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cinéma - Page 217

  • Esprits Rebelles - Coolio / Gangsta's paradise

    Souviens-toi jeune trentenaire, en 1996 sortait Esprits rebelles avec Michelle Pfeiffer où elle incarnait un ancien officier de la Marine qui s’était reconverti en prof dans un lycée difficile. Un film qui a marqué toute une génération aussi bien par son histoire inspirée de la réalité que de sa bande originale qui a fait un vrai carton.

     

    Reprise d’une chanson de Stevie Wonder, Coolio (de son vrai nom Artis Ivey) explose les charts en vendant des millions d’exemplaires de Gangta’s paradise et marque nos mémoires par la même occasion.





  • Nouvelle rubrique sur Ciné2909 : Quand la musique fait son cinéma !!

    Au cinéma, nos yeux en prennent souvent plein la vue mais il y a aussi nos oreilles qui sont mises à contribution. On pense tout d’abord aux dialogues, transition parfaite pour vous rappeler que vous pouvez aller faire un tour du coté des Répliques cultes mais là où je veux vous emmener c’est vers les bandes originales des films.

     

    Il est indéniable que certaines chansons sont totalement liées aux films auxquels ils sont rattachés, il nous suffit d’entre quelques notes pour voir surgir en nous d’énormes émotions. Je suis donc tout aussi ému d’inaugurer une nouvelle rubrique sur Ciné2909 avec Quand la musique fait son cinéma et en vidéo s’il vous plait !

     

    Dans 5 petites minutes vous aurez droit à la première note qui devrait vous renvoyer quelques années en arrière et rendez-vous régulièrement sur Ciné2909 pour en découvrir d’autres.

  • London boulevard

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    Fraichement sorti de prison, Mitchel (Colin Farrell) est accueilli par Billy (Ben Chaplin) et aussitôt ce dernier lui propose de reprendre ses bonnes vieilles habitudes de gangster. Seulement ces 3 années d’enfermement ont fait prendre conscience à Mitchell ses erreurs passés et il ne tient évidemment pas à retourner derrière les barreaux. Toutefois, il a besoin d’informations après un crime commis sur un de ses potes d’enfance ; il est à la recherche de 2 jeunes qui l’ont violemment agressé et provoqué sa mort. Pour cela il va être présenté à Gant (Ray Winstone), un homme puissant et respecté qui n’a pas peur de se salir les mains.

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    Autant jouer cartes sur table immédiatement, je ne suis pas du tout entré dans l’histoire de London boulevard. C’est d’autant plus dommage que Colin Farrell est irrésistible avec en face de lui un Ray Winstone tout aussi exceptionnel hélas le problème vient cette romance avec la star qu’incarne Kieira Knightley. Une relation qui désamorce tout la tension accumulée et qui nous fait perdre pied dans l’intrigue principale et sans cette parenthèse, le film aurait vraiment un tout autre visage. Pour une première réalisation, William Monahan distille des éléments intéressants notamment dans le dénouement mais cette copie là reste bien insuffisante !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les paparazzis sont bien grossiers !

  • American translation

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    Notre pote Aurore (Lizzie Brocheré) s’était rendue à l’hôtel Bristol afin de voir son père actuellement en voyage à paris pour ses affaires mais une fois de plus leur rencontre s’est transformé en réunion de travail. Une nouvelle déception pour elle qui va cependant à croiser le regard de Chris (Pierre Perrier) et ce fut immédiatement le coup de foudre. Très vite, le jeune homme emménage dans l’appartement d’Aurore à Paris et le couple se la coule douce mais le comportement de Chris a parfois de quoi laisser perplexe. Un jour, ils décident de prendre la route et tombent sur un jeune prostitué qui réveille des pulsions chez Chris, des pulsions meurtrières !

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    Vraiment un drôle de film que cet American translation que l’on doit à la collaboration de Jean-Marc Barr & Pascal Arnold. La scène d’ouverture ne fait pas mystère sur la nature criminelle de son personnage principal et on suit ainsi son parcours allant jusqu’à impliquer sa petite-amie. Le duo de comédiens se donne corps et âme malheureusement on ne trouve pas vraiment trace de leur âme tant leurs personnages apparaissent comme dépourvus de caractères. Selon le générique de fin, les réalisateurs se sont inspirés du vécu de véritables serial-killers, peut-être auraient-ils du également s’inspirer de bons films ça nous aurait évité de perdre notre temps !

     

    Il faut le voir pour : Se dire que même avec une camionnette Peugeot, vous pouvez aller draguer les nanas !

  • Une séparation

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    Entre Simin & Nader (Leila Hatami & Peyman Moadi ) rien ne va plus, le couple est aux bords de la séparation. Simin a pour projet de partir à l’étranger alors que son mari refuse de quitter l’Iran prétextant notamment qu’il doit s’occuper de son père atteint de la maladie d’Alzheimer. Entre ces 2 parents qui se déchirent se trouve Termeh (Sarina Farhadi), 11 ans qui garde l’espoir que tout redevienne comme avant. Le couple a pourtant passé le point de non-retour puisque Simin quitte le foyer pour emménager chez sa mère. Il faut désormais que Nader trouve une personne pour s’occuper de son père et c’est ainsi qu’il engage Razieh (Sareh Bayat) mais un terrible drame va alors se jouer.

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    Autant être honnête avec vous, il ne se passe quasiment rien dans Une séparation ce qui n’empêche pas le film de Asghar Farhadi, qui m’avait déjà agréablement surpris avec A propos d’Elly, d’être merveilleusement réussi. On y suit le combat judiciaire de 2 familles mais autour de cet évènement c’est une photographie de la société iranienne à travers des thèmes comme la religion, la lutte des classes etc. Récompensé de nombreux prix d’interprétation lors de la Berlinale 2011, l’ensemble des comédiens est vraiment sidérant au point que les scènes devant le juge pourraient presque être assimilées à un documentaire. Un film fort qu’il faut aller voir d’où mon Coup de cœur Ciné2909 et surtout un réalisateur à surveiller à tout prix !

     

    Il faut le voir pour : Programmer toutes vos machines sur le 4 quand votre femme n’est pas là !

  • The prodigies

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    Jimbo n’était encore qu’un enfant lorsqu’on l’a retrouvé dans la cave de sa maison où il était resté enfermé depuis 1 semaine avec les corps sans vie de ses parents. Les premiers éléments de l’enquête ont établi que le père avait battu à mort son épouse avant de se donner la mort par pendaison mais étrangement le jeune garçon s’est accusé du crime. Richard Killian s’intéresse de près à ce fait divers car il est convaincu que ce jeune garçon dit la vérité et qu’il possède de fantastiques pouvoirs. Quelques années plus tard, ce dernier est devenu professeur et est resté très proche de Killian ; ils vont alors faire une incroyable découverte. 5 jeunes semblent manifester des dons exceptionnels semblables à ceux de Jimbo, ce sont de futurs prodiges qu’ils doivent protéger.

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    A défaut de pouvoir réaliser un film de super-héros à la française, Antoine Charreyron s’est donc lancé dans un ambitieux projet avec The prodigies adapté du roman de Bernard Lentéric. Si les images de synthèse sont de bonne facture, il faut bien reconnaitre qu’ils n’ont pas la finesse des grands studios américains mais on fait vite abstraction de ce détail purement esthétique. On est davantage marqué par certains éléments du film comme ses scènes de violences aussi bien physiques que sexuelles et ça reste tout de même à réserver à un public averti (plutôt à interdire aux – de 16 ans). Personnellement je l’ai trouvé assez froid, on a beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire et à s’attacher aux personnages, un 1er essai loupé donc pour le réalisateur et loin d’être prodigieux.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’utiliser vos pouvoirs contre les oiseaux, ils vous ont rien fait !

  • Blue valentine

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    La rencontre entre Cindy & Dean (Michelle Williams & Ryan Gosling) est une belle histoire même si le couple a du traverser de terribles épreuves avant d’en arriver là où ils sont aujourd’hui. Parents d’une petite Frankie (Faith Wladyka), ils sont pourtant au bord de la séparation ; nous sommes bien loin de l’époque où ils étaient fous amoureux. C’est en faisant un déménagement que notre pote Dean a croisé pour la première fois Cindy et il est tombé immédiatement sous son charme. Il a fallu du temps avant que son coup de cœur ne trouve un écho car la jeune Cindy traversait une période difficile ; elle est tombée enceinte et ne se sentait pas prête à assumer cet enfant.

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    Elle en a fait du chemin depuis ses débuts dans Dawson notre chère Michelle Williams et on la retrouve dans un drame romantique assez perturbant. On est en effet un peu décontenancé lorsque le film se met à remonter le temps et le seul repère que j’ai pu trouver c’est l’évolution capillaire de Ryan Gosling ! Blue valentine s’attache donc à nous faire vivre de manière simultanée la formation d’un couple et son délitement conséquence d’un amour disparu. C’est un bon petit film qui doit énormément à son couple vedette mais pas de quoi marquer nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Louer une chambre futuriste la prochaine fois que vous allez à l’hôtel.

  • Low cost

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    Bienvenue à bord du Boeing 737-200 affrété par la compagnie Lebud Jet, l’avion va bientôt quitter Djerba pour rejoindre Paris … du moins c’est ce qui était prévu ! En effet, alors que le décollage était imminent, les passagers apprennent que leur voyagiste a fait faillite et que l’appareil est désormais cloué au sol. Refusant de quitter leurs sièges, les passagers avec Dagobert (Jean-Paul Rouve) en tête décident d’occuper l’avion et mieux encore de le faire décoller ! Parmi eux se trouve Jean-Claude (Gérard Darmon), ancien pilote avec 35 000 heures de vol à son actif qui est prêt à reprendre du service. Les voilà donc dans le ciel mais à leur atterrissage, ils vont vite déchanter !

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    En voilà une très bonne surprise de notre pote Maurice Barthélémy, Low cost est une comédie qui n’est pas sans nous rappeler le mythique Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? On embarque donc pour un vol mémorable avec une belle galerie de personnages parmi lesquels on retrouve en première ligne son ex-compère des Robins des bois Jean-Paul Rouve. Bien entendu, si vous vous souvenez des sketches qui ont fait les belles heures de Canal +, vous savez qu’il faut s’attendre à un humour plutôt absurde et je vous garantis que vous allez vous marrer ! Un film rafraîchissant qui ne vole certes pas très haut mais assez pour nous changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’avoir peur des nains !

  • Y’a-t-il un flic pour sauver la reine ?

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    En planque et sur la piste d’un réseau de drogues, notre pote Nordberg (O. J. Simpson) a malheureusement été repéré et s’est retrouvé dans un piteux état. C’est le valeureux Frank Drebin (Leslie Nielsen) qui va prendre le relais de cette enquête qui va le mener tout droit au bureau du suspect N°1, un certain Vincent Ludwig (Ricardo Montalban). En apparence, cet homme n’a rien à se reprocher, la preuve en est qu’il préside le comité chargé d’accueillir la visite officielle de la Reine d’Angleterre Elisabeth II (Jeannette Charles). Mais le flair de Frank est infaillible même s’il se laissera détourner par les yeux de la belle Jane Spencer (Priscilla Presley), il fera son devoir de flic avant tout !

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    Le rôle de Frank Drebin est sans aucun doute possible celui qui a permis à Leslie Nielsen de se faire connaitre dans le monde. A la réalisation, retrouve bien évidemment David Zucker et son humour absurde mais tellement efficace d’autant plus que Leslie Nielsen (repéré dans Y’a-t-il un pilote dans l’avion ?) est réellement irrésistible dans la peau de ce flic gaffeur. Là encore, on aura l’occasion de retrouver son personnage puisque cet épisode sera le premier - et le meilleur - d’une trilogie. Y’a-t-il un flic pour sauver la reine ? est donc une comédie culte, un must dans le genre de la parodie bien loin des inepties proposées de nos jours.

  • Medianeras

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    Buenos Aires compte plus de 3 millions d’habitants parmi lesquels notre pote Martin (Javier Drolas), créateur de sites webs et qui passe le plus clair de son temps scotché sur son écran d’ordinateur. Comme seule compagnie, il a un petit chien dont il a hérité de son ex partie aux États-Unis et qui a décidé de faire sa vie là-bas. Non loin de chez Martin, il y a Mariana (Pilar López de Ayala) ; une jeune architecte qui aurait aimé voir se construire une de ses réalisations mais qui doit pour le moment se contenter de décorer les vitrines des magasins. Elle aussi est en proie à une grande solitude et semble avoir plus d’affinités avec les mannequins en plastique qu’elle a chez elle qu’avec n’importe qui d’autre.

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    Avis partagé pour Medianeras qui s’intéresse au destin de 2 célibataires qui vont finir par se rencontrer. Avant d’arriver à ce happy-end prévisible qui nous fait quitter la salle avec un le cœur léger, on a toutefois droit à des portraits à l’image de leur existence à savoir assez mornes. D’ailleurs, le plus intéressant reste le contexte dans lequel tous deux évoluent ; la ville de Buenos Aires semblable à toutes les grandes métropoles devient un personnage à part entière où la communication ne s’opère qu’à travers les progrès technologiques. Pour son premier film au cinéma, le réalisateur Gustavo Taretto a réadapté son court-métrage mais n’est pas parvenu à trouver le rythme adéquat pour nous emballer.

     

    Il faut le voir pour : Aller vous acheter un pull rayé blanc et rouge.