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Bienvenue à Marwen

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Pour prendre de la distance avec son compagnon, notre pote Nicol (Leslie Mann) a emménagé dans une nouvelle maison devenant ainsi la voisine de Mark Hogancamp (Steve Carell). Ce dernier ne passe pas inaperçu puisque dans son jardin se trouve la reconstitution d’un village belge imaginaire de nom de Marwen. A l’aide des poupées qu’il traite soigneusement, il vit des aventures incroyables en ce lieu où il replonge en pleine Seconde Guerre Mondiale. Mark fait tout pour rendre les scènes les plus réalistes possibles au point de produire des clichés qui vont prochainement faire l’objet d’une exposition à New York. A l’origine de cette activité, il y a pourtant un fait-divers malheureux puisqu’il est devenu amnésique après une violente agression.

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Parce que c’est Robert Zemeckis derrière la caméra, parce que son héros est un homme qui respire la bonté et aussi parce qu’ils ne se sont pas foulé pour l’affiche ; on s’est dit qu’on tenait peut-être un nouveau Forrest Gump. Il faut savoir que l'histoire de Mark Hogancamp a déjà été contée à travers le documentaire Marwencol dont s’est inspiré le réalisateur. Rien à dire sur Steve Carell qui est investi à 100% dans son rôle mais cela est balayé par des scènes d’animation qui pullulent dans le film et qui finissent par reléguer la tragédie vécue par notre héros au second plan. Il y a donc un véritable déséquilibre au point que Bienvenue à Marwen semble davantage être un film d’animation qu’autre chose et là l’émotion n’est vraiment pas au rendez-vous !



Il faut le voir pour : Laisser vos enfants jouer à la poupée dans le jardin !

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