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hayden christensen

  • Takers

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    Avec un plan parfaitement pensé dans ses moindres détails et un timing précis, Gordon Jennings (Idris Elba) et ses potes d’enfance sont capables de braquer n’importe quoi. Ils l’ont de nouveau prouvé après leur coup d’éclat où ils ont raflé 2 millions de dollars, une de leur meilleure performance. Cependant, ils ne vont pas en rester là et se voit proposer un coup énorme par leur ancien associé Ghost (T.I.) fraichement sorti de prison. Alors qu’ils s’empressent de mettre au point un plan qui pourrait les enrichir de 20 millions de dollars, l’inspecteur Jack Welles (Matt Dillon) est sur leurs talons bien décidé à les mettre sous les verrous.

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    Depuis Ocean’s eleven, le film de braquage a pris un nouveau souffle en prenant notamment soin d’offrir un casting alléchant. Si on est loin du prestige apporté par les George Clooney, Brad Pitt et consorts ; Takers rassemble Matt Dillon, Hayden Christensen, Chris Brown ou encore Paul Walker pour un film d’action convenable.  Difficile de passer sous silence certaines scènes faisant presque penser à de la parodie et déclenchant involontairement les sourires. Le carnage de la chambre d’hôtel qui se veut orchestré à la John Woo avec comme point d’exclamation le sacrifice d’un des personnages est en ce sens un bel exemple. Un film qui se laisse voir pour un bon moment de détente mais de là à le revoir …

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de foutre le bordel lorsque vous prenez une chambre d’hôtel !

  • Medieval Pie : Territoires vierges

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    Cherchant à échapper à l’impitoyable Gerbino (Tim Roth), notre pote Lorenzo (Hayden Christensen) au eu l’idée saugrenue de trouver refuge dans un couvent de bonnes sœurs. Celles-ci viennent de perdre leur jardinier sourd & muet et lorsque Lorenzo apprend cela, il saute sur l’occasion pour prendre sa place. Tout allait bien jusqu’à ce que la belle Pampinea (Mischa Barton) vienne à son tour se cacher dans ce couvent pour éviter d’épouser Gerbino. Lorsque ces deux-là échangent leur premier baiser, c’est le coup de foudre mais le jeune homme ignore avait les yeux bandés et ne sait pas qui il vient d’embrasser.

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    Dark Vador a troqué son armure noire pour le costume plus seyant d’un playboy du moyen-âge qui ne trouve rien de mieux que de jouer les handicapés pour se taper des nonnes. Avec un scénario aussi inventif que la grille des programmes de TF1 ; il ne fallait pas s’attendre à grand-chose de Medieval Pie : Territoires vierges (d’ailleurs, je ne félicite pas ceux qui ont trouvé ce titre ridicule) si ce n’est un défilé de jeunes filles dévêtues gambadant dans un couvent. Une leçon de cinéma pour apprendre justement tout ce qu’il ne faut pas faire à moins de prendre son pied à voir les spectateurs s’endormir ! T’inquiètes pas Hayden, c’est le coté obscur d’Hollywood qui te pousse à faire des bides.

  • Jumper

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    C’est à 15 ans qu’il a pris conscience qu’il avait ce don incroyable. Notre pote David Rice (Hayden Christensen) pouvait en effet se téléporter où il le souhaitait partout sur la Terre. Evidemment avec l’insouciance due à son jeune âge, il en a profité pour braquer quelques banques histoire de se constituer de l’argent de poche et 8 ans plus tard, il prend toujours son pied. Prendre le petit déjeuner à Londres avant de déguster un sandwich sur la tête des pharaons d’Egypte n’est qu’un simple amusement pour lui. Seulement, il n’est pas le seul à posséder ces pouvoirs et surtout il est pourchassé par un certain Roland (Samuel L. Jackson) qui veut le mettre hors d’état de nuire.

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    Prêt à faire le tour du monde en 80 secondes ? Doté d’un pouvoir qui en ferait fantasmer plus d’un, revoilà notre pote Hayden Christensen qu’on avait un peu oublié depuis sa métamorphose en Dark Vador. Film d’action efficace qui ne se perd pas en dialogues inutiles qui en ferait presque oublié la légèreté du scénario qui a du sauter lui aussi vers un autre film. En gros, notre héros se découvre des pouvoirs et se fait poursuivre par des bad-guys qui veulent sa mort, voilà qui mériterait l’Oscar de l’histoire la moins originale. Jumper c’est sympa mais ce n’est pas non plus le film sur lequel je vous conseillerais de sauter dessus.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de se téléporter hors de la salle de cinéma.