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richard matheson

  • The box

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    Tout a commencé un matin, il était 5h45 lorsque Norma & Arthur Lewis (Cameron Diaz & James Marsden) ont entendu quelqu’un sonner à leur porte. Le temps de sortir du lit, ce visiteur matinal était déjà parti mais il a laissé une boite mystérieuse muni d’un simple bouton rouge devant la porte. Il y avait également un message qui accompagnait ce présent, un homme nommé Arlington Stewart (Frank Langella) devait se présenter à 17h. Effectivement, Norma a bien reçu la visite de cet homme qui lui a expliqué ce qu’il attendait d’elle. Le choix est simple et cornélien à la fois ; si les Lewis appuient sur le bouton, ils gagneront 1 million de dollars mais en contrepartie quelqu’un qu’ils ne connaissent pas mourra.

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    Pendant la première demi-heure, tout porte à croire que The box constitue un bon petit thriller mais ensuite on bascule dans le monde de l’étrange façon X-files. Bonne pioche puisqu’il faut savoir qu’il s’agit de l’adaptation d’une nouvelle de Richard Matheson qui a déjà été adapté pour la série La cinquième dimension. Ce basculement dans l’étrange n’est pas du meilleur effet et on se retrouve vite largué par cette histoire abracadabrantesque en se demandant si on n’a pas loupé quelque chose au passage. Vraiment trop bizarre pour être convaincant, vous avez plus de chances de tomber dans les bras de Morphée que de vous laisser entrainer dans l’intrigue.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais laisser votre femme décider d’une question qui concerne l’argent.

  • Je suis une légende

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    En 2009, lorsque le Docteur Krippin (Emma Thompson) annonça avoir trouvé un remède pour éradiquer le cancer, on pensa assister à une fantastique avancée dans la médecine. Le principe était de modifier le code génétique des 10 009 patients qui s’étaient prêtés à l’expérience et chacun d’entre eux a vaincu le cancer qui les rongeait. 3 ans plus tard, le miracle s’est mué en une véritable catastrophe menant l’humanité entière au bord de l’extinction. A New York, Robert Neville (Will Smith) est le seul survivant face au virus qui s’est propagé. Un effet secondaire est apparu, les patients traités ont commencé à être envahi par une forme de rage et cela a contaminé la population mondiale.

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    Sacrée responsabilité pour le Men in black Will Smith d’incarner le dernier homme sur Terre, un rôle où il a l’occasion de dévoiler tout son registre de comédien. Aussi à l’aise dans les phases d’action que dans les scènes de pure émotion ; il porte à bout de bras ce film. Félicitations aussi pour la réalisation de Francis Lawrence pour nous offrir des images stupéfiantes de New York hanté par le silence de la mort. Adaptation d’un roman de Richard Matheson ; Je suis une légende fait parti de ces très bons films enrichissant encore un peu plus la carrière de Will Smith dont la légende est déjà écrite.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir New-York comme vous ne le verrez jamais.