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jean-paul rouve - Page 2

  • Low cost

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    Bienvenue à bord du Boeing 737-200 affrété par la compagnie Lebud Jet, l’avion va bientôt quitter Djerba pour rejoindre Paris … du moins c’est ce qui était prévu ! En effet, alors que le décollage était imminent, les passagers apprennent que leur voyagiste a fait faillite et que l’appareil est désormais cloué au sol. Refusant de quitter leurs sièges, les passagers avec Dagobert (Jean-Paul Rouve) en tête décident d’occuper l’avion et mieux encore de le faire décoller ! Parmi eux se trouve Jean-Claude (Gérard Darmon), ancien pilote avec 35 000 heures de vol à son actif qui est prêt à reprendre du service. Les voilà donc dans le ciel mais à leur atterrissage, ils vont vite déchanter !

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    En voilà une très bonne surprise de notre pote Maurice Barthélémy, Low cost est une comédie qui n’est pas sans nous rappeler le mythique Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? On embarque donc pour un vol mémorable avec une belle galerie de personnages parmi lesquels on retrouve en première ligne son ex-compère des Robins des bois Jean-Paul Rouve. Bien entendu, si vous vous souvenez des sketches qui ont fait les belles heures de Canal +, vous savez qu’il faut s’attendre à un humour plutôt absurde et je vous garantis que vous allez vous marrer ! Un film rafraîchissant qui ne vole certes pas très haut mais assez pour nous changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’avoir peur des nains !

  • Poupoupidou

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    Qui aurait cru que notre pote David Rousseau (Jean-Paul Rouve) trouverait son inspiration à Mouthe, bourgade de 921 habitants. Il s’y était rendu à la suite du décès de son oncle qui lui a légué un objet inestimable et puis cet écrivain atteint du syndrome de la page blanche a trouvé l’idée de son prochain livre ! C’est dans les médias qu’il apprend la mort de Candice Lecoeur (Sophie Quinton), la star locale qui fut notamment l’égérie du fromage La belle du Jura. Sa disparition intrigue puisqu’on a retrouvé son corps abandonné en pleine nature entre les frontières françaises et suisses et tout laisse à penser qu’il s’agit d’un suicide. Mais quand David commence son enquête ; il relève certaines incohérences et découvre des mimétismes troublants entre cette jeune femme et … Marilyn Monroe.

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    L’action nous conduit dans un village reculé envahi par la neige d’où émerge la blondeur de la délicieuse Sophie Quinton, une héroïne aux allures de victime. Poupoupidou doit énormément à son couple d’acteurs bien qu’ils ne soient jamais réellement en duo ; Jean-Paul Rouve incarne avec le flegme son personnage tandis que Sophie Quinton nous rappelle pourquoi elle avait été nominée au César du Meilleur espoir féminin 2004. Surtout on retiendra la réalisation de Gérald Hustache-Mathieu puisant son inspiration aussi bien dans les romans de James Ellroy que dans des œuvres comme Twin Peaks ou encore le cinéma des frère Cohen. Ambiance particulière pour un film tout aussi particulier, on ne voit pas le temps passer et ceux qui tenteront leur chance feront une belle découverte !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la réincarnation de Marilyn Monroe !

  • Adèle Blanc-sec

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    Partie en expédition pour l'Égypte, Adèle Blanc-Sec (Louise Bourgoin) a trouvé ce qu'elle recherchait : la momie d'un ancien médecin. En effet, elle a l'intention de le faire revivre afin qu'il puisse guérir Agathe (Laure de Clermont-Tonnerre), sœur d'Adèle inanimée depuis un dramatique accident. Alors qu'elle est de retour à Paris, les journaux font leurs choux gras sur un évènement insensé : un ptérodactyle règne sur la capitale ! Pour l'heure, Adèle ne pense qu'à une chose ; trouver le professeur Espérandieu (Jacky Nercessian) car lui seul est capable de réanimer la momie mais tout ne va pas se passer aussi facilement que l'espérait notre héroïne.

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    Adaptation de la célèbre bande-dessinée de Tardi, Luc Besson quitte pour un temps le monde des Minimoys pour signer un film comme lui seul sait les faire. Ceci, n'étant pas forcément un compliment ! A vouloir faire d'Adèle Blanc-sec un film grand public, le réalisateur use et abuse de la niaiserie caractéristique de son cinéma rendant parfois le film réellement insupportable. On évitera de s'attarder sur des personnages secondaires caricaturés au possible (malgré le talent des maquilleurs pour transformer Gilles Lellouche & Mathieu Almaric). Le ponpon revenant à cette momie réincarnée frisant le ridicule et puis cette fin ouverte qui annonce forcément un 2nd volet ; une chose est sure, Besson sait rentabiliser ses projets.

     

    Il faut le voir pour : Porter un casque la prochaine fois que vous allez jouer au tennis.

  • La très très grande entreprise

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    Le verdict est tombé dans l’affaire qui oppose Nateris, une grande société d’agrochimie, aux différents plaignants. Le dédommagement s’élève à 12 000 € pour chacun dont l’activité professionnelle a été réduite à néant par l’installation de cette entreprise. Cette somme dérisoire est une insulte pour Mélanie, Zak & Denis (Marie Gillain, Roschdy Zem & Jean-Paul Rouve) qui ont perdu beaucoup. Ils ont bien l’intention de faire appel mais pour que cela porte réellement ses fruits, il va falloir apporter à la barre un fait nouveau susceptible de condamner Nateris. Direction le siège à Paris pour tenter de trouver ces documents compromettants.

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    Sous couvert d’une comédie, le réalisateur Pierre Jolivet entend dénoncer les pratiques contestables de certaines grandes multinationales avec La très très grande entreprise. C’est un combat livré par un groupe de particuliers qui doit faire face au gigantisme d’une société prête à tous les subterfuges pour sauver les apparences. Il ne s’agit évidemment pas de retrouver un grand film d’espionnage à l’américaine avec son déluge de technologie mais une fine équipe qui va  se débrouiller avec les moyens du bord. Comédie tout ce qu’il y a de plus respectable avec de bonnes idées comme la présentation des "victimes" et qui vous fera passer un bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que les avocats indiens pourraient être des grands joueurs de foot.

  • Mais qui a tué Pamela Rose ?

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    Un hôtel quelque part aux Etats-Unis. On vient de retrouver le corps inanimé d’une certaine Pamela Rose (Julie Bataille) alors qu’elle peignait sa chambre. C’est une affaire complexe et il fallait pour cela dénicher les meilleurs agents du F.B.I. Hélas ils tournaient déjà un autre film et ce sont les agents Bullit & Riper (Kad Merad & Olivier Baroux) qui vont devoir assumer une enquête qui s’annonce déjà difficile. La première chose à faire est de rassembler les indices et grâce à leur flair, ils vont découvrir que ce meurtre a été commis par un meurtrier. Une question brule alors les lèvres : Mais qui a tué Pamela Rose ?

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    Si le film a été réalisé par Eric Lartigau, le scénario original ainsi que les dialogues ont été supervisés par le duo comique que l’on connait si bien Kad & Olivier. A l’instar de leurs sketchs télévisés, c’est la déconne et l’humour au 3ème degré qui prime dans Mais qui a tué Pamela Rose ? Epaulés par de nombreux guests comme Jean-Paul Rouve, Alain Chabat ou encore Gérard Darmon ; c’est une comédie qui n’atteint certes pas les sommets mais qu’on apprécie de revoir à l’occasion. Beaucoup de jeux de mots à l’image des 2 principaux comédiens : on aime ou on déteste.

  • Sans arme, ni haine, ni violence

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    Autrefois, Albert Spaggiari (Jean-Paul Rouve) n’était qu’un simple photographe qui possédait sa propre boutique. Du jour au lendemain, il passe du statut d’anonyme à celui de criminel de grande notoriété à la suite d’un coup de génie ! En 1977, le casse de la Société Générale de Nice fait la une de tous les grands journaux ; les criminels se sont introduits dans la banque en creusant un tunnel sous-terrain et vidant les coffres en toute tranquillité. Depuis cette affaire, Spaggiari a failli se faire coincer mais finalement il est parti se réfugier en Amérique du Sud où il accueille le journaliste Vincent Goumard (Gilles Lellouche). Un journaliste qui cache en fait ses réelles intentions.

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    Le grand banditisme continue de faire des émules et cette fois c’est Jean-Paul Rouve qui se glisse dans la peau de l’imprévisible Albert Spaggiari qui s’est rendu célèbre en un unique. Sans arme, ni haine, ni violence se penche essentiellement sur un portrait de ce malfaiteur atypique, son envie d’être connu et reconnu. Le fameux casse se dessine ensuite à travers de brèves séquences où l’on découvre tous les préparatifs avant de se dévoiler dans les dernières minutes. Contrairement à d’autres biopics, ce n’est pas l’action qui prime ici ; Rouve propose une approche plus psychologique pour un résultat réussi mais qui ne fera certainement pas le "casse du siècle" dans l’histoire du cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Convaincre les mecs de ne plus porter de pull Jacquart.

  • Le temps des portes-plumes

    La vie du jeune Pippo (Raphaël Katz) est bien mouvementée. A peine âgé de 9 ans, il a du vivre une expérience bien difficile qui l’a amené à quitter ses parents. Il sera recueilli quelques temps plus tard par Gustave & Cécile (Jean Paul Rouve & Anne Brochet), 2 fermiers. Pippo va découvrir la vie à la campagne mais aussi s’épanouir au contact de différentes personnes lui redonnant ainsi le goût du bonheur.

    Le temps des portes-plumes attirera avant tout les nostalgiques des années 50 et réveillera ainsi quelques souvenirs. On ne peut s’empêcher de penser à un film comme Les choristes bien que le sujet soit totalement différent puisque ici, on s’attarde davantage à nous dépeindre les personnages qui entourent le héros. Le charme a un peu de mal à opérer malgré la bonne bouille de Raphaël Katz. On appréciera toutefois tout le talent de Jean Paul Rouve & Lorant Deutsch dans un registre autre que celui du comique de service.