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ben chaplin

  • Twixt

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    Prochaine étape pour notre pote Hall Baltimore (Val Kilmer) ; la bourgade de Swann Valley ! Actuellement en tournée pour dédicacer son dernier livre, l’écrivain n’attire pas les foules à part peut-etre le shérif Bobby LaGrange (Bruce Dern) qui lui aussi est romancier à ses heures perdues. Beaucoup de choses ont changé pour Hall depuis la mort accidentelle de sa fille, il s’est mis à boire et n’écrit plus que pour payer les factures. D’ailleurs, on le pousse à écrire un nouveau roman de sorcellerie, un sujet qui ne l’intéresse plus du tout jusqu’à ce qu’il entende parler du massacre qui a eu lieu dans un hôtel de Swann Valley.

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    Francis Ford Coppola, ce seul nom suffirait sans doute à attirer les amateurs de cinéma dans les salles obscures preuve de l’attente qui accompagne chacun de ses films. Twixt est déroutant, on n’est pas dans la super production hollywoodienne, le réalisateur se lance dans une vague de projets plus personnels initié déjà avec Tetro en 2009. Swann Valley nous accueille avec son étrange atmosphère où plane à la fois mystère et fantastique, une ambiance qui n’est pas sans rappeler aux spectateurs la célèbre série Twin Peaks. S’il n’y a rien à dire sur la prestation de Val Kilmer, il va sans dire qu’il ne faut pas s’attendre à un nouveau chef d’œuvre de Coppola mais ça reste toutefois distrayant ni plus, ni moins.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de déranger un écrivain dans son sommeil, il cherche l’inspiration !

  • London boulevard

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    Fraichement sorti de prison, Mitchel (Colin Farrell) est accueilli par Billy (Ben Chaplin) et aussitôt ce dernier lui propose de reprendre ses bonnes vieilles habitudes de gangster. Seulement ces 3 années d’enfermement ont fait prendre conscience à Mitchell ses erreurs passés et il ne tient évidemment pas à retourner derrière les barreaux. Toutefois, il a besoin d’informations après un crime commis sur un de ses potes d’enfance ; il est à la recherche de 2 jeunes qui l’ont violemment agressé et provoqué sa mort. Pour cela il va être présenté à Gant (Ray Winstone), un homme puissant et respecté qui n’a pas peur de se salir les mains.

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    Autant jouer cartes sur table immédiatement, je ne suis pas du tout entré dans l’histoire de London boulevard. C’est d’autant plus dommage que Colin Farrell est irrésistible avec en face de lui un Ray Winstone tout aussi exceptionnel hélas le problème vient cette romance avec la star qu’incarne Kieira Knightley. Une relation qui désamorce tout la tension accumulée et qui nous fait perdre pied dans l’intrigue principale et sans cette parenthèse, le film aurait vraiment un tout autre visage. Pour une première réalisation, William Monahan distille des éléments intéressants notamment dans le dénouement mais cette copie là reste bien insuffisante !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les paparazzis sont bien grossiers !

  • Deux semaines

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    Emily, Keith & Barry Bergman (Julia Nicholson, Ben Chaplin & Thomas Cavanagh) sont frères et sœurs; ils ne se réunissent pas souvent et c’est pour leur mère Anita (Sally Field) qu’ils sont revenus dans la maison familiale. Elle est gravement malade, atteinte d’un cancer ; les médecins ne lui prédisent plus que quelques jours à vivre. Son agonie est difficile à supporter, alors que son état se dégrade de jour en jour ; ses enfants doivent commencer à accepter l’inéluctable. Il ne reste que peu de temps pour partager l’amour de leur mère, de se remémorer les instants de bonheur avant sa prochaine disparition.

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    Les âmes sensibles peuvent d’ores et déjà préparer leurs mouchoirs. Si Deux semaines n’a pas la prétention d’être la nouvelle merveille du cinéma, sa sobriété joue en sa faveur. Le film tire sur une corde sensible qui va émouvoir tout le monde, la perte d’un parent est une douleur pour tous d’autant quand cette disparition se fait dans des conditions aussi difficiles. Steve Stockman, le réalisateur signe ici son premier film, un projet très personnel qui s’inspire directement de sa vie puisqu’il a perdu sa mère dans des circonstances identiques. Belle interprétation dans l’ensemble avec évidemment un grand rôle de la part de Sally Field qui s’était fait rare au cinéma dommage que le film n’ait pas eu droit à une sortie sur nos grands écrans.