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Mutants

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L’épidémie s’est propagée en un clin d’œil, chaque victime se voit transformé en un monstre affamé de chair humaine. En tant que médecin urgentiste, Sonia (Hélène De Fougerolles) a été appelée à intervenir pour soigner les personnes blessés mais comme tout le monde elle est dépassée par les évènements. Alors qu’elle faisait route avec son compagnon Marco (Francis Renaud) vers Noé, une base militaire où ils seraient à l’abri ; ils sont forcés de se réfugier dans une bâtisse laissée à l’abandon. Marco lui est mal en point car il a été infecté et ce n’est plus qu’une question de temps avant qu’il ne se transforme à son tour.

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Parce que c’est un genre sous-exploité dans le paysage cinématographique français, Mutants dispose de bons arguments pour attiser notre curiosité. On retiendra surtout des zombies-mutants sacrément bien fichu mais qu’on n’a malheureusement pas le temps d’apprécier. Sous couvert de vouloir rendre le film vivant, David Morley agite trop sa caméra et finit par nous donner le mal de mer. Le gros point faible reste toutefois le casting peu convaincant avec une Hélène De Fougerolles pas top dans son rôle de survivante et le ponpon revenant à Nicolas Briançon qui réunit tous les stéréotypes du bad guy à deux francs six sous. Décevant et rarement effrayant, ce n’est pas encore aujourd’hui qu’on fera de bons films de zombies.

 

Il faut le voir pour : Garder un œil sur ceux qui perdent leurs cheveux, ils ont peut-être été infectés !

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