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Julia Roberts

  • Ben is back

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    C’est en rentrant chez elle que notre pote Holly Burns (Julia Roberts) a eu l’incroyable surprise de voir son fils Ben (Lucas Hedges) sur le pas de sa porte. Un retour qu’elle attendait d’autant plus que nous sommes à la veille de Noël et que voir toute la famille réunie ne pouvait pas la rendre plus heureuse ce qui n’est pas le cas de tout le monde. Ivy (Kathryn Newton) se montre plus méfiante envers son frère car celui-ci est traité dans un centre de désintoxication où il était prévu qu’on vienne le chercher. Elle a également en mémoire les dernières fêtes de Noël qui se sont montrées désastreuses et Holly n’a pas oublié non plus ces mésaventures. Elle décide immédiatement de cacher tout ce qui pourrait provoquer des tentations pour son fils mais n’est-ce pas peine perdue ?

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    On ne savait même pas qu’il était parti mais Ben is back ! Si on reconnaît volontiers qu’il s’agit là d’un beau rôle à la mesure du talent de Julia Roberts, en face Lucas Hedges a lui bien plus de mal à occuper l’espace. Il y a aussi de quoi se montrer perplexe concernant ce scénario qui s’appuie sur de trop grosses ficelles (ah c’est bien pratique que tout ça tombe durant les fêtes familiales !) pour qu’on adhère totalement. Malgré ses évolutions, l’histoire manque un peu d’intensité comme si le réalisateur Peter Hedges voulait avant tout se reposer sur les performances de ses acteurs. Au final, voilà qui démontre une fois encore que l’amour d’une mère n’a pas de limites ce qui n’est pas le cas de ce film.



    Il faut le voir pour : Ne plus inviter vos enfants pour Noël, ça vous évitera les ennuis !

  • Joyeuse fête des mères

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    Bien que divorcés, nos potes Sandy & Henry (Jennifer Aniston & Timothy Olyphant) ont gardé d'excellents rapports pour le plus grand bonheur de leurs deux fils. La jeune femme femme a remarqué un changement dans le comportement de son ex-mari et elle commence à se demander s'il n'essaierait pas de recoller les morceaux. Pendant ce temps, à l'approche de la fête des mères, Jesse (Kate Hudson) se met à penser à la sienne avec laquelle elle s'était disputé et à qui elle n'a pas adressé la parole depuis. Poussée par sa sœur Gabi (Sarah Chalke), elle se décide à la recontacter sans se douter que cela va provoquer des retrouvailles qui s'annoncent animées !

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    On dirait bien que Garry Marshall a trouvé un bon filon pour pérenniser sa carrière de réalisateur puisque après Valentine's day & Happy new year ; voilà qu'il vient nous souhaiter une Joyeuse fête des mères ! La formule n'a pas changé d'un iota avec la présence d'une multitude de personnages et d'histoires oscillant entre l'émotion (les histoires de Bradley & Kristin) et le vaudeville de bas-étage (Jesse et ses parents). Mielleux à souhait et aussi prévisible qu'un discours politique en pleine campagne présidentielle, la comédie est digne de ses prédécesseurs à savoir un produit sans saveur. Vous aurez peut-être envie d'aller le voir avec votre mère mais je ne suis pas certain qu'elle prenne cela comme un cadeau !


    Il faut le voir pour : Apprendre à tweeter si vous voulez être une maman branchée !

     

    En savoir plus sur Valentine's day ?

    En savoir plus sur Happy new year ?

  • Un été à Osage County

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    C’est à la suite d’un appel de sa sœur Ivy (Julianne Nicholson) que notre pote Barbara (Julia Roberts), son mari Bill (Ewan McGregor) et leur fille Jean (Abigail Breslin) se sont déplacés jusqu’à Osage County, Oklahoma. Elle rejoint ainsi sa mère Violet (Meryl Streep) atteinte d’un cancer de la bouche et qui est totalement désespérée depuis que son mari Beverly (Sam Shepard) a soudainement quitté la maison. Ivy & Barbara font tout pour réconforter leur mère mais elles ont du mal à comprendre pourquoi leur père s’est ainsi enfui, en tout cas pour Violet c’est l’occasion de revoir sa fille préférée. Un soir, cette famille est réveillée par le Shérif qui vient leur annoncer une triste nouvelle.

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    Il y a d’abord eu une pièce de théâtre avant qu’Un été à Osage County ne soit adapté au cinéma. Pour l’occasion c’est un sacré casting qui a été réuni avec les présences de Juliette Lewis, Ewan McGregor, Benedict Cumberbatch mais ce beau monde se fait vite éclipser par un superbe duo. C’est un plaisir de revoir Julia Roberts dans un rôle digne de ce nom mais surtout celle qui ne vous laissera pas insensible c’est Meryl Streep tout simplement fabuleuse dans la peau de cette mère acariâtre. On ne s’ennuie jamais avec les réunions familiales et le film de John Wells ne fera pas exception avec son lot de rires, de révélations et bien sur d’émotions. Tout est fait pour qu’on ne décroche pas jusqu’à la dernière seconde et c’est exactement ce qu’il se passe !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de manger de la viande pour ne plus être en colère !

  • Blanche Neige

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    Il était une fois une jeune princesse à qui fut donné le nom de Blanche Neige (Lily Collins). Celle-ci vivait recluse dans son château après la mort de son père et surtout après que sa belle-mère la Reine (Julia Roberts) se soit emparée du trône. Le royaume qui avait l’habitude de chanter et danser perdit peu à peu sa prospérité et laissa place à un peuple affamé. Blanche Neige ne reconnait pas du tout son royaume et elle souhaiterait plus que tout renverser la reine mais pour cela elle aurait grandement besoin d’aide ! La providence va lui permettre de rencontrer le beau Prince Alcott (Armie Hammer) de Valencia qui est en quête d’aventures et qui va avoir à faire à de terribles géants … nains !

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    Après la célèbre adaptation en dessin-animé par Walt Disney, la belle Blanche Neige se voit offrir une seconde jeunesse sous les traits de Lily Collins qui va devoir se coltiner les sautes d’humeur de Julia Roberts. Avec son humour assez primaire, le film vise avant tout les enfants qui trouveront de quoi s’émerveiller avec des tenues plus extravagantes que jamais (à rendre jalouse Lady Gaga) pour les autres spectateurs, ça risque d’être plus difficile. Une version du conte beaucoup trop mielleux à mon gout, la seule chose positive c’est ce générique de fin ; transformer l’histoire en comédie musicale aurait pu être une idée séduisante.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de dire "S’il vous plait" !

  • Pretty Woman

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    Fraichement séparé de sa petite-amie, notre pote Edouard (Richard Gere) avait bien besoin de se changer les idées et c’est pourquoi il a roulé sans trop réfléchir. Perdu au cœur de Los Angeles, il parvient à trouver de l’aide auprès de Vivian (Julia Roberts), une prostituée qui a désespérément besoin d’argent pour payer son loyer. Edouard est séduit par la spontanéité de la jeune femme et décide ainsi de l’engager pendant 1 semaine pour qu’elle lui tienne compagnie. Ce sera une vraie bouffée d’air frais pour cet homme d’affaire mais avoir une prostituée dans sa chambre d’hôtel fait beaucoup parler et Vivian éprouve beaucoup de difficultés à se faire respecter.

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    C’est l’un des couples de l’histoire du cinéma, Julia Roberts & Richard Gere ont séduit des millions de spectateurs dans un film plutôt inattendu. Difficile en effet de croire que ce Cendrillon des temps modernes mettant en scène une prostituée allait faire un tel carton ! Le rôle de Vivian n’était pas à proprement parler une affaire et Julia Roberts aura eu le nez creux puisqu’il s’agit à n’en pas douter d’un de ses plus grands rôles. Couple emblématique, une belle histoire d’amour ; pas la peine de chercher plus loin, Pretty Woman est juste l’une des références en matière de comédie sentimentale et il suffira d’entendre les premières notes de l’air de Roy Orbison pour s’y replonger.

     

    La scène à ne pas louper : Le shopping de Vivian !

  • Pretty Woman (Oh, Pretty Woman - Roy Orbinson)

    Toutes les femmes ont cette célèbre chanson de Roy Orbison en tête lorsqu’elles s’adonnent à leur activité préférée : le shopping ! Enfin pour qu’elles puissent réellement en profiter comme le personnage de Vivian Ward encore faudrait-il que vous leur laissiez votre carte bancaire … Pretty Woman est une référence parmi les comédies romantiques ; les hommes se laissent séduire avec plaisir par Julia Roberts tandis que les demoiselles fondent pour le beau Richard Gere. A noter que si on découvre le film en 1990, la chanson Oh, Pretty Woman date elle de 1964 et reste toujours aussi entrainante !


  • Il n’est jamais trop tard

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    Il s’attendait à être nommé une fois encore employé du mois au lieu de quoi notre pote Larry Crowne (Tom Hanks) vient d’apprendre qu’il a été licencié. Tout cela parce que sa hiérarchie a appris qu’il n’avait jamais suivi d’études supérieures et que cela empêchait toute évolution au sein du groupe U-Mart. La nouvelle est difficile à encaisser pour cet homme divorcé mais il va vite reprendre le dessus et décide alors de se remettre aux études. On le dirige notamment vers le cours de l’art du discours informel donné par Mercedes Tainot (Julia Roberts), une professeur qui semble t-il a perdu tout plaisir d’enseigner.

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    C’est le retour de notre pote Tom Hanks aussi bien devant que derrière la caméra et pour l’accompagner il a droit à 2 partenaires de charme : Julia Roberts et surtout Gugu Mbatha-Raw qui volerait presque la vedette à la première. Il n’est jamais trop tard a tout de la comédie romantique de base ; une rencontre providentielle entre 2 personnes radicalement opposées et le début d’une belle histoire. Si l’aspect comédie opère de façon plutôt efficace, on est moins accroché par le couple Roberts / Hanks ; on ne ressent aucune magie dans leur relation. Reste toutefois que l’on passe un agréable moment devant ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais rentrer votre polo dans votre pantalon !

  • Mange, prie, aime

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    Quand notre pote Elizabeth (Julia Roberts) a rencontré Ketut Liyer (Hadi Subiyanto) à Bali pour la première fois ; les prédictions de celui-ci l'on fait doucement rigoler. 6 mois après, elle n'est plus du tout du même avis ; Elle est en pleine procédure de divorce et déplore une existence dans laquelle toute joie de vivre semble avoir disparu. Pour remédier à tout cela, elle décide de quitter les Etats-Unis et de voyager pendant 1 an avec comme programme : L'Italie, l'Inde puis l'Indonésie pour retourner à Bali et revoir Ketut. La première destination sera Rome où ses papilles vont être mises en émoi par tous les succulents plats qu'elle va dévorer.

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    Grande dépression ou crise de la quarantaine, difficile de faire la distinction toujours est-il que Julia Roberts nous embarque dans un road-movie à travers le monde rien moins que ça. Malgré une durée de 2h20, ce feel-good movie ne perd pas réellement en rythme grâce à la bougeotte de notre héroïne. De l'exubérance romaine en passant par la spiritualité indonésienne en passant par la sagesse indienne ; Mange, prie, aime est un film dans l'ensemble sympa malgré des scènes parfois grossières (l'appel au don pour construire la maison). Incontournable pour les fans de l'ex-Pretty woman, pas sur que pour les autres vous puissiez aller au bout de ce film qui a parfois tendance à s'éterniser.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre l'italien sans oublier la gestuelle qui va avec !

  • Valentine's day

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    Le 14 Février est une date qu'il vaut mieux ne pas oublier lorsqu'on a le bonheur d'être en couple. Le jour de la Saint-Valentin est l'occasion pour chacun de nous de témoigner de tout l'amour qu'on éprouve pour l'autre ; un jour symbolique qu'a choisi notre pote Reed (Ashton Kutcher) pour demander en mariage la magnifique Morley (Jessica Alba). Après qu'elle ait dit oui, ce fleuriste est maintenant le plus heureux des hommes mais une grande journée l'attend car les demandes de fleurs vont exploser pour un tel évènement. Pourtant tout le monde n'est pas d'humeur aussi joyeuse, des personnes comme Kara (Jessica Biel) ou Kelvin (Jamie Foxx) cherchent à tout prix à oublier cette journée.

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    Fête commerciale ou date symbolique, chacun se fait sa propre opinion concernant la Saint-Valentin et il en est de même pour Valentine's day. De l'amour à foison, de jolies fleurs, des rires, des déceptions, des baisers, des larmes cette comédie sentimentale est telle qu'on peut l'imaginer ; très cucul la praline. Pourquoi se contenter d'une seule histoire lorsqu'on peut en proposer toute une mosaïque avec une pléthore de stars comme Julia Roberts, Patrick Dempsey, Anne Hathaway, Jennifer Garner et j'en passe. Ceux ou plutôt celles qui se régalent devant les films sirupeux vont apprécier celui-ci à voir idéalement en couple sinon c'est la déprime assurée.

     

    Il faut le voir pour : Vite vous trouver un partenaire pour la prochaine Saint-Valentin !

     

    En savoir plus sur Happy New Year ?

    En savoir plus sur Joyeuse fête des mères ?

  • Duplicity

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    Tout a commencé le 04 Juillet 2003 à Dubaï avec la rencontre entre Claire Stenwick & Ray Koval (Julia Roberts & Clive Owen). Elle travaille pour la CIA tandis que lui roule depuis plus de 10 ans pour le MI6 ; ils étaient faits l’un pour l’autre et pourtant Claire n’a aucuns scrupules à s’enfuir avec des infos confidentielles. Un affront que n’est pas prêt d’oublier Ray et le hasard va lui donner un coup de pouce car 5 ans il tombe sur elle en plein cœur de New-York. Comble de malchance, il semble qu’ils collaboraient sans le savoir à la même opération orchestrée par Dick Garsick (Paul Giamatti), un industriel véreux.

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    Les films d’espionnage sont à la mode ces temps-ci mais Duplicity apporte une touche de glamour avec le duo Julia Roberts/Clive Owen. Tous deux agents secrets, il est surtout question de confiance dans ce film. Comment croire quelqu’un qui a justement passé toute sa vie à mentir et à jouer les taupes ? Pas toujours évident de distinguer le vrai du faux et c’est ainsi qu’on promène le spectateur durant 2 heures. Après le très sérieux Michael Clayton, Tony Gilroy s’offre une petite récréation riche en rebondissements assez sympa mais pas incontournable.

     

    Il faut le voir pour : Penser à vous acheter une perruque.