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Comédie - Page 39

  • Le dîner de cons

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    La date fatidique du dîner approche et Pierre Brochand (Thierry Lhermitte) n’a toujours pas trouvé son invité. Ce dîner est en fait un rituel qu’il a mis en place avec certains de ses potes d’enfance ; le but est de ramener l’invité le plus con possible et de le laisser parler. Heureusement pour Pierre, les amis sont là et on lui a repéré quelqu’un qui fera sensation, il s’appelle François Pignon (Jacques VIlleret) et a pour passion les constructions en allumettes. C’est exactement la personne qu’il recherchait  mais Pierre pourrait bien être contraint d’annuler le dîner après le tour de rein qu’il s’est fait au golf. Il est encore loin d’imaginer la soirée mouvementée qu’il va vivre !

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    Qui ne connait pas Le dîner de cons ? Que ce soit sur les planches du théâtre ou bien à travers cette adaptation signée Francis Veber, cette comédie est devenue un classique pour beaucoup. C’est sur que ce n’est pas au niveau de la réalisation sobre pour ne pas dire sommaire que le spectateur sera emballé mais l’essentiel réside dans les personnages et des dialogues devenus cultes. Comment résister à l’hilarant Jacques Villeret à coup sur la plus belle incarnation de François Pignon et aux malheurs de ce pauvre Thierry Lhermitte. C’est con et c’est bon, à voir et à revoir sans aucune modération !

     

    La scène culte à ne pas louper : L’appel de François à Juste Leblanc.

  • Imogene

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    En l’espace de seulement quelques jours, la vie de notre pote Imogene (Kristen Wiig) a été chamboulée. Plaquée par Peter (Brian Petsos), elle n’allait pas tarder à se retrouver sans boulot et c’est donc totalement désespérée qu’elle tente de reconquérir son ex-petit-ami hollandais. Elle met ainsi en scène une fausse tentative de suicide en espérant que cela le ferait réagir mais c’est Dara (June Diane Raphael) qui la trouve inanimée. Hospitalisée, Imogene est ensuite confiée aux bons soins de sa mère Zelda (Annette Bening) qui va veiller sur elle (enfin essayer) à Ocean City dans le New Jersey. Ce retour aux sources n’est pas pour la ravir même si cela lui permet de revoir son frère Ralph (Christopher Fitzgerald) mais elle y apprendra une incroyable nouvelle à propos de son père.

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    On la surveillait du coin de l’œil cette comédie de Shari Springer Berman & Robert Pulcini puisqu’elle offre une nouvelle fois le premier rôle à Kristen Wiig qui nous avait tellement éclaté dans Mes meilleures amies. Imogene, c’est une auteure de théâtre qui a connu un succès fulgurant mais qui va devoir quitter New York pour le New Jersey et retrouver un frère recroquevillé dans sa carapace, un beau-père (George Bousche quand même !) douteux et puis surtout la réapparition inespérée d’un proche. Dit comme ça, on dirait bien qu’on baigne dans une douce folie malheureusement l’humour est aux abonnés absents si bien qu’au final c’est l’ennui qui nous gagne.

     

    Il faut le voir pour : Rester dans votre carapace.

  • R.I.P.D. Brigade fantôme

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    Notre pote Nick Walker (Ryan Reynolds) vient de mourir. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais en réalité elle ne vient que de commencer puisqu’il va se retrouver dans les bureaux du Rest In Peace Department autrement dit la Brigade fantôme. Leur objectif est de neutraliser les monstres qui ont réussi à rester sur Terre et Nick accepte son nouveau rôle en espérant pouvoir revoir ainsi sa femme Julia (Stephanie Szostak). Il ignore encore tout de cet univers qui est le sien désormais mais son partenaire Roicephus Pulsipher (Jeff Gridges) va vite le mettre au parfum et ces 2 flics ne manqueront pas de boulot. Ils sont en effet sur une affaire de vol d’or mais dont l’enjeu est bien plus important qu’ils ne le pensaient.

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    Même si l’idée fait penser aux célèbres Men In Black, R.I.P.D. Brigade fantôme partait sur de bonnes bases pour nous faire passer un bon moment. C’est vrai qu’il était plutôt amusant de voir le duo Bridges / Reynolds partir à la chasse aux monstres avec notamment une belle trouvaille pour bosser incognito. En dehors de ça, pas grand-chose d’autre à signaler ; la comédie sent le réchauffé manquant d’humour, de dérision bref de quoi nous éclater vraiment. De la déception et un sentiment de gâchis devant une comédie qui ne dépassera pas le stade d’un simple amusement et c’est bien dommage.

     

    Il faut le voir pour : Si vous sortez avec une belle blonde, invitez la au restaurant indien.

  • Les schtroumpfs 2

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    Chaque année à l’approche de son anniversaire, la pauvre Schtroumpfette fait ce cauchemar récurrent où elle redevient la créature agissant aux ordres de son "père", l’horrible sorcier Gargamel (Hank Azaria). Heureusement que le Grand Schtroumpf est là pour la rassurer d’autant plus qu’elle ignore que tout le village lui réserve une grande fête. Elle n’aura pas le temps de le savoir puisqu’elle est enlevée par Vexy et ramenée dans le monde des humains où l’attend Gargamel ! Pas de schtroumpf à perdre ; une équipe de schtroumpfs s’apprête à la rejoindre mais ce ne sont pas vraiment ceux que le Grand schtroumpf avait prévu d’amener. Il faudra faire avec, il leur faut maintenant demander l’aide de leur potes d’enfance Patrick (Neil Patrick Harris).

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    Bon ba voilà, c’était inévitable les hommes bleus sont de retour avec Les schtroumpfs 2 et après avoir mis à sac New York, voilà qu’ils s’attaquent à notre bonne vieille ville lumière qu’est Paris. Entre deux escargots, les célèbres créatures crées par Peyo repartent pour de nouvelles aventures et pour satisfaire le public, c’est une nouvelle équipe qui se forme mais c’est loin d’être suffisant pour nous séduire ! On attendait mieux du passage dans la capitale française, s’il y a bien l’Opéra Garnier (encore que ça laissera les enfants indifférents) ou la grande roue qui devient folle ; on doit se contenter de chambres d’hôtel ou des égouts de la ville ce qui est assez triste. Bien sur, pour les enfants la seule présence des schtroumpfs suffit à passer un bon moment mais tout même ça a de quoi nous faire voir bleu … pardon rouge !

     

    Il faut le voir pour : Ajouter Azraël dans vos contacts Facebook !


    En savoir plus sur Les schtroumpfs ?

  • Prof poids lourd

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    Prof de biologie, notre pote Scott Voss (Kevin James) semble avoir un problème avec les réveils puisque le voilà une fois encore en retard ! De toute façon, on ne peut pas dire qu’il s’agisse d’un prof très passionné aussi a-t-il crée la surprise en défendant son collègue Marty (Henry Winkler). Ce prof de musique risque en effet de se retrouver sans travail en raison de coupes budgétaires et ça tombe très mal puisqu’il va prochainement être père. Pour sauver sa classe, il faudrait réunir au bas mot 48 000 dollars et ce ne sont pas les cours du soir qu’il donne que Scott pourra y arriver. Il a alors une idée improbable : participer à des combats de MMA !

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    On l’avait connu plutôt rondouillard, on retrouve un Kevin James en bonne forme physique et assez convaincant dans ce rôle de prof / lutteur de MMA. A ses cotés, on est content de revoir également ce cher Henry Winkler, l’éternel Fonzie de la série télévisée Happy Days ainsi que Salma Hayek mais tout ce beau monde ne suffit pas à faire une bonne comédie. Ce n’est déjà pas du coté du scénario qu’il faudra chercher un coup fulgurant puisqu’il n’y a rien de très extraordinaire de même que les scènes de combat sont assez décevants en dehors de la confrontation finale. A la pesée et avec son humour trop banal, Prof poids lourd est destiné à évoluer dans la division de la comédie catégorie poids moyen.

  • Juliette

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    Juliette (Astrid Berges-Frisbey) a bientôt 25 ans, elle vit à Paris et elle a terminé ses études depuis l’année dernière mais n’a pas encore de travail. Elle se contente pour le moment de profiter de son temps libre pour sortir et s’éclater avec ses potes d’enfance mais elle ne pourra pas continuer à vivre ainsi éternellement. Son père (Féodor Atkine) a été admis à l’hôpital il y a quelques jours à cause d’une fièvre persistante mais son état ne semble pas s’améliorer. Louise (Elodie Bouchez) aimerait bien que sa jeune sœur commence à prendre réellement sa vie en mains mais Juliette semble encore hantée par les souvenirs d’une mère absente et d’une relation amoureuse compliquée.

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    Portrait d’une jeune parisienne confrontée à un moment difficile de sa vie où elle voit son père s’éteindre et où elle doit trouver un sens à sa vie. Adorable, mélancolique, vivante, agaçante ; Juliette c’est tout ça à la fois et Astrid Berges-Frisbey a son personnage dans la peau. Coté réalisation, Pierre Godeau signe un film qui prend parfois des aspects décalés comme ce camion qu’on dirait tout droit sorti de l’univers de Michel Gondry. Le film ne trouvera pas d’écho auprès de tout le monde mais c’est la petite découverte du moment grâce en grande partie à son interprète principale qui rayonne et apporte une vraie fraicheur.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas croire que vous êtes en couple même si vous avez le double des clés de l’appartement !

  • Fanny

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    Marius (Raphaël Personnaz) a embarqué sur La Malaisie et c’est un long voyage de 5 ans qui l’attend désormais. A Marseille, ses proches ont encore du mal à s’en remettre ; son père César (Daniel Auteuil) ne décolère pas d’avoir appris que son fils est parti comme un voleur tandis que Fanny (Victoire Belezy) est envahie de chagrin. Doucement, ils tentent de reprendre le cours de leur vie mais la jeune femme va de nouveau être bouleversée lorsqu’elle apprend qu’elle attend un enfant de Marius. Cette nouvelle tombe d’autant plus mal qu’Honoré Panisse (Jean-Pierre Darroussin) venait de renouveler sa demande en mariage auprès de la mère de Fanny.

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    Après La fille du puisatier, Daniel Auteuil continue de nous faire redécouvrir l’univers de Marcel Pagnol en adaptant La Trilogie Marseillaise avec ses 2 premiers volets Marius & Fanny. Les vedettes se nomment Victoire Belezy & Raphaël Personnaz et ça saute aux yeux, ils forment un magnifique couple à l’écran ce qui est déjà un bon point de départ. Pour le reste, on ne peut pas dire que le réalisateur français ait fait preuve d’audace puisque les 2 films sont d’un grand classicisme ce qui facilite en même temps le sentiment nostalgique qu’éprouveront certains spectateurs. Evidemment, ça n’enlève en rien à leurs qualités ; les seconds rôles sont savoureux (avec notamment un beau duo Chazel /Ascaride), les accents chantants et surtout les dialogues de Pagnol qui font toujours autant rire. Ne reste plus qu’à attendre la conclusion de tout ça avec César.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller votre femme enceinte, un accouchement à 7 mois de grossesse ça peut arriver !


    En savoir plus sur Marius ?

  • Marius

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    Marius (Raphaël Personnaz) travaille avec son père César (Daniel Auteuil) au Café de la marine mais le jeune homme rêve en secret de prendre un jour la mer. Grace à Piquoiseau (Rufus), il pourrait prochainement trouver une place à bord du voilier La Malaisie mais partir n’est pas si facile car il laisserait derrière lui la belle Fanny (Victoire Belezy). Véritable pote d’enfance, Marius a réellement pris conscience de ses sentiments pour elle lorsque celle-ci a annoncé qu’elle épouserait prochainement le vieux Panisse (Jean-Pierre Darroussin). Fou de jalousie, il fera tout pour l’en dissuader mais dans le même temps il ne peut pas révéler ce qu’il ressent vraiment car il garde au fond de lui l’espoir de prendre la mer.

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    Après La fille du puisatier, Daniel Auteuil continue de nous faire redécouvrir l’univers de Marcel Pagnol en adaptant La Trilogie Marseillaise avec ses 2 premiers volets Marius & Fanny. Les vedettes se nomment Victoire Belezy & Raphaël Personnaz et ça saute aux yeux, ils forment un magnifique couple à l’écran ce qui est déjà un bon point de départ. Pour le reste, on ne peut pas dire que le réalisateur français ait fait preuve d’audace puisque les 2 films sont d’un grand classicisme ce qui facilite en même temps le sentiment nostalgique qu’éprouveront certains spectateurs. Evidemment, ça n’enlève en rien à leurs qualités ; les seconds rôles sont savoureux (avec notamment un beau duo Chazel /Ascaride), les accents chantants et surtout les dialogues de Pagnol qui font toujours autant rire. Ne reste plus qu’à attendre la conclusion de tout ça avec César.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à caser 4/3 dans un verre !


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    Fanny ?

  • Le grand méchant loup

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    Pour nos potes Louis, Philippe & Henri (Kad Merad, Benoit Poelvoorde & Fred Testot) ça a été un choc ; ils viennent en effet d’apprendre que leur mère a été victime d’un infarctus. Inconsciente, c’est sur son lit d’hôpital qu’ils viennent lui rendre visite et c’est à partir de cet évènement que ces 3 frères vont aussi voir leurs ennuis débuter. Tout commence avec Philippe, marié et père de 2 filles mais qui trouve sa vie terriblement ennuyeuse aussi lorsqu’il rencontre la pétillante Natacha (Charlotte Le Bon), il tombe tout de suite sous son charme. Un coup de folie qui va alors agir comme un déclic auprès d’Henri & Louis qui vont se rapprocher respectivement de Lai (Linh-Dan Pham) et d’Éléonore (Cristiana Reali) mettant ainsi en péril leurs couples.

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    Le remake n’a pas de frontières ; si le cinéma français inspire des productions internationales, la réciproque est aussi vraie. C’est donc le film canadien Les 3 p’tits cochons qu’adaptent le duo Nicolas & Bruno qui nous avaient bien fait marrer avec La personne aux deux personnes. Si vous ne connaissez pas l’œuvre originale, difficile de ne pas craquer avec Le grand méchant loup qui brille déjà par un superbe casting (en plus de ça pas dénué de charme chez les femmes !). Les rires et le plaisir sont donc bien au rendez-vous ; pas le temps de s’ennuyer on passe un excellent moment devant cette comédie réussie et ce, même si vous avez déjà vu l’original.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les frères de votre mec !

  • Ma meilleure amie, sa sœur et moi

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    Jack (Mark Duplass) traverse une période difficile depuis la mort de son frère et c’est pourquoi Iris (Emily Blunt), sa pote d’enfance l’invite à faire un break. Celle qui fut aussi la petite-amie de son frère l’envoie donc dans la maison de son père, un coin de tranquillité qui devrait lui faire le plus grand bien. Jack suit ses conseils mais à sa grande surprise, il découvre qu’il y a déjà quelqu’un dans cette maison : Hannah (Rosemarie DeWitt), la sœur d’Iris. Celle-ci voulait aussi faire le point après sa récente rupture et c’est en compagnie d’une bouteille de Tequila qu’elle comptait se consoler mais l’arrivée de Jack va bouleverser les choses.

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    L’absence d’un frère disparu, une récente rupture et un amour considéré comme impossible ; ce sont autant de blessures que tentent de panser le trio Emily Blunt / Rosemarie DeWitt / Mark Duplass.  On pourrait presque résumer Ma meilleure amie, sa sœur et moi à un huis-clos puisque ces 3 personnages se retrouvent dans une maison perdue en plein cœur de la nature où les vérités vont se révéler. On se retrouve en compagnie de personnages plutôt charmants à travers des situations assez cocasses et on passe un bon moment mais il manque quelque chose au film de Lynn Shelton (Humpday) pour réussir à nous séduire. Une fois le générique de fin passé, c’est le genre de film qu’on a toutes les chances d’oublier totalement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de parler dans le dos des autres.