eu droit à un avant-gout avec les Expendables, la réunion entre Sylvester Stallone & Arnold Schwarzenegger dans un film a enfin eu lieu (On pourra aussi saluer 50 Cent venu faire de la figuration). Pour les nostalgiques des films d’action des années 1980, c’est une vraie bénédiction d’autant plus que le réalisateur Mikael Hafstrom semble être lui aussi resté bloqué à la même époque. On va éviter d’évoquer le scénario rocambolesque mais quitte à partir dans le délire autant y aller à fond ce que ne fait évidemment pas du tout Evasion sans compter que les scènes d’action sont plus que décevantes. On est donc loin du divertissement promis et j’ai envie de dire que ce n’est pas avec ça qu’on va pouvoir s’évader !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que vous n’avez pas forcément besoin de vous faire tatouer les plans d’une prison pour vous évader !

  • La stratégie Ender

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    L’invasion de la Terre par des extraterrestres appelés Doryphores fut aussi dévastatrice qu’inattendue. Il y eut des millions de victimes et la planète a survécu grâce au courage du légendaire Mazer Rackham (Ben Kingsley) qui n’a pas hésité à se sacrifier. Depuis 50 ans, on se prépare à une nouvelle offensive et notre salut ne passera que par les jeunes surdoués comme notre pote Ender Wiggin (Asa Butterfield). Le Colonel Graff (Harrison Ford) est en effet persuadé qu’il a les capacités requises pour tenir un grand rôle dans ce combat crucial mais sa formation est encore loin d’être achevée. C’est ainsi qu’il quitte la Terre et sa famille pour intégrer une académie militaire où il pourra se perfectionner dans l’espoir de sauver l’humanité.

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    Roman d’Orson Scott Card publié depuis 1985, La stratégie Ender a lancé une saga qui pourrait bien s’installer durablement au cinéma. Le principe se rapproche assez de lui d’Harry Potter puisque notre pote Asa Butterfield intègre lui aussi une école pour optimiser ses incroyables dons. Si Hermione & Ron ne sont pas de la partie, ils sont ici remplacés par Petra & Alai sans oublier le traditionnel rival qui ne peut pas blairer le héros. On ne peut pas dire qu’on soit vraiment ébloui, durant la première partie on se contente d’un Laser quest sans gravité et les seules véritables scènes d’action ne mettent en scène que des vaisseaux spatiaux. Ça a beau se dérouler dans l’espace, ça ne vole pas bien haut !

     

    Il faut le voir pour : Laisser vos enfants jouer tranquillement aux jeux vidéos, ça pourrait un jour sauver la Terre !

  • Thor : Le monde des ténèbres

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    Les Avengers ont triomphé de la folie de Loki (Tom Hiddleston) et celui-ci est condamné par Odin (Anthony Hopkins) à être enfermé dans les cachots d’Asgard. Pendant ce temps, notre pote Thor (Chris Hemsworth) s’échine à ramener la paix sur les 9 royaumes mais découvre qu’il se passe quelque chose d’étrange en rapport avec Jane Foster (Natalie Portman). Pendant quelques heures, celle-ci a en effet disparu de la Terre et est entrée en contact avec l’Ether réveillant au même moment le terrible Malekith (Christopher Eccleston). Autrefois, avec son armée d’elfes noirs il voulait plonger nos mondes dans les ténèbres mais il fut arrêté par les asgardiens mais cette fois il est déterminé à atteindre son but.

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    C’est donc au tour du Dieu du tonnerre de faire son retour et le premier changement à noter se situe au niveau de la réalisation. Kenneth Branagh laisse en effet place à Alan Taylor débutant au cinéma mais habitué aux plateaux de séries télévisées (dont le succès Game of thrones). On n’y perd pas au change car ce Thor : Le monde des ténèbres est une suite de grande qualité même plus sympa que son prédécesseur. On y retrouve une atmosphère Heroïc fantasy qui sied à merveille assorti de bonnes scènes d’action et d’une petite dose d’humour ; le succès devrait une nouvelle fois être au rendez-vous pour ce Coup de cœur Ciné2909. Un regret toutefois, un scénario peu excitant et des personnages secondaires comme Sif, Volstagg ou Fandral qui mériteraient plus de présences à l’écran.

     

    Il faut le voir pour : Soulever des voitures à la main pour votre vidange, ce n’est pas si lourd !



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  • Malavita

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    Une nouvelle famille vient de déposer ses valises dans le petit village de Cholong-sur-Avre mais les Blake n’ont pas vraiment choisi leur destination. Depuis qu’ils ont quitté Brooklyn et surtout la Mafia, Maggie & Fred (Michelle Pfeiffer & Robert De Niro) accompagnés de leurs enfants Belle & Warren (Dianna Agron & John D’Leo) cherchent à se faire discret avec l’aide du FBI. Considérés comme des traitres, leurs têtes sont mises à prix et mieux vaut éviter de penser aux conséquences s’ils se faisaient un jour repérer. En attendant, ils vont pouvoir profiter d’une vie normale enfin presque puisqu’ils ne sont pas à l’abri d’un petit dérapage de temps à autre.

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    Pour adapter le roman de Tonino Benacquista, Luc Besson a vu les choses en grand puisque non content d’avoir Martin Scorcese comme producteur, il s’offre aussi les présences de Michelle Pfeiffer, Robert De Niro & Tommy Lee Jones. Au milieu de tous ces grands noms, la seule anomalie reste le réalisateur français qui prouve, une fois n’est pas coutume, avec Malavita qu’il a bien du mal à s’adapter à l’ère du temps. Des personnages sans saveurs aux clichés qui ne réussissent même pas à nous arracher un sourire en coin, difficile de s’emballer pour un film totalement dépassé et au final on ne peut que constater ce terrible gâchis.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller vos nouveaux voisins !

  • The mortal instruments : La cité des ténèbres

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    Alors qu’elle vient de fêter ses 15 ans, Clary (Lily Collins) est victime de drôles d’hallucinations ces derniers temps. Il y a d’abord cet étrange symbole qu’elle voit partout et puis lorsqu’elle était dans cette boite de nuit avec son pote d’enfance Simon (Robert Sheehan) ; elle est persuadée d’avoir assisté à un meurtre. Tout porte à croire qu’elle est devenue folle mais la vérité est qu’elle n’est pas humaine puisque sa mère Jocelyn (Lena Headey) est ce qu’on appelle une chasseuse d’ombres. D’ailleurs, cette dernière disparait après avoir été attaquée par les hommes d’un certain Valentin (Jonathan Rhys Meyers) à la recherche d’une précieuse coupe. Avec l’aide de Jace (Jamie Campbell Bower) lui aussi chasseur d’ombres, Clary va tenter de la retrouver.

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    Toujours en quête d’une saga qui pourrait succéder à Twilight, se présente cette fois devant nous The mortal instruments : La cité des ténèbres adapté du roman de Cassandra Clare. Ici, il y aura également vampires et loups-garous mais ils joueront un rôle plus secondaire face aux chasseurs d’ombres et les démons pouvant prendre n’importe quelle apparence. Là aussi se forme un triangle amoureux sauf qu’une sacrée révélation va tout chambouler, il y a un peu plus d’action qu’à l’accoutumée mais la réalisation est assez confuse et le tout finit par être insipide. Et puis quelle déception de voir Robert Sheehan (le Nathan de Misfits) dans ce rôle de seconde zone ! A réserver aux lecteurs du roman et encore …

     

    Il faut le voir pour : Ecouter plus souvent du Jean-Sébastien Bach, on ne sait jamais !