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  • La chambre bleue

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    Notre pote Julien Gahyde (Mathieu Almaric) est actuellement interrogé par la Police pour une sombre affaire liée à sa maitresse Esther Despierre (Stéphanie Cléau). Cet homme avait jusque-là une vie confortable ; concessionnaire de véhicules agricoles, il s’était offert une belle propriété avec sa femme Delphine (Léa Drucker) et leur fille Marianne (Mona Jaffart). Le bonheur était là mais une autre femme est entrée dans sa vie et Julien connait bien Esther puisqu’ils ont grandi ensemble. Elle aussi a construit sa vie de son coté en épousant Nicolas (Olivier Mauvezin) et s'occupe de la pharmacie du village et c’est ainsi que les rencontres à l’hôtel ont commencé.

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    La chambre bleue est d’abord le titre du roman écrit par Georges Simenon et publié en 1964 que Mathieu Almaric a voulu adapter pour le grand écran. Outre le premier rôle, il s’octroie aussi et surtout la place de réalisateur pour nous livrer un film pendant lequel plane le mystère d’un crime. Alors que le personnage principal se retrouve menotté et interrogé par un juge, les flashbacks se succèdent sur sa vie familiale heureuse, son travail parfois stressant et sa relation avec Stéphanie Cléau. On a une réalisation au début assez perturbante mais qui retrouve par la suite une certaine normalité cependant si pendant près d’une heure le suspense perdure, les dernières minutes s’avèrent bien moins passionnantes. Franchement pas inoubliable.

     

    Il faut le voir pour : Faire gouter vos pots de confiture.

  • Peur(s) du noir

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    Quand il était enfant, Eric n’avait pas beaucoup d’amis. Il passait le plus clair de son temps à la recherche d’insectes pour les observer, les sciences naturelles le passionnaient et il s’était même constitué un petit laboratoire dans sa chambre. Les années ont passé et l’on retrouve un jeune garçon timide qui va avoir la chance de rencontrer l’amour, jamais il n’aurait pensé qu’une fille comme Laura puisse tomber amoureuse de lui. Pourtant, avec le temps qui passe, il s’aperçoit que Laura se comporte de façon extrêmement étrange comme si elle était sous l’influence de quelque chose…

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    Longtemps cantonné à un public jeune, l’animation française ouvre enfin ses portes à un plus large panel de spectateurs. Si le graphisme simpliste de l’ensemble rappelle l’inoubliable Persépolis ; Peur(s) du noir se rapproche davantage de Renaissance à savoir une expérience cinématographique sur le thème du noir & blanc. Rassemblant 6 auteurs graphiques, le film est découpé en différentes séquences à la qualité malheureusement assez inégale et sans véritable idée centrale. Cette succession de court-métrages animés attirera avant tout les amateurs d’animation mais les autres spectateurs risquent de s’ennuyer dans les salles obscures !

     

    Il faut le voir pour : Dire à vos enfants d’arrêter de ramener des insectes dans leur chambre.