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Le monde (presque) perdu

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C’était il y a 3 ans lors d’une émission avec Matt Lauer ; le Professeur Rick Marshall (Will Ferrell) s’est alors ridiculisé devant le monde entier et a alors perdu toute crédibilité. Si tout le monde considère sa théorie sur les failles spatiotemporelles complètement fantaisistes, Holly Cantrell (Anna Friel) est convaincue de leur existence. C’est d’ailleurs suite à sa visite auprès de Rick que ce dernier se décide à finaliser la fabrication de son amplificateur à tachyons. Ils ne tardent pas à essayer cet appareil qui dépasse toutes leurs espérances puisqu’ils se retrouvent expédiés dans un autre monde peuplés de dinosaures et d’autres créatures étranges !

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Quand le nom de Will Ferrell apparaît au générique d’un film, il y a fort à parier qu’on aura droit à un festival d’humour absurde. Le monde (presque) perdu ne fait donc pas exception à cette règle d’or car l’aventure qui nous est proposée part rapidement en vrille. Hélas, sur la longueur ce qui devait nous faire rire finit par nous lasser malgré toutes les bonnes volontés de Ferrell et de ses compères. Inspirée par la série télévisée datant des années 1970 Land of the lost, cette comédie n’est pas des plus démentielles et on si dit même qu’il serait préférable qu’il reste effectivement perdu.

 

Il faut le voir pour : Toujours faire attention aux personnes qui portent des tuniques !

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