Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Hélène De Fougerolles

  • Arrête ton cinéma !

    star 03.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Elle vient à peine d'achever le tournage d'un film que notre pote Sybille (Sylvie Testud) est déjà prête à se lancer dans un nouveau projet. C'est en fait un coup de fil d'Ingrid (Zabou Breitman) qui a précipité les choses puisqu'elle a entendu dire que l'actrice était en train d'écrire un scénario basé sur son histoire personnelle. Ingrid & Brigitte (Josiane Balasko) sont productrices et veulent miser sur ce film mais dans le métier, elles n'ont pas une très bonne réputation. Malgré cela, Sybille se lance dans l'aventure et se jette à corps perdu - au grand dam de sa famille - sur l'écriture du scénario qui va cependant subir de nombreuses modifications !

    01.jpg

    La réalisatrice Diane Kurys adapte le roman C'est le métier qui rentre de Sylvie Testud et cette dernière s'est naturellement imposée pour le rôle de l’héroïne. Celles que l'on remarque surtout ce sont bien évidemment Zabou Breitman & Josiane Balasko merveilleusement horribles en productrices envahissantes. Que ce soit pour dénaturer un scénario, martyriser un assistant ou piquer une colère pour une histoire de toilettes, elles savent semer la zizanie. Arrête ton cinéma ! est une comédie loin de faire dans la finesse mais qui sait tout de même se montrer par moments amusante.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier que ce qui compte dans un film ce sont ses personnages !

  • La cité de la peur

    star 04.jpg

    aff.jpg

    Sortie dans une complète indifférence, Red is dead est promis à un désastreux avenir malgré les efforts de l’attachée de presse Odile Deray (Chantal Lauby). Un drame va cependant lui redonner le sourire puisque son projectionniste est retrouvé assassiné et il aurait été tué par un marteau et une faucille comme le monstre du film ! Les médias commencent donc à s’intéresser à ce drôle de fait-divers et Odile décide de profiter de l’engouement pour participer au Festival de Cannes. Elle réussit également à faire venir l’acteur vedette Simon Jérémi (Dominique Farrugia) et vu le danger qui plane au-dessus de leurs têtes, elle va demander une protection rapprochée assurée par l’unique Serge Karamazov (Alain Chabat).

       01.jpg 02.jpg 03.jpg
    Premier et unique film de Les Nuls, La cité de la peur est une de nos références en matière de comédie française. Evidemment, il faut être adepte de leur esprit profondément absurde et dès lors c’est une cascade de rires qui nous est offerte. Les répliques cultes se ramassent à la pelle, des guests-stars (Eddy Mitchell, Tchéky Karyo ou Jean-Pierre Bacri) sont invités à se faire massacrer et on a même droit à l’apparition du regretté Bruno Carette dans la peau du célèbre pétomane Misou-mizou. A cela s’ajoute plein de références à des films comme Terminator, Basic Instinct ou bien encore Pretty woman. Le genre de film que 1000 personnes pourraient voir 1 fois … non qu’1 personne pourrait voir 1000 fois … bon bref cultissime !!



    La scène à ne pas louper : La poursuite du tueur par un Serge Karamazov ballonné !

  • Odile Deray & Le critique - La cité de la peur

    01.jpg

    Le critique : Madame je n'écrirai rien sur ce film : c'est une merde !
    Odile Deray : Mais ça mérite une seconde vision ! Rappelez-moi !
    Le critique : Madame, je vous pisse à la raie !
    Odile Deray : Deray ! Odile Deray !




    En savoir plus sur La cité de la peur ?

  • Tricheuse

    aff.jpg

    Notre pote Clémence (Hélène de Fougerolles) est une femme forte et indépendante qui profite pleinement de sa situation. Professionnellement, elle est à une période charnière de sa carrière d’avocate puisqu’elle a décidé de se mettre à son propre compte. Coté cœur, elle se satisfait pleinement de son célibat préférant les aventures aux engagements mais certains mecs s’avèrent plus collants comme Cédric (Jean-Marie Lamour). Ce prof de sport est fou amoureux de la jeune avocate allant jusqu’à lui offrir un magnifique piano ; c’est alors le point de départ d’un florilège de quiproquos.

    19129762.jpg

    Dans la famille des comédies ringardes ; on a tiré la bonne carte et plutôt deux fois qu’une ! Elle est blonde, ambitieuse et riche ; lui n’a pas un sou mais a le cœur sur la main et rien ne pouvait les réunir et pourtant Tricheuse l’a fait. Que peut-on bien reprocher à ce film en dehors de ces clichés d’un autre âge, de son humour aussi évolué que les sculptures de Farid ? Ah si, il manque les rires enregistrés pour rendre le film aussi intéressant qu’une sitcom d’AB Productions. Consternant de bout en bout, on tend plus vers le pathétique que vers le comique.

     

    Il faut le voir pour : Se mettre à la sculpture, vous avez peut-être du talent.

  • Mutants

    aff.jpg

    L’épidémie s’est propagée en un clin d’œil, chaque victime se voit transformé en un monstre affamé de chair humaine. En tant que médecin urgentiste, Sonia (Hélène De Fougerolles) a été appelée à intervenir pour soigner les personnes blessés mais comme tout le monde elle est dépassée par les évènements. Alors qu’elle faisait route avec son compagnon Marco (Francis Renaud) vers Noé, une base militaire où ils seraient à l’abri ; ils sont forcés de se réfugier dans une bâtisse laissée à l’abandon. Marco lui est mal en point car il a été infecté et ce n’est plus qu’une question de temps avant qu’il ne se transforme à son tour.

    01.jpg

    Parce que c’est un genre sous-exploité dans le paysage cinématographique français, Mutants dispose de bons arguments pour attiser notre curiosité. On retiendra surtout des zombies-mutants sacrément bien fichu mais qu’on n’a malheureusement pas le temps d’apprécier. Sous couvert de vouloir rendre le film vivant, David Morley agite trop sa caméra et finit par nous donner le mal de mer. Le gros point faible reste toutefois le casting peu convaincant avec une Hélène De Fougerolles pas top dans son rôle de survivante et le ponpon revenant à Nicolas Briançon qui réunit tous les stéréotypes du bad guy à deux francs six sous. Décevant et rarement effrayant, ce n’est pas encore aujourd’hui qu’on fera de bons films de zombies.

     

    Il faut le voir pour : Garder un œil sur ceux qui perdent leurs cheveux, ils ont peut-être été infectés !

  • Pardonnez-moi

     

    medium_aff.522.jpg

    Violette (Maïwenn) est une jeune femme pleine de créativité, c’est certainement ce qui l’a mené sur les planches du théâtre. A peine sa représentation achevée, elle a un nouveau projet en tête : tourner un film sur sa famille mais pas n’importe quel film ! En effet, pendant plus de 10 ans; Violette fut une enfant maltraitée par son père Dominique (Pascal Greggory) et ce film devrait lui permettre d’exorciser ses démons intérieurs. La voilà caméra en main, à la recherche de son identité et déterrant de lourds secrets familiaux que l’on croyait perdus à jamais.

     

    medium_01.505.jpg

    Cette première réalisation de l’artiste Maïwenn a engendré une certaine curiosité d’une part par le choix d’un sujet dérangeant et d’autre part par la manière de le présenter. Pardonnez-moi oscille entre film et documentaire avec cette caméra embarquée au sein d’un drame familial qui ne manquera pas de vous chambouler. En tant que spectateur, on se retrouve vite mal à l’aise devant certaines situations, preuve irréfutable d’une interprétation ö combien réaliste. Premier essai assez concluant donc qui pose une nouvelle pierre à l’édifice du cinéma français et qui devrait encourager la jeune réalisatrice à continuer ce genre d’expérimentations.

  • Incontrôlable

     

     

    medium_aff.251.jpg

    La vie n’a pas gâté notre pote Georges Pal (Michael Youn), un scénariste qui n’écrit que des navets et qui s’enfonce chaque jour un peu plus. Le pire dans tout ça, c’est qu’il s’est laissé aller également sur le plan physique arborant sans le savoir ses bourrelets disgracieux et ce n’est pas avec ça qu’il va séduire Marion (Hélène De Fougerolles) ! Elle lui a bien dit de faire attention à son corps et il aurait du l’écouter car en se réveillant un matin voilà que Rex est apparu. Rex c’est le nom de son corps et il a la voix d’Eddie Murphy mais surtout il est incontrôlable !!

     

    medium_01.223.jpg

    Le film a surtout fait parler de lui par les critiques acerbes qui l’ont descendu ainsi que son interprète principal Michael Youn. Ce dernier étant même allé jusqu’à se réserver un droit de réponse sur son site personnel ! En toute objectivité, je comprends une partie des critiques car Incontrôlable est un film lourd et pataud dans lequel seuls les grands fans de l’artiste rigoleront aux éclats. Les autres se contenteront de quelques sourires au milieu de moments de consternations malgré la présence de nombreux guests (Lhermitte, Timsit, Laspalès…).

     

    Vivez le film Dans la peau du personnage !! 

     

  • Incontrôlable

    Salut,

     

    medium_aff.217.jpg

    medium_01.190.jpgMoi c’est Georges, Georges Pal (Michael Youn); je suis comme qui dirait un scénariste raté. 3 ans que je n’ai pas vendu un scénario !! Ma femme m’a quitté, l’appartement est un vrai dépotoir et surtout je me laisse complètement aller.

     

    J’ai réellement commencé à prendre conscience de ma situation quand mes soi-disant amis ont dit que j’étais devenu un poivrot bouffi qui sentait le poney, ça m’a fait mal…Mais ce n’est que le début de l’histoire.

     

    medium_02.63.jpgVous n’allez jamais me croire mais en me réveillant le lendemain, mon corps m’a parlé et en plus il a la voix d’Eddie Murphy ! Il dit qu’il s’appelle Rex et veut me faire changer, aidez-moi parce qu’il est devenu incontrôlable !!!

     

    En Résumé : Après l’acharnement des critiques à l’égard du comédien Michael Youn, j’aurais eu tendance à être plutôt transigeant envers ce film mais il faut bien avouer que cela ne vole pas bien haut. N’en déplaise à l’ancien animateur vedette, Incontrôlable ressemble énormément à son héros à savoir lourd et pénible à supporter. Les fans purs et durs de Michael Youn trouveront leurs comptes car il est certain qu’il s’est donné à fond dans ce rôle ingrat.

  • Patrick Bialès & Odile Deray - La cité de la peur

    Patrick Bialès : Vous voulez un whisky ?
    Odile Deray : Oh juste un doigt.
    Patrick Bialès : Vous vous voulez pas un whisky d'abord ?  



    En savoir plus sur La cité de la peur ?