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Cinéma - Page 208

  • Blanche-Neige et les sept nains

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    Lorsque la Reine interroge son miroir magique pour connaitre la plus belle femme du Royaume, elle ne s’attendait certainement pas à ce que la réponse soit Blanche-Neige. Courroucée par cette révélation, elle charge son valet de la tuer ce qui lui permettra ainsi de devenir la plus belle des reines. Au dernier moment, le valet ne peut exécuter l’ordre qu’on lui a donné et invite Blanche-Neige à s’enfuir dans la foret où elle finira par trouver refuge dans une maison désordonnée. Avec l’aide des animaux, elle va rafraîchir cette maison qui en avait bien besoin et puis, terrassée de fatigue, elle s’écroule de sommeil dans ces drôles de petits lits. Quelle surprise lorsqu’à son réveil elle se voit accueillie par 7 adorables nains qui vont l’adopter sans la moindre hésitation …enfin à part notre pote Grincheux !

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    Considéré par beaucoup comme la référence ultime de l’œuvre de Walt Disney, Blanche-Neige et les sept nains est surtout son premier film d’animation, celui qui allait changer à jamais le paysage cinématographique. A l’époque de sa sortie, peu de gens croyaient possible qu’un simple dessin animé parvienne à séduire les spectateurs mais 70 ans plus tard on ne peut que s’incliner devant cette adaptation magique du conte des Frères Grimm. Outre ses qualités esthétiques, la bande originale a également une place toute particulière puisque se graveront dans nos mémoires le célèbre Heigh-ho des sept nains mais également le désormais classique Un jour mon prince viendra. Un œuvre immense et incontournable qui a posé les fondations d’un genre.

     

    La scène à ne pas louper : Le ménage de la maison des 7 nains.

  • Conan

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    Notre pote Conan (Leo Howard / Jason Momoa) a vu le jour dans le sang et la poussière, son premier cri a ainsi accompagné les derniers moments de la vie de sa mère. Ce barbare Cimmérien a ensuite grandit avec son père Corin (Ron Perlman) qui lui a tout appris et fait de lui un redoutable guerrier dès le plus jeune âge. Le destin va toutefois encore s’acharner sur le garçon puisque son village est attaqué par Khalar Zym (Stephen Lang) et son armée et malgré tous les efforts de Conan, il ne peut sauver son père de la mort. Les années s’écoulent mais le barbare cherche plus que jamais à assouvir sa vengeance et il parvient enfin à retrouver la trace de cet homme devenu un seigneur craint et respecté.

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    Il ne faut pas se leurrer quand on entre dans la salle pour voir Conan, on sait forcément à quoi s’attendre à savoir une ode à l’action et aux bonnes bastons. Au vu de l’intérêt limité de faire ce type de films, on peut quand même s’interroger sur les raisons qui ont poussé à faire un remake à Conan, le barbare. Il semblerait qu’une trilogie se mette en place mais si tel est le cas, il va falloir engager de bons scénaristes ! Comme tout barbare qui se respecte, notre pote Cimmérien décapite, éventre, massacre ou casse simplement la gueule (quand il est fatigué) de ses ennemis ; une violence exacerbée parfois inutile. Pas besoin de faire dans la boucherie pour assurer le spectacle et d’ailleurs la scène qu’on retiendra restera celle le confrontant aux hommes de sable. Pourtant friand de ce genre de divertissement, l’ennui a rapidement pris le dessus sur le plaisir.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de mettre vos doigts dans le nez (quand vous en avez un).

  • Comment tuer son boss ?

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    Nick, Dale & Kurt (Jason Bateman, Charlie Day & Jason Sudeikis) sont potes d’enfance et lorsque le soir venu ils se retrouvent pour boire un coup, ils n’ont qu’un seul sujet de conversation : leurs patrons ! Cela fait plus de 8 ans que Nick se démène et accumule les heures supplémentaires dans l’espoir d’obtenir une promotion promise par Dave Harken (Kevin Spacey), le directeur de la boite mais il s’avère qu’il est un vrai ******. Pour, Kurt, tout allait bien avec Jack Pellit (Donald Sutherland) mais lorsque celui-ci meurt d’un infarctus, c’est le fils Bobby Pellit (Colin Farrell) qui prend les rênes et le paradis laisse alors place à l’enfer ! Il n’y a que Dale qui s’en tire plutôt bien ; cet assistant dentaire n’est victime que d’harcèlement sexuel de la part du Dr. Julia Harris (Jennifer Aniston), nymphomane ambulante. De leurs conversations découle une idée saugrenue : et si ils se débarrassaient de leurs boss ?

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    On l’a tous vécu un jour ou l’autre, cette aversion pour nos patrons alimente ainsi cette nouvelle comédie de Seth Gordon. Déjà que le trio Bateman / Sudeikis / Day nous promettait quelques bonnes tranches de rigolade ; leurs adversaires ne sont autres que Spacey / Farrell / Aniston auxquels il faut ajouter Foxx & Sutherland. Belle affiche pour Comment tuer son boss ? et pas de mauvaise surprise, on passe effectivement un bon moment avec ses apprentis meurtriers dopés aux épisodes de New York District. On appréciera tout particulièrement la prestation remarquée de Charlie Day mais dont la voix stridente peut à tout moment vous hérisser les poils. Spectateurs, spectatrices si vous avez besoin de vous changer les idées, de rigoler après une dure journée de labeur alors vous avez ce qu’il vous faut !

     

    Il faut le voir pour : Changer régulièrement de brosse à dents.

  • Street Fighter - La légende de Chun-Li

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    Alors qu’elle n’était encore qu’une enfant, notre pote Chun-Li (Kristin Kreuk) a assisté impuissante à l’enlèvement de son père par un homme du nom de Bison (Neal McDonough). Des années plus tard, elle est devenue une célèbre pianiste sur la scène internationale mais elle est surtout préoccupée par l’état de santé de sa mère. Celle-ci rend son dernier souffle quelques jours plus tard et Chun-Li décide alors de quitter sa vie confortable et part pour Bangkok à la recherche d’un certain Gen (Robin Shou) où elle retrouve également la trace de Bison. La jeune femme va enfin pouvoir régler ses comptes !

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    Quand on évoque Street Fighter, on pense forcément à cette première adaptation datant de 1994 avec comme chef de file Jean-Claude Van-Damme. Ce film avait de quoi donner un infarctus à tous les fans du jeu vidéo et l’annonce de ce nouvel épisode n’était pas pour nous rassurer. Ici, on préfère braquer les projecteurs sur le personnage de Chun-Li incarnée par une Kristin Kreuk sélectionnée davantage par son physique que sur ses qualités athlétiques. Pour satisfaire les fans, on glisse quelques personnages de la saga qui ne servent pas à grand-chose bref un film totalement anecdotique et donc loupé. Street Fighter - La légende de Chun-Li est loin de faire honneur au jeu de Capcom !

  • L’artiste

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    En un temps record il est devenu l’un des artistes les plus doués de sa génération et dans le milieu on ne parle plus que de lui : Jorge Ramirez (Sergio Pangaro) crée la sensation ! Mais comment cet homme qui n’est qu’un simple infirmier su sein d’un service de gériatrie a-t-il pu conquérir aussi subitement son public ? Simplement en allant frapper à la porte d’une galerie d’art afin d’y exposer ses dessins ; des œuvres brutes et étonnantes qui séduisent immédiatement les critiques. Il n’en faut pas plus pour que la machine médiatique s’emballe ; Jorge est invité à des conférences, des expositions mais lui prend ceci avec un certain dédain. Sans doute craint-il le moment où le public apprendra qu’il n’est pas le vrai artiste de ces œuvres mais qu’il s’agit d’un de ses patients Romano (Alberto Laiseca).

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    A l’image de toute forme d’art, ce film trouvera aussi bien critiques adoratrices qu’avis plus acerbes. L’artiste pose une question extrêmement vaste à savoir qu’est-ce que l’art ? Le regard que porte Jorge sur ses propres œuvres est aussi celui d’une bonne partie du public, celui qui semble imperméable à cet "art" là où d’autres sont capables d’entrevoir une incroyable manifestation des sentiments les plus enfouis de l’auteur. L’exemple le plus flagrant étant ce dessin qu’il pensait complètement gâché mais qui se révèle être un de ses chefs d’œuvre ! Un film qui ne va pas passionner les foules mais saluons la performance des acteurs majoritairement débutants et un Alberto Laiseca assez fascinant lorsqu’il se met à créer.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à vos grands-parents à dessiner !

  • Moi, moche et méchant

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    01.jpgVous ne me connaissez pas ? Je suis Gru le plus grand méchant que le monde ait connu ! Par exemple, je suis celui qui a volé la Statue de la liberté et la Tour Eiffel. Bon d’accord ce n’était que les répliques de Las Vegas mais tout de même, ça vous donne une idée de l’étendue de ma méchanceté !

     

    Vector, tout le monde ne parle que de lui ces derniers temps. C’est le Dr Nefario qui m’a appris qu’il avait volé une Pyramide en Egypte mais ce n’est rien en comparaison de ce que je prépare. Avec mon armée de Minions, j’ai l’intention de voler la lune !

     

    02.jpgLe plan est simple, il suffit de rétrécir la lune grâce au pisto-réducteur et je deviendrais le plus méchant des méchants. Seulement, Vector m’a volé le pistolet et pour le récupérer je n’ai pas eu d’autres choix que d’adopter 3 petites filles Margaux, Edith & Agnès qui vont m’aider à m’en emparer !

     

     

    En savoir plus sur Moi, moche et méchant ?

  • Melancholia

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    Cela devait être une soirée mémorable pour nos potes Justine & Michael (Kirsten Dunst & Alexander Skarsgård) qui célébraient leur mariage mais cette nuit n’allait pas se dérouler comme ils l’avaient imaginé. La jeune mariée se montre en effet très distante et on doit presque la contraindre à assister à la cérémonie donnée en son honneur ce qui ne plait guère à sa sœur Claire (Charlotte Gainsbourg) et encore moins à John (Kiefer Sutherland), le beau-frère qui a généreusement tout financé. Tandis que les heures s’écoulent, le jeune couple n’aura jamais paru aussi éloigné avant de provoquer une rupture qui semblait inévitable. Ce changement de comportement soudain de la part de Justine trouverait-elle un explication sur le phénomène incroyable que vit la Terre : l’arrivée dans son sillage de la planète Melancholia ?

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    On en a beaucoup parlé lors du Festival de Cannes 2011 d’abord par les propos indécents du réalisateur Lars Von Trier et puis sur une note plus positive avec la Palme de la meilleure interprète féminine attribuée à Kirsten Dunst. Après une magnifique séquence d’introduction, Melancholia nous invite à vivre la fin du monde à travers les visions conjuguées de 2 sœurs chacune se voyant attribuer un chapitre du film. On ne peut pas dire que ce soit réellement subjuguant, disons qu’il nous laisse tout le loisir d’admirer les interprétations parfaites de Kirsten Dunst et de notre Charlotte Gainsbourg nationale. Quant au reste, ça rappelle un peu ce que j’avais ressenti avec The tree of life de Terrence Malick ; pas mal de spectateurs risquent de rester sur la touche devant l’ambition de ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne surtout pas inviter votre patron au mariage, il serait capable de vous faire bosser !

  • Green lantern

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    Hal Jordan (Ryan Reynolds) est devenu pilote d’avion tout comme son père en dépit du fait que ce dernier ait disparu lors d’un terrible accident. Au plus profond du jeune homme se cache donc une peur qu’il n’arrive pas à surmonter et pourtant il va falloir qu’il apprenne à combattre ses démons car un drôle de destin l’attend. Lorsque l’extraterrestre Abin Sur (Temuera Morrison) échoue sur Terre dans un état critique, celui-ci doit transmettre ses pouvoirs matérialisés dans un anneau vert et c’est ainsi qu’Hal Jordan fut choisi pour devenir le nouveau Green Lantern du secteur 2412. Afin d’apprendre à maitriser ses nouvelles capacités, il va se rendre sur la planète Oa où il découvrira que l’univers est sous la surveillance du Green lantern corps couvrant plus de 3600 secteurs.

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    Ce n’est certainement pas le héros de l’univers DC Comics qui m’est le plus familier en tout cas ce qui est sur ce que ce n’était pas l’adaptation ciné la plus simple qui soit. Après nous avoir fait assister aux premiers pas de l’espion de sa majesté, Martin Campbell se met donc au vert et nous laisse avec un sentiment très mitigé. D’un coté, on peut se satisfaire des scènes d’action noyée dans de (trop ?) nombreux effets spéciaux mais de l’autre coté dès lors que Reynolds quitte son costume de super héros, Green lantern devient vite insipide avec notamment des personnages secondaires insignifiants. Difficile donc de se montrer satisfait avec ce film, si suite il doit y avoir puisqu’il semble que l’on s’y prépare, il va falloir se retrousser les manches pour nous offrir quelque chose de plus brillant.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus avoir honte de porter une bague verte.

  • La planète des singes - Les origines

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    Cela fait 5 ans que notre pote Will Rodman (James Franco) travaille sur le ALZ 12, un produit miracle qui révolutionnerait l’histoire permettant de combattre la maladie d’Alzheimer. D’abord testé sur des chimpanzés, il a obtenu des résultats sur l’un d’entre eux Beaux yeux. Alors que la société Gen Sys s’apprêtait à lancer l’expérimentation sur les êtres humains, le projet est stoppé à la suite d’un accident et tous les singes sont exécutés. Tous sauf un car Will va recueillir chez lui un bébé, le fils de Beaux yeux qui va vite se révéler exceptionnel. Il semble que le produit lui ait été transmis génétiquement ce qui a fait de César (Andy Serkis) un chimpanzé aux capacités extraordinaires capable même de s’exprimer dans le langage des signes.

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    Rapidement devenu une référence dans le domaine de la science-fiction, le célèbre roman de Pierre Boulle retrouve une seconde jeunesse avec La planète des singes - Les origines. Ceux qui comme moi ne connaissent pas encore l’œuvre originale voit là une bonne opportunité de se lancer dans l’aventure de ce monde voué à sa disparition. C’est sur le résultat est vraiment réussi même si on ne peut que constater l’absence de véritables risques dans ce que nous propose le réalisateur Rupert Wyatt. Le scénario suit un fil directeur qu’on devine aisément, James Franco a définitivement les épaules pour jouer les têtes d’affiche tandis que Freida Pinto n’est là que pour jouer les potiches bref simplicité et efficacité caractérisent ce retour des singes savants.

     

    Il faut le voir pour : Vous tenir éloigné des singes aux yeux verts !

  • The crow

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    Nos potes Shelly Webster & Eric Draven (Sofia Shinas & Brandon Lee) devaient se marier mais à la veille de leur union, T-Bird (David Patrick Kelly) et sa bande se sont invités chez eux. Ils étaient simplement venus pour les effrayer mais la soirée bascule dans l’horreur ; Eric est projeté par la fenêtre de son loft et atterrit 6 étages plus bas. Shelly quant à elle est agressée physiquement et sexuellement, évacuée à l’hôpital elle succombera à ses blessures après avoir longuement lutté pour rester en vie. Un an a passé depuis cette tragédie et T-Bird et ses sbires n’ont jamais été inquiété pour leurs actes mais désormais ils vont devoir rester sur leurs gardes car un homme les poursuit. Il s’agit d’Eric revenu d’outre-tombe pour accomplir sa vengeance !

     

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    Difficile de croire que ce film fête déjà ses 15 ans bien tassés. Le réalisateur Alex Proyas a signé l’une des meilleures adaptations de comics qui n’a franchement pas à rougir face aux super productions actuelles. The crow nous marque d’abord par l’atmosphère sombre et underground et on se dit même sur certaines images qu’il a du inspirer des œuvres comme le Sin city de Robert Rodriguez. On ne peut pas non plus oublier son interprète principal, Brandon Lee puisqu’il s’agit, à notre grand malheur, de son tout dernier rôle. Mort pendant le tournage, le fils du dragon restera pour l’éternité dans nos mémoires comme le meilleur interprète du personnage crée par James O’Barr.

     

    La scène à ne pas louper : Eric qui s’invite à la table des gangsters.