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épouvante - Page 2

  • Intruders

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    Bien qu’elle vienne de souffler ses 12 bougies, notre pote Mia (Ella Purnell) est effrayée lorsque vient le moment de s’endormir. En fait, il y a quelques jours elle a fait une drôle de découverte dans le jardin de ses grands-parents ; caché dans le creux d’un arbre, elle a trouvé une petite boite. En ouvrant celle-ci, elle tombe sur un bout de papier sur lequel est écrite une histoire vraisemblablement imaginée par un enfant et où intervient un monstre nommé Sans visage. Ça tombe bien pour la jeune fille qui doit justement inventer une histoire pour l’école mais elle ne sait pas qu’en faisant cela, elle va redonner vie à un traumatisant cauchemar.

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    Comme j’étais entré dans la salle sans voir ni bande-annonce ni affiche et après les premières minutes je pensais qu’il s’agissait là d’un nouveau film d’épouvante espagnol. Une lueur d’espoir qui allait rapidement s’éteindre. Intruders propose en fait de suivre alternativement 2 histoires dont on devine assez facilement le point de liaison. Pour le reste, c’est du cinéma d’épouvante à l’américaine comme on a trop souvent l’occasion de voir c’est-à-dire sans aucune inspiration dans lequel sont venus s’égarer Clive Owen & Carice Van Houten. Pas la peine d’aller dans la salle, on a d’ores et déjà identifié les intrus : ce sont les futurs spectateurs de ce long-métrage insignifiant.



    Il faut le voir pour : Interdire à vos enfants d’écrire des histoires d’horreur.

  • En quarantaine 2

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    Potes d’enfance mais également collègues de travail, Jenny & Paula (Mercedes Masöhn & Bre Blair) sont hôtesses de l’air et sont sur le point de décoller de l’aéroport de Los Angeles. A bord de l’appareil, une dizaine de passagers s’apprêtent à rejoindre Nashville mais ce vol va connaitre de nombreuses turbulences à commencer par la présence d’un passager malade. Pris de vomissements, il ne tarde pas à manifester un comportement extrêmement agressif au point qu’il a fallu l’attacher et faire atterrir l’avion en toute urgence. Alors qu’ils pensaient leur calvaire terminé, les passagers découvrent qu’ils sont maintenus en quarantaine car ils sont potentiellement porteurs du virus de la rage !

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    Petit rappel, En quarantaine est le remake made in Hollywood du succès espagnol [Rec] et cette suite américaine propose sa propre version puisque l’action se déroule d’abord dans un avion puis dans un aéroport. Le principe quant à lui n’a pas changé ; des victimes contaminées qui se transforment soudainement en créatures assoiffés de chair et de sang. Alors que Rec 2 faisait planer une atmosphère mystique, En quarantaine 2 lorgne lui plutôt du coté des films de survival, si on avait planté des zombies dans l’avion le résultat aurait été le même ! Au même titre que son prédécesseur, vous pouvez totalement vous passer de ce second volet inintéressant et vraiment sans inspirations.

     

    En savoir plus sur En quarantaine ?

  • En quarantaine

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    Dans le cadre de l’émission télévisée Equipe de nuit, la présentatrice Angela Vidal (Jennifer Carpenter) et son caméraman Scott Percival (Steve Harris) ont partagé une nuit à la caserne des pompiers de Los Angeles. Ce sont Jake & Fletcher (Jay Hernandez & Johnathon Schaech) qui vont leur servir de guides mais la nuit est plutôt calme et Angela commence à s’impatienter attendant un peu d’action. Son vœu est exaucé lorsqu’une alarme retentit, les pompiers sont appelés à intervenir dans un immeuble où la police est déjà sur place. Des voisins ont appelé lorsqu’ils ont entendus Mme Espinoza (Jeannie Epper) pousser d’horribles cris mais tous sont loin d’imaginer la nuit d’horreur qui les attend.

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    Sorti en 2008 sur nos écrans, [Rec] fut l’un des cartons du box-office espagnol et des producteurs américains ont flairé la manne financière en achetant les droits. C’est donc un énième remake auquel nous avons droit parce qu’évidemment l’œuvre originale se déroulant dans un immeuble à Barcelone ne pouvait pas convenir au public américain. Il est vrai qu’il est certainement plus économique de tourner un autre film que d’insérer des sous-titres. L’action prend donc désormais place à Los Angeles et pour le reste c’est du très bon copier/coller si ce n’est qu’on ne retrouve aucunement l’ambiance angoissante du film espagnol. S’il vous fallait choisir entre les deux pas d’hésitations à avoir ; oubliez En quarantaine et optez pour la version originale !

  • Paranormal Activity 3

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    Septembre 1988. Julie & Dennis (Lauren Bittner & Christopher Nicholas Smith) et leurs 2 filles Katie & Kristi (Chloe Csengery & Jessica Tyler Brown) viennent de s’installer dans leur tout nouvelle maison où ils ont tout pour être heureux. Pourtant, d’étranges bruits attirent leur attention et plus particulièrement Dennis qui ne se sent pas rassuré et décide de tirer cette histoire au clair. Il installe ainsi 2 caméras dans sa chambre et dans celle des filles et va assister à de drôles de phénomènes. Il constate tout d’abord que la petite Kristi se réveille en pleine nuit pour discuter avec Toby, son ami imaginaire mais le couple va ensuite être témoin d’évènements surnaturels.

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    On ne peut pas dire que ce soit une surprise de voir débarquer sur nos écrans un Paranormal Activity 3, ce qui aurait été plus surprenant ça aurait été de voir un bon film ! Aucunes inspirations pour cet épisode qui revient aux origines de l’histoire et de soi-disant explications qui nous laissent plutôt interloqués. Pour le reste, c’est encore et toujours la même recette avec des caméras disséminés dans la maison dont une installée sur un ventilateur (la seule innovation du film !) et on n’a plus qu’à attendre de sursauter de son siège. Sauf qu’en la matière, il y a peu de choses pour nous donner des sueurs froides et la seule peur est que ce film ne connaisse pas de fin.

     

    Il faut le voir pour : Dire à votre fille d'arrêter de vouloir jouer à Bloody Mary !

     

    En savoir plus sur Paranormal Activity ?

    En savoir plus sur Paranormal Activity 2 ?

    En savoir plus sur Paranormal Activity 4 ?

    En savoir plus sur Paranormal Activity 5 : Ghost dimensions ?

    En savoir plus sur Paranormal activity : The marked ones ?

  • The thing (2011)

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    Notre pote Kate Lloyd (Mary-Elizabeth Winstead) est paléontologue et c’est en tant que tel qu’elle a été invitée par Sander (Ulrich Thomsen) à prendre part à une expédition en Antarctique. On y a en effet fait une découverte majeure : un engin spatial se trouve enfoui dans les glaces et plus étonnant encore ; on a retrouvé une créature emprisonnée dans un bloc de glace. Sander sait qu’il a fait une découverte majeure et il n’hésite d’ailleurs pas à prélever un tissu de cet extraterrestre sans se douter une seule seconde qu’il est encore en vie. Ce n’est que plus tard dans la soirée qu’ils vont s’en apercevoir lorsque cet être fait exploser le bloc de glace et se retrouve dans la nature et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il n’est pas très content !

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    Si je vous The thing, les amateurs du 7ème art penseront forcément au film de John Carpenter sorti sur les écrans de cinéma voilà près de 30 ans déjà ! The thing version 2011 adopte la forme du prequel et nous ramène dans les douceurs de l’Antarctique pour nous faire assister au réveil d’un méchant monstre. L’ensemble est assez classique additionné à des effets spéciaux de bonne facture ce qui nous ferait presque oublier des personnages sans véritable personnalité. Si on ne peut pas crier au génie, on peut au moins se consoler sur le fait que ce film ne trahisse pas l’esprit d’origine et vu ce qu’on a déjà eu l’occasion de voir, c’est déjà pas mal !

     

    Il faut le voir pour : Prendre rendez-vous chez votre dentiste et vous faire poser un plombage !

  • Apollo 18

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    La mission Apollo 11 avait permis à Neil Armstrong de marquer l’histoire de l’humanité et à partir de ce moment là, la guerre des étoiles battait son plein entre les Etats-Unis et l’Union soviétique. Officiellement, Appolo 17 fut la dernière mission effectuée sur la lune, les suivantes ayant été annulées pour raisons budgétaires. Jusqu’à ce jour, tout le monde ignorait donc l’existence d’Apollo 18, une mission top-secrète qui fut dévoilée récemment sur Internet. Ces enregistrements vidéos sont les dernières traces des astronautes Nathan Walker, John Grey & Benjamin Anderson (Lloyd Owen, Ryan Robbins & Warren Christie) ; ils pensaient accomplir de simples installations sur la lune mais vont entrer de plein pied dans un cauchemar sans fin.

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    Scénario au potentiel intéressant qui prouve plus que jamais que la vérité est ailleurs, Apollo 18 choisit de décliner son histoire façon Paranormal Activity (ou Le projet blairwitch selon votre génération). Proposer un film à travers l’objectif d’une caméra DV, je n’ai rien contre mais il faut quand même que les réalisateurs arrêtent de croire que cela suffit pour en faire un bon film ou  un film tout court. Donc ici on choisit de se passer d’un scénario, juste 2 mec sur la lune qui essaient de nous faire peur avec des traces de pas et des espèces d’araignée, bonjour les sensations fortes. Houston, on a un problème : on prend les spectateurs pour des cons !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de ramener des cailloux de la lune si jamais vous avez l’occasion d’y aller !

  • Dream house

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    La décision n’était pas évidente mais notre pote Will Atenton (Daniel Craig) a franchi le pas et a démissionné pour se consacrer davantage à sa famille. Sa femme Libby (Rachel Weisz) et leurs 2 filles accueillent évidemment cette nouvelle avec plus d’enthousiasme et ils vont pouvoir profiter comme il se doit de cette maison qu’ils viennent d’acquérir dans la ville de New Ashford. Leur vie va cependant être perturbé par quelques incidents, ce sont d’abord les filles qui prétendent avoir aperçu un homme étrange rodé dans le jardin et puis par la suite Will surprend des jeunes dans sa cave. C’est là qu’il découvre la vérité ; cette maison fut le théâtre d’un horrible massacre dont le responsable serait un certain Peter Ward.

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    On pourrait facilement confondre ce film à un vulgaire film d’épouvante et d’ailleurs la première demi-heure conforte notre ressenti mais quand on se rend compte qu’à la distribution on a Daniel Craig, Rachel Weisz & Naomi Watts et que le réalisateur est Jim Sheridan (Brothers / Réussir ou mourir …) on se dit que Dream house cache certains secrets. Effectivement après une révélation tonitruante, ce qui s’apparentait à un film d’horreur devient soudainement un thriller plaisant mais qui ne propose rien de bien exceptionnel. Une fois le coup de théâtre révélé, l’intérêt du film va en décroissant et on en vient vite à attendre avec une certaine impatience que l’histoire trouve son dénouement.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier le passé des anciens locataires de votre maison !

  • Shark 3D

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    Étudiant en médecine, Nick (Dustin Milligan) est en pleine révision pour ses prochains examens mais voilà que Malik (Sinqua Walls) vient l’inviter à un week-end de fête chez la belle Sara (Sara Paxton). Impossible de refuser une telle invitation et voilà donc tous nos potes d’enfance prêt à s’éclater ; ils ont une superbe maison au bord d’un lac à disposition et une belle provision d’alcool, le programme s’annonce chaud. Malheureusement, ils vont vite déchanter lorsqu’au cours d’une séance de jet-ski, Malik perd malencontreusement une partie de son bras. On a d’abord mis ça sur le dos de Nick mais ils apprendront assez vite qu’il a en fait été victime d’un requin mais les surprises ne s’arrêtent pas là puisqu’il y en aurait plus d’un dans ces eaux !

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    Toute ressemblance dans le titre avec un certain Piranhas 3D n’est certainement pas fortuite ! Inutile d’être un grand génie pour comprendre que ce Shark 3D essaye de profiter du film d’Alexandre Aja pour faire son beurre. On comprend vite que le budget alloué à ce film a été considérablement réduit, ici pas de Spring break mais seulement 7 hors-d’œuvre pour des requins dont la réputation de mangeurs d’hommes n’est pas prête de changer. Si on ne s’attendait pas à vivre un grand moment de cinéma, on pouvait au moins espérer un peu de fun de ce film mais là aussi c’est la déception totale ! Pas de flots de sang, aucun corps déchiqueté, à peine peut-on se consoler d’un minable bras arraché et c’est franchement frustrant bref ça ne donne vraiment pas envie de se jeter à l’eau !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que même les requins font de la télé-réalité !

  • Dark Water (JAP)

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    Yoshimi Matsubara (Hitomi Kuroki) a des soucis plein la tête actuellement. Plongée en pleine procédure de divorce elle doit également trouver au plus vite un appartement d’autant plus qu’elle est accompagnée  de sa petite fille Ikuko (Rio Kanno) dont la garde est contestée. Elle réussit à trouver un logement qui lui convient et de surcroit à proximité d’une école ce qui est l’idéal pour sa fille pourtant des choses étranges se produisent. Un sac rouge appartenant à un enfant a été retrouvé sur le toit et l’on ignore comment il a pu atterrir là-haut. Yoshimi elle s’inquiète d’une fuite d’eau qui semble provenir de l’appartement d’en haut qui est inhabité.

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    Adaptation d’un roman japonais de Koji Suzuki, la réalisation de Dark Water a été confié à Hideo Nakata ; un nom pas complètement inconnu du grand public puisqu’il s’est déjà occupé de Ring. Rendez-vous donc avec un nouveau film d’épouvante efficace qui tient avant tout à son atmosphère pesante issue notamment des croyances asiatiques. Comme les autres succès japonais du genre, un remake américain et sans inspirations (je sais c’est un pléonasme) a vite été mis en place sorti sur nos écrans en 2005 confiant le rôle principal à Jennifer Connelly. Si vous devez en voir qu’un c’est évidemment l’original qui aura vos faveurs.

     

    En savoir plus sur Dark water (US) ?

  • Fright night

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    Pour Charley Brewster (Anton Yelchin), tout va bien dans le meilleur des mondes ; il sort avec Amy (Imogen Poots) l’une des plus belles filles du lycée ce qui était impensable il y a quelques années encore. C’est qu’il a beaucoup changé, il n’est plus le geek d’autrefois qui se mettait en collants pour s’amuser avec Ed & Adam (Christopher Mintz-Plasse & Will Denton), des potes d’enfances qu’il a fini par ignorer. Un jour, Ed l’interpelle car il s’inquiète de l’absence d’Adam et tout porte à croire qu’il aurait été victime d’un vampire qui ne serait autre que Jerry (Colin Farrell), le voisin de Charley. Ce dernier refuse de croire à cette histoire rocambolesque mais il va vite changer d’avis lorsqu’Ed disparait à son tour ; il va alors garder un œil plus attentif sur Jerry !

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    C’est un nouveau film de vampires qu’on vous propose mais si ça peut en rassurer certains, pas de romance à l’eau de rose ici ! Fright night est un remake de Vampire, vous avez dit vampire ?, film de série B sorti au milieu des années 1980. Le scénario est tout ce qu’il y a de plus basique et on retrouve tous les lieux communs qui définissent ce genre de films et sans quelques traits d’humour (qui aurait mérité d’être un peu plus poussé), on se laisserait vite gagner par l’ennui. Ajoutez à cela qu’à l’image des suceurs de sang, les personnages sont quasiment invisibles et malgré les bonnes volontés de Colin Farrell ; on ne s’amuse jamais réellement. A moins d’être en manque total d’hémoglobine, ce qui est sur c’est que ce n’est pas avec ça que votre appétit va être rassasié !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’un vampire peut tout à fait se faire appeler Jerry !