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Cinéma - Page 348

  • Transformers

    Bonjour,

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    de3a2df78e96a2fccd0c7b4c132f34ee.jpgJe… Je m’appelle Sam Witwicky (Shia LaBeouf) et je crois que je vis mes derniers instants. Maman, papa, je vous aime de tout mon cœur et toi aussi mon petit Mojo. Je suis devant ma voiture et je crois qu’elle est vivante car elle s’est transformée en robot gigantesque !

     

    Tout a commencé quand papa m’a payé cette voiture, cette Camaro d’occasion ; ma première caisse. C’était trop cool et j’ai même réussi à faire monter la superbe Mikaela (Megan Fox) et déjà à ce moment-là, la voiture réagissait bizarrement.

     

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     Et puis cette nuit, pendant que je dormais, j’ai entendu le moteur de ma voiture ; quelqu’un était en train de la voler je l’ai pris en poursuite. Et me voilà face à ce truc incroyable, on dirait un film de science-fiction !

     

     

    En savoir plus sur Transformers

  • Taken

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    Pour le bonheur de sa petite fille, Bryan (Liam Neeson) est prêt à tous les sacrifices. Il n’y a pas si longtemps, il était une sorte d’agent secret au service des Etats-Unis mais du jour au lendemain il a tout plaqué pour se rapprocher de Kim (Maggie Grace) qu’il ne voyait plus qu’occasionnellement depuis son divorce. Quand cette dernière lui demande l’autorisation de se rendre à Paris avec sa pote d’enfance ; il a quelques réticences mais finit par céder pour la plus grande joie de sa fille. Lui connait bien les dangers qui parcourent le monde et son intuition va s’avérer exact puisque Kim est victime d’un enlèvement au centre d’un réseau de prostitution.

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    Touche pas à ma fille ! Sous le protectorat de Luc Besson, on voit fleurir de plus en plus de films d’action dirigés par de jeunes réalisateurs français, un genre qui a longtemps été l’apanage de nos potes yankees. Derrière la caméra, on retrouve Pierre Morel qui s’est notamment illustré grâce à Banlieue 13 et nous gratifie d’un petit film sympathique avec un Liam Neeson qu’on a rarement vu dans ce genre de rôle. Si vous êtes venus chercher de l’action divertissante, vous avez frappé à la bonne porte en revanche en matière d’idées on ne peut pas dire que Taken sorte vraiment du lot. Après ce film en tout cas, on arrêtera de nous bassiner avec Paris, la ville la plus romantique au monde.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais partager un taxi.


    En savoir plus sur Taken 2 ?

  • Saw

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    La vie d’Adam (Leigh Whannel) n’a rien d’extraordinaire, photographe de bas étage qui réussit tant bien que mal à vivre de son métier, il habite un petit appartement où il vit en bon célibataire. Sa vie bascule, quand il se réveille brusquement et émerge d’une baignoire remplie d’eau, il ignore où il se trouve et surtout comment il a bien pu atterrir là. ? Des lumières s’allument et une vision d’horreur commence à laisser place à l’obscurité, Adam est enchaîné à des canalisations, dans une pièce d’eau au milieu duquel gît le cadavre d’un homme à moitié dévêtu.

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    On ne lui prédisait pas un grand avenir et pourtant ce film va lancer une saga marquante dans l’histoire du cinéma. Saw devient une véritable référence pour des milliers de spectateurs avides d’hémoglobine alors qu’on pourrait le considèrer comme un simple pot pourri d’autres grands films comme Seven ou Cube. La violence des scènes sont pour beaucoup dans le succès de cette saga qui semble inépuisable puisque les épisodes s’enchainent et les victimes s’accumulent ; tant que le public suivra il y aura toujours un Saw à sortir. Culte par sa prodigieuse exploitation commerciale, ce film suscite souvent la polémique et c’est plus qu’il n’en faut pour attirer les spectateurs.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !

     

    En savoir plus sur Saw II ?

    En savoir plus sur Saw III ?

    En savoir plus sur Saw IV ?

    En savoir plus sur Saw V ?

  • Sans plus attendre

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    S’ils s’étaient rencontrés dans d’autres circonstances, Edward Cole & Carter Chambers (Jack Nicholson & Morgan Freeman) ne seraient peut-être jamais devenus des potes d’enfance. Seulement en raison de leur santé défaillante, tous deux viennent d’apprendre qu’il ne leur reste maintenant que peu de temps à vivre, ils sont aujourd’hui inséparables. Plutôt que de se morfondre à attendre la faucheuse, ils décident de profiter une dernière fois de tout ce que la vie peut leur offrir à travers une liste de choses qu’ils souhaitent accomplir. Grâce à la fortune d’Edward, toutes les portes leur sont ouvertes ; que ce soit le saut en parachute ou encore une course sur un circuit, il faut en profiter sans plus attendre.

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    Comme l’un des héros le dit dans le film, souhaitez-vous connaitre la date de votre mort ? Cette fatalité qui n’échappera à personne sert ici d’échéance à court-terme au duo Jack Nicholson/Morgan Freeman dont les carrières respectives mériteraient un roman en plusieurs tomes. Sans plus attendre se révèle fidèle à ce que l’on attendait, un film où nos héros découvrent que la vie est bien trop courte, qu’on ne prend jamais le temps de faire ce dont on rêve. Des bons sentiments en pagaille avec quelques moments sympas mais certainement pas le chef d’œuvre qui vous convaincra de le mettre sur la liste des films à voir avant votre mort !

     

    Il faut le voir pour : Laissez tomber le Nescafé pour le Kopi Luwac.

  • Redacted

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    Le rêve d’Angel Salazar (Izzy Diaz) est de devenir un grand cinéaste. En attendant son heure de gloire, il a été appelé à défendre les couleurs du drapeau américain en Irak dans la ville de Samara où il ne se passe pas grand-chose. Affecté à la surveillance d’un barrage, lui et ses potes d’enfance ne font que scruter les allées et venues des irakiens. Pour combler les heures perdues, il s’est lancé dans la réalisation d’un petit film sur son unité, ce sera son passeport pour Hollywood espère t-il. Prêt à créer la sensation, il va être témoin d’un acte dramatique mais ne semble pas vraiment réaliser ce qu’il vient de vivre.

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    Quelques semaines après Battle for Haditha, le réalisateur Brian De Palma prend la relève sur le thème irakien. A l’instar de ce dernier, on part d’un fait divers pour construire le film mais ici on veut pointer du doigt la manipulation des images effectuée par les médias et leur diffusion quai-instantanée à l’échelle mondiale. Redacted montre comment une seule et même histoire va être déclinée et surtout vécue par les différents protagonistes occultant toujours une part de vérité. Un peu troublées au début du film, les intentions du réalisateur deviennent ensuite plus claires illustrées par des images parfois choquantes. Un film à voir pour remettre en question l’objectivité des médias.

     

    Il faut le voir pour : Croire mon pote Fox Mulder qui prônait que La vérité est ailleurs !
  • Paris

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    Pierre (Romain Duris) est effondré. Son médecin vient de détecter une anomalie au niveau de son cœur et ses jours sont peut-être comptés. Il doit suivre un lourd traitement dans l’attente d’une transplantation dont les chances de réussite sont loin d’être rassurantes. Pour le réconforter, sa grande sœur Elise (Juliette Binoche) va venir lui tenir compagnie et l’aider à franchir ce moment délicat. Les journées sont longues pour Pierre qui s’occupent en jardinant mais surtout en observant certains parisiens de sa fenêtre. Quelle est leur histoire ? Que vivent-ils au quotidien ? Se rendent-ils compte de la chance qu’ils ont de pouvoir vivre avec insouciance dans cette belle ville ?

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    Le duo Cédric Klapisch/Romain Duris c’est un peu le pendant français de Tim Burton/Johnny Depp ; c’est un gage de qualité. Après avoir vanté la diversité culturelle internationale, le réalisateur s’attarde sur la capitale française, centre névralgique du pays. Film choral à la distribution impressionnante, Paris se nourrit de la richesse des personnages mais il manque une âme à tout cela. Les histoires de chacun se succèdent sans véritable liant et finissent par devenir terriblement insignifiantes d’autant plus que le destin de Pierre est vite relégué au second plan. Ce n’est pas du grand Klapisch mais ça reste tout de même un film de qualité.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de draguer les filles par SMS.

  • Jumper

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    C’est à 15 ans qu’il a pris conscience qu’il avait ce don incroyable. Notre pote David Rice (Hayden Christensen) pouvait en effet se téléporter où il le souhaitait partout sur la Terre. Evidemment avec l’insouciance due à son jeune âge, il en a profité pour braquer quelques banques histoire de se constituer de l’argent de poche et 8 ans plus tard, il prend toujours son pied. Prendre le petit déjeuner à Londres avant de déguster un sandwich sur la tête des pharaons d’Egypte n’est qu’un simple amusement pour lui. Seulement, il n’est pas le seul à posséder ces pouvoirs et surtout il est pourchassé par un certain Roland (Samuel L. Jackson) qui veut le mettre hors d’état de nuire.

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    Prêt à faire le tour du monde en 80 secondes ? Doté d’un pouvoir qui en ferait fantasmer plus d’un, revoilà notre pote Hayden Christensen qu’on avait un peu oublié depuis sa métamorphose en Dark Vador. Film d’action efficace qui ne se perd pas en dialogues inutiles qui en ferait presque oublié la légèreté du scénario qui a du sauter lui aussi vers un autre film. En gros, notre héros se découvre des pouvoirs et se fait poursuivre par des bad-guys qui veulent sa mort, voilà qui mériterait l’Oscar de l’histoire la moins originale. Jumper c’est sympa mais ce n’est pas non plus le film sur lequel je vous conseillerais de sauter dessus.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de se téléporter hors de la salle de cinéma.

     

  • Erin Brockovich, seule contre tous

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    Divorcée à 2 reprises avec 3 enfants à charge et un CV peu reluisant. On ne peut pas dire que notre pote Erin Brockovich (Julia Roberts) ait les atouts nécessaires pour trouver un travail digne de ce nom. Pourtant, elle ne cherche qu’un moyen de faire manger ses enfants et c’est donc avec son opiniâtreté et non sans culot qu’elle se présente chez son avocat Ed Masry (Albert Finney) pour décrocher un job. Mission accomplie, elle obtient un poste qui va la conduire à s’intéresser au cas de la PGE (Pacific Gas & Electricity) dont les activités industrielles se font au détriment de la bonne santé de leur voisinage..

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    Voici le dernier grand rôle de Julia Roberts avant qu’elle ne fasse de la figuration dans les Ocean’s Eleven & Twelve. D’ailleurs, à la réalisation on retrouve quelqu’un que l’on connait bien puisqu’il s’agit de Steven Soderbergh qui offre à Roberts un de ses plus prestigieux rôles de sa carrière couronné d’ailleurs par l’Oscar de la meilleure actrice en 2001. L’histoire est en fait une adaptation cinématographique de la vraie aventure d’Erin Brockovich qui a mené à bien ce combat contre cette grosse société. On se laisse facilement subjugué par l’histoire et charmé par le personnage sans compter l’une des premières apparitions d’Aaron Eckhart.

  • Seita - Le tombeau des lucioles

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    Seita : Le 21 septembre 1945, je suis mort.

  • Peur(s) du noir

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    Quand il était enfant, Eric n’avait pas beaucoup d’amis. Il passait le plus clair de son temps à la recherche d’insectes pour les observer, les sciences naturelles le passionnaient et il s’était même constitué un petit laboratoire dans sa chambre. Les années ont passé et l’on retrouve un jeune garçon timide qui va avoir la chance de rencontrer l’amour, jamais il n’aurait pensé qu’une fille comme Laura puisse tomber amoureuse de lui. Pourtant, avec le temps qui passe, il s’aperçoit que Laura se comporte de façon extrêmement étrange comme si elle était sous l’influence de quelque chose…

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    Longtemps cantonné à un public jeune, l’animation française ouvre enfin ses portes à un plus large panel de spectateurs. Si le graphisme simpliste de l’ensemble rappelle l’inoubliable Persépolis ; Peur(s) du noir se rapproche davantage de Renaissance à savoir une expérience cinématographique sur le thème du noir & blanc. Rassemblant 6 auteurs graphiques, le film est découpé en différentes séquences à la qualité malheureusement assez inégale et sans véritable idée centrale. Cette succession de court-métrages animés attirera avant tout les amateurs d’animation mais les autres spectateurs risquent de s’ennuyer dans les salles obscures !

     

    Il faut le voir pour : Dire à vos enfants d’arrêter de ramener des insectes dans leur chambre.