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  • X-men : Le commencement

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    Après avoir vu mourir sa mère sous ses yeux, Erik Lensherr (Bill Milner/ Michael Fassbender) ne pense plus qu’à la vengeance et il compte bien mettre à profit les pouvoirs qui se sont réveillés en lui pour tuer celui qui se fait actuellement appeler Sebastian Shaw (Kevin Bacon). Au cours de sa croisade, il croise Charles Xavier (James McAvoy), puissant télépathe et ces 2 nouveaux potes d’enfance vont s’unir pour rassembler d’autres mutants et contrecarrer les plans de Shaw. Ce dernier veut en effet déclencher une 3ème Guerre mondiale en confrontant les Etats-Unis à l’URSS et faire émerger des décombres de ce conflit l’avènement de la race mutante.

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    Après les déceptions successives apportées par X-Men : L’affrontement final et le spin-off Wolverine, on se disait que le groupe de mutants allait faire profil bas. Et puis voilà que Bryan Singer revient dans l’aventure (bon comme simple producteur pour le moment) et donne la chance à Matthew Vaughn (Kick-ass) de diriger X-Men : Le commencement. Retour au passé ce qui constitue un nouveau point de départ pour les nouveaux spectateurs sans renier les fans de la première heure.  Surtout il y a l’intronisation du duo McAvoy / Fassbender accompagné de héros comme Havok, le Hurleur ou le Fauve qui insufflent un vrai nouveau souffle à la saga. Fan de comics devant l’éternel, impossible de ne pas craquer pour ce nouvel épisode, c'est simplement un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : L’apparition remarquée de Wolverine !

     

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  • Limitless

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    Notre pote Eddie Morra (Bradley Cooper) est une vraie épave, cet écrivain en manque d’inspiration vient de se faire plaquer par Lindy (Abbie Cornish). Un nouvel échec sentimental après un 1er mariage raté. C’est donc un homme au fond du trou que croise Vernon (Johnny Whitworth), son ex beau-frère mais il a peut-être une solution pour lui ! Eddie reçoit une pilule révolutionnaire capable de libérer le cerveau de ses pleines capacités. Sceptique au départ, il se rend très vite compte des facultés de cette nouvelle drogue et va chercher en s’en procurer davantage sans se soucier des éventuels effets secondaires qui pourraient se manifester.

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    Ah si cette pilule était réelle, elle ferait à coup sur un tabac surtout pour certains réalisateurs ! Après son deuxième Very bad trip, Bradley Cooper continue de consommer des substances illicites à la différence qu’ici ça le rend totalement irrésistible, on ne peut pas en dire autant de Limitless. Les 45 premières minutes sont bonnes, même très bonnes avec une réalisation très décalée de Neil Burger mais c’est par la suite que l’histoire prend une tournure malhabile. Plutôt que de continuer sur le même état d’esprit, il transforme son film en un thriller mièvre où De Niro vient jouer le figurant de luxe.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre médecin de vous prescrire quelques pilules.

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    Alexis & Lindsay (Cameron Richardson & Sophie Monk) sont les meilleures potes d’enfance au monde et ces 2 charmantes blondes partagent un autre point commun : elles cherchent le mec idéal. En y réfléchissant, elles sont encore jeunes et jolies et ne veulent pas vraiment s’embarrasser d’un petit-ami. Non, l’idéal pour elles ce serait de trouver un homme capable de les monter au 7ème ciel et qu’il disparaisse aussitôt de leur vie. Elles montent alors un plan infaillible ; assommer les mecs qui leur plaisent et tout faire pour les mettre dans leur lit.

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    Si ce n’est pas fait, lisez attentivement le résumé de l’histoire car cela situe bien le niveau abyssal de cette prétendue comédie. Déjà, le titre est trompeur car on aurait pu croire qu’il s’agissait d’une énième parodie initiée par Aaron Seltzer et Jason Friedberg ; en même temps on s’en fiche vu que cela n’aurait certainement pas rehaussé la qualité de Blonde movie. On ne rit jamais et les élucubrations de ce duo est aussi intéressant que de regarder le générique de fin. Pour le coup, il faut vraiment être très blonde pour apprécier ce navet servi en double ration !

  • Rendez-vous avec un ange

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    Notre pote Judith (Isabelle Carré) vient de se faire virer mais la seule chose à laquelle pense actuellement cette infirmière est de rejoindre son compagnon Roland (Sergi López) à l’opéra. Ce dernier est en effet un ancien journaliste de musique lyrique qui s’est reconverti bien malgré lui en vendeur. D’ailleurs, il aimerait bien faire son retour et espère décrocher une interview exclusive avec une grande cantatrice.  La communication n’est pas le fort au sein du couple, la jeune femme n’ose pas avouer qu’elle se retrouve sans travail mais Roland va finir par l’apprendre mais est surpris de constater que Judith continue de lui mentir à ce sujet. Ignorant ce qu’elle fait de ses journées, il commence à la suivre et c’est là qu’il la soupçonne de se prostituer pour sauver les apparences.

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    Déjà c’est un film très étrange que cette première réalisation de Sophie de Daruvar & Yves Thomas, par son ambiance et par le rythme emprunté. Si les airs d’opéra vous laissent de glace, il en sera de même avec Rendez-vous avec un ange d’autant plus que le scénario tient en quelques lignes et qu’il ne se passe pour ainsi dire rien durant les 1H40 que dure le film. Une fois qu’on a compris ce que fait réellement le personnage de Judith (à propos d’un sujet hautement polémique), il n’y a plus rien à attendre si ce n’est cette légère transformation de Roland. Même moi qui adore Isabelle Carré, j’ai trouvé le temps très long et malheureusement j’ai bien peur que ce long-métrage réussisse à combler beaucoup de spectateurs … d’ennui !

     

    Il faut le voir pour : Enregistrer un CD si vous avez peur d’avouer les choses !

  • La défense Lincoln

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    Il est l’un des avocats les plus populaires de la ville de Los Angeles, notre pote Michael Haller (Matthew McConaughey) connait une réussite insolente mais il faut reconnaitre qu’il a l’art et la manière de tout tirer à son avantage. Le seul bémol est sa séparation avec Maggie (Marisa Tomei) avec qui il a donné naissance à une petite fille mais ils sont restés en très bons termes. Michael vient de se voir confier une nouvelle affaire impliquant Louis Roulet (Ryan Philippe), un jeune homme de bonne famille accusé d’avoir agressé une femme et de tentative de meurtre. Celui-ci clame évidemment son innocence et son avocat s’affaire à rassembler les preuves qui pourraient le disculper mais il va découvrir le vrai visage de son client.

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    Longtemps cantonné dans des rôles de beaux gosses, Matthew McConaughey vient nous prouver qu’il sait faire autre chose qu’exposer son beau physique. Dans La défense Lincoln il fait preuve d’un bagou extraordinaire dans son habit d’avocat et nous entraine dans un thriller haletant avec quelques rebondissements pour rehausser l’histoire. Sans compter que les personnages secondaires (excepté peut-être Ryan Philippe un peu trop sage) apportent un véritable plus à ce scénario inspiré d’un roman de l’auteur Michael Connelly, vraiment un bon film qui réussit à nous tenir en haleine du début à la fin !

     

    Il faut le voir pour : Vérifier que votre avocat est un bon acteur avant de l’engager !

  • Le complexe du castor

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    Il fut un temps où Walter Black (Mel Gibson) fut heureux mais cette époque semble bien loin désormais. Plongé dans une profonde dépression, son état n’a cessé d’empirer au fil des années et cela affecte également toute sa famille ; sa femme Meredith (Jodie Foster) et ses 2 fils Porter & Henry (Anton Yelchin & Riley Thomas Stewart). Une situation qui a conduit le couple à se séparer et Walter s’était résigné à mettre fin à ses jours jusqu’à ce qu’il trouve une marionnette de castor qui va devenir son meilleur pote d’enfance. Difficile au départ de le prendre au sérieux néanmoins on ne peut que constater les progrès que cette marionnette a sur son état de santé.

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    Après la tempête médiatique qui s’est abattue sur notre pote Mel Gibson, l’actrice et réalisatrice Jodie Foster lui démontre son soutien indéfectible en lui confiant ce rôle de composition et certainement l’un des meilleurs de sa carrière. Le complexe du castor dresse le portrait d’une famille brisée par la dépression dont laquelle s’est enfermée Walter, un personnage auquel on s’attache presque instantanément. C’est l’occasion de revoir également la jeune Jennifer Lawrence qui nous avait totalement charmé dans l’étonnant Winter’s bone. Un film drôle, émouvant et authentique qui fera le bonheur de tous les amateurs du 7ème art.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier s’il n’y a pas un trou dans le mur de la chambre de vos enfants.

  • Senna

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    Le 1er Mai 1994 sur le circuit de Formule 1 à Imola, le temps s’arrête. A bord de la Williams-Renault, le triple champion du monde Ayrton Senna vient de percuter un mur avec une grande violence. Quelques instants après, la nouvelle tombe : le brésilien est mort. Il y a 10 ans, le monde découvrait ce pilote hors-norme qui a débuté les courses automobiles avec le karting avant de mettre son talent au service de la Formule 1. Ses aptitudes sont rapidement remarquées et il ne tarde pas à signer chez la prestigieuse écurie de Ferrari où il est associé à Alain Prost. Bien qu’équipiers, la rivalité entre ces 2 champions est vivace jusqu’à provoquer des étincelles dans leurs relations.

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    Moi qui ne suis pas fan de Formule 1 pour un sou, je dois bien avouer que Senna m’a captivé du début jusqu’à la fin. Pour ceux qui ne le connaissaient pas, on découvre bien plus qu’un simple pilote, c’est un sportif qui fut adulé par un pays entier, un exemple pour toute une génération. Ce documentaire revient ainsi sur une passionnante carrière animée notamment par la concurrence qui s’est instaurée entre Ayrton Senna & Alain Prost et cette fin tragique qui a marqué le monde du sport. Les amoureux de course automobile seront aux anges quant aux autres, c’est l’occasion de mieux connaitre un homme exceptionnel qui a laissé une empreinte indélébile dans le monde de la Formule 1.

     

    Il faut le voir pour : (Re-) Découvrir la rivalité entre Alain Prost & Ayrton Senna.