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Eric Caravaca

  • La maison de la radio

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    Elle accompagne chaque jour mais aussi chaque nuit des millions de personnes, elle vous informe, vous fait fredonner, danser ou encore rire. La radio est devenue un média presque indispensable de notre quotidien que ce soit au réveil, en voiture ou simplement pour se détendre et avez toujours voulu en voir plus ? C’est désormais possible puisque nous allons avoir l’opportunité de pénétrer dans les coulisses de la Maison de la radio, un bâtiment historique où se mêlent bureaux, studios d’enregistrement et même une salle de concert symphonique. Voici tout simplement une belle invitation pour une visite que vous n'oublierez pas de sitôt !

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    Avec ce documentaire réalisé par Nicolas Philibert, les auditeurs que nous sommes deviennent désormais spectateurs privilégiés des coulisses de La maison de la radio. Concentré sur une journée type, on découvre les secrets de fabrication des émissions, le choix rédactionnel effectué pour les flashs d’information ou encore l’enregistrement d’évènement exclusifs et exceptionnels. Intéressant, parfois drôle ; pas besoin d’être forcément un habitué d’une des stations du groupe Radio France pour apprécier ce doc qui s’apparenterait presque à une visite du bâtiment durant les journées du patrimoine.

     

    Il faut le voir pour : Manger plus de patates !

  • Ici bas

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    Plongé en plein cœur de la Seconde Guerre Mondiale et de l’occupation allemande, la France vit une des heures les plus sombres de son histoire. Autrefois prêtre, notre pote Martial (Eric Caravaca) a pris une décision lourde de conséquence en délaissant sa soutane pour revêtir l’habit de résistant ; un nouveau rôle qui n’est pas sans danger. Lors d’une mission, il se retrouve touché par une balle et en réchappe de justesse grâce notamment aux soins prodiguées par Sœur Luce (Céline Sallette). Pour cette dernière, la rencontre avec cet homme va être déterminante ; elle est totalement subjuguée par lui et est même prête à tout abandonner pour le rejoindre mais les sentiments sont-ils réellement réciproques ?

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    Bon je sais bien que le cinéma français a fait de beaux progrès ces dernières années mais quand je me retrouve devant Ici bas, je me croirais revenir dans les années 1990. Tout semble concourir pour que ça ait l’air vieillot alors forcément la différence est juste flagrante avec des productions plus modernes. Cet aspect finit donc par prendre le pas sur une histoire plutôt correcte inspirée d’un véritable fait-divers et servie par une double interprétation de qualité mais ça n’empêche pas que ce soit en compagnie d’un profond ennui qu’on va passer toute la séance. Si le fait de voir un espèce de téléfilm digne du dimanche après-midi de France 3 ne vous rebute pas alors peut-être vous laisserez-vous tenter.



    Il faut le voir pour : Ne jamais tromper une bonne soeur !

  • Poulet aux prunes

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    Violoncelliste de génie, notre pote Nasser-Ali (Mathieu Almaric) a parcouru le monde grâce à sa musique et il vit aujourd’hui avec sa famille à Téhéran. Il est à la recherche d’un nouvel instrument depuis que sa femme Faringuisse (Maria De Medeiros) a cassé son violon mais il n’est pas évident de dénicher un instrument à sa mesure. Désespéré, il décide d’en finir avec la vie et dans exactement 8 jours, il ne sera plus de ce monde. Reste maintenant à savoir comment il va quitter ce monde, des méthodes les plus violentes à celles moins douloureuses rien ne semble lui convenir et il décide simplement de rester au lit en attendant que la mort vienne le chercher.

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    On avait découvert la première réalisation de Marjane Satrapi avec Persépolis, un formidable film d’animation à voir absolument et donc ce retour sur le grand écran était pour le moins attendu. Nouvelle adaptation d’une de ses œuvres, Poulet aux prunes s’humanise à travers Mathieu Almaric plongé dans un univers visuellement enchanteur. Si on se laisse séduire dans un premier temps par la magie de l’histoire, l’effet n’arrive malheureusement pas à perdurer pendant 1H30. On est même un peu confus lorsque se succèdent les scènes de flashback et de Flash forward ce qui n’empêchera pas ce film de séduire les spectateurs mais qui ne restera pas gravé dans nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Rechercher la recette du poulet aux prunes.

  • La petite chambre

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    Notre pote Rose (Florence Loiret-Caille) vient juste de reprendre son travail d’infirmière à domicile après une absence douloureuse. Son mari Marc (Eric Caravaca) et elle attendaient un enfant, malheureusement après 8 mois de grossesse cela s’est achevé sur une tragédie dont ils ont encore du mal à se remettre. Parmi ses visites, Rose s’occupe d’Edmond (Michel Bouquet), un vieil homme peu commode qui n’accepte pas le fait de voir son fils, et son seul lien familial, partir s’installer prochainement aux États-Unis. L’infirmière va se prendre d’affection pour son patient jusqu’à l’installer chez elle.

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    La petite chambre est un film centré sur la solitude, celle des personnes âgées tout d’abord que l’on confie aux hôpitaux et autres maisons de retraite. Puis il y a celle d’une femme désespérée, une mère déchirée par la disparition d’un enfant dont elle n’a pu faire le deuil. Même si l’on regrette que le regard porté par la réalisatrice n’ait pas su toucher véritablement notre corde sensible ; on ne peut pas passer sous silence les remarquables prestations de Florence Loiret-Caille qui confirme la surprise qu’elle avait provoqué dans La dame de pique et l’émouvant Michel Bouquet. Le film trouve le ton juste mais fait preuve d’un manque évident de personnalité, un défaut qu’on mettra sur le compte d’une première réalisation pour Stéphanie Chuat & Véronique Reymond.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de bouffer les plateaux-repas des personnes âgés.

  • Qui a envie d’être aimé ?

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    Antoine (Eric Caravaca) est un homme qui semble accompli ; il est avocat et père de famille de 2 enfants mais au fond de lui, quelque chose lui fait défaut. Est-ce le manque d’amour qu’il perçoit vis-à-vis de son père (Jean Luc Bideau) ou le comportement égocentrique de son frère Alain (Benjamin Biolay) qu’il considère comme un véritable fardeau. Toujours est-il que c’est à la suite d’une rencontre avec le prof de son fils que la vie de notre pote Antoine va changer radicalement. Il est invité à une réunion à la gloire de Dieu, il s’y rend par pure politesse mais progressivement son comportement va se modifier.

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    On ne sait pas trop à quel saint se vouer à la sortie de la salle, Qui a envie d’être aimé ? conte l’expérience d’un homme totalement ordinaire qui reçoit soudainement la Révélation divine. Si à priori le script peur nous faire sourire, ce n’est pas le cas du film dont l’ambiance est pareil à une messe dominicale. Heureusement, les interventions de Valérie Bonneton & Benjmain Biolay apportent un peu de vigueur sans quoi c’est une sieste d’1H40 qui nous était promise. Ces personnages secondaires auraient mérité une plus grande place dans le film d’Anne Giafferi qui n’a rien d’une révélation.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller votre mari, si il a des réunions au boulot tardives … il fréquente peut-être Dieu !

  • L’avocat

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    Après des années d’effort et bon nombre de sacrifices, notre pote Léo Demarsan (Benoit Magimel) a enfin obtenu la consécration ; il est officiellement avocat ! L’excitation de plaider ses premières affaires va cependant laisser place progressivement à une certaine morosité jusqu’au jour où il est contacté par Paul Vanoni (Gilbert Melki). Celui-ci est à la tête d’une société chargée de la collecte de déchets et a déjà été condamné pour des affaires de crime organisée. Léo va devenir son avocat personnel et va vite découvrir que l’homme qu’il défend n’est pas réellement l’honnête citoyen pour qui il veut se faire passer.

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    Accusé, levez-vous ! Nous sommes aujourd’hui réunis pour juger le cas de L’avocat, le dernier film en date de Cédric Anger déjà condamné pour Le tueur. Les charges qui pèsent contre vous sont d’une extrême gravité ; une histoire qui manque clairement de spontanéité et un jeu d’acteur souvent excessif ont fait de nombreuses victimes parmi les spectateurs qui se sont portés Partie civile. J’invite donc le jury à prendre note de mes conclusions. Pour l’accusation de film assez fade, vous êtes jugé coupable !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir qu'on peut tuer pour ramasser vos déchets !

  • Cliente

    Bonjour, je suis Judith (Nathalie Baye).

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    01.jpgÇa a commencé quelques temps après mon divorce, 4ans exactement. Une séparation que j’ai eu beaucoup de mal à accepter. Je surfais sur le net et je suis tombé sur un site d’escort, c’est facile ; vous avez une photo, leurs activités et leurs loisirs il suffit juste de faire son choix.

     

    Mon premier s’appelait Lucas, le même prénom que mon ex-mari depuis une à deux fois par mois je vois quelqu’un pour mon simple plaisir. Le prince charmant ? Ma sœur Irène (Josiane Balasko) n’arrête pas de m’en parler mais je me suis fait une raison. Il doit exister au même titre que les hommes verts de Mars.

     

    02.jpgActuellement je fréquente Patrick (Eric Caravaca), très bel homme mais c’est bien la première fois que j’en revois un de manière si régulière.

     

     

     

    En savoir plus sur Cliente ?

  • Cliente

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    Ne parlez jamais du grand amour à Judith (Nathalie Baye) car elle vous rirait au nez ! Cette quinquagénaire ne croit plus au prince charmant depuis son divorce et quelques temps après elle a découverte l’escort. Avec Internet et en quelques clics, elle peut trouver l’homme qu’il lui faut et quand elle le souhaite ; son dernier choix s’appelle d’ailleurs Patrick (Eric Caravaca). Contre quelques centaines d’euros, elle obtient ce qu’elle veut sans les complications d’un couple et c’est très bien comme ça. Pourtant, ses relations avec Patrick deviennent de plus en plus fréquentes jusqu’à mettre en péril la vie privée du jeune homme.

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    Ce n’est pas tous les jours que le cinéma s’intéresse à la vie sexuelle des femmes et c’est sans tabous que Josiane Balasko s’y colle. Nathalie Baye y incarne une femme qui ne croit plus aux illusions de l’amour après une énorme déception et qui préfère se rassurer à coups de billets. Au départ c’est plutôt sympa, on découvre cette relation atypique ainsi que le quotidien des deux intéressés notamment la vie de présentatrice de télé achat de Judith. Après ça se gâte un peu, le triangle Baye/Caravaca/Carré se forme et là il ne se passe plus grand-chose si ce n’est des pleurs et des regrets.


    Il faut le voir pour : Apprendre que les indiens ne font pas Hugh !


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Affaire de famille

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    C’est une rencontre capitale pour le club de football de Grenoble qui dispute ce soir la demi-finale de la Coupe de France face à Dijon. Pourtant le lendemain, les unes des journaux n’évoquent qu’une chose : le braquage qui a eu lieu au stade avec un butin estimé à près de 150 000 €. Non loin du stade, se trouve la maison des Guignebont où vivent Laure, Jean & Marine (Miou-Miou, André Dussolier & Hande Kodja), leur cabane a été ravagée par les flammes provoquée pense-t-on par un fumigène. De drôles d’évènements qui font penser qu’il se trame quelque chose de plus complexe derrière tout ça car les Guignebont vont se retrouver impliqués dans ce fait-divers.

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    Un même évènement vécu à travers différents points de vue, pour les spectateurs avertis cela rappelle fortement le récent Angles d’attaque mais ici bien sur point d’action ! Affaire de famille est un petit film à la française qui s’appuie sur son découpage en chapitre et qui finit donc par s’endormir sur son scénario peu prenant. Reste juste le personnage d’Eric Caravaca qui offre un léger grain de folie à l’ensemble mais somme toute rien de bien exceptionnel. Ni bon, ni mauvais ; le film a assez peu de chances de se trouver un public si ce n’est peut-être les fanas de cinéma qui ont du temps à perdre.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier vos sacs poubelle avant de les jeter.

  • Mon colonel

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    Le colonel Raoul Duplan (Olivier Gourmet) a été retrouvé assassiné chez lui victime d’une arme à feu. Une enquête est ouverte et est confiée au Lieutenant Galois (Cécile de France), très rapidement un suspect se manifeste en envoyant une lettre anonyme qui se révèle en fait être la copie du journal d’un certain Guy Rossi (Robinson Stévenin). Celui-ci s’était porté volontaire pour rejoindre l’Algérie à Saint Arnaud en 1957 et entrer sous les ordres du Colonel Duplan en tant qu’officier juriste. A son contact il va apprendre le rôle et le fonctionnement de l’armée française en Algérie ; des choses parfois contraires à ses idées reçues et à ses principes moraux.

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    Au casting Olivier Gournet, Sagamore Stévenin, Cécile de France, Eric Caravaca, Bruno Solo ou encore Charles Aznavour. Recomposer l’histoire de la France au cinéma est devenu un genre à part entière, Mon colonel revient sur la colonisation française et plus précisément l’occupation algérienne. Entre manipulations politiques et complots militaires, le film fonctionne sous forme de flashbacks où le spectateur se glisse dans la peau du lieutenant Galois pour découvrir l’expérience de cet officier français. On est pris par l’histoire et le jeu sobre et juste de Sagamore Stévenin ainsi que de tous les autres comédiens ; pas mal du tout c’est un bon choix si vous cherchez quelque chose à louer si vous n’êtes pas allergiques aux œuvres historiques.