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toni collette

  • Hitchcock

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    La mort aux trousses est un nouveau grand succès pour notre pote Alfred Hitchcock (Anthony Hopkins) mais à maintenant 60 ans, ce réalisateur ne devrait-il pas se retirer au sommet de son art ? Bien sur que non, il travaille d’ailleurs à son prochain film et après avoir longtemps cherché son inspiration, il découvre un roman extraordinaire : Psycho de Robert Bloch. Son histoire verse dans l’horreur et dans son entourage, ce nouveau projet laisse sceptique au point qu’Hitchcock va devoir financer lui-même ce film en hypothéquant sa maison. Une décision que sa femme Alma Reville (Helen Mirren) a bien du mal à accepter.

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    Le maitre du suspense ne pouvait échapper plus longtemps à la dure loi des biopics. Hitchcock échappe au traditionnel film linéaire du genre pour s’intéresser à un tournant de la vie de ce réalisateur, un moment crucial où le succès qu’il rencontre aurait pu instantanément se consumer. On découvre ainsi les coulisses du tournage de l’un des plus grands chefs d’œuvre du 7ème art : Psychose et surtout l’investissement personnel qu’il a couté. S’il ne constitue pas une énorme prouesse, la prestation d’Anthony Hopkins est à l’image du film convaincante mais loin de nous scotcher à l’écran.

     

    Il faut le voir pour : Revoir Psychose !

  • Sixième sens

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    Notre pote Malcolm Crowe (Bruce Willis) est un psychologue émérite spécialisé notamment dans les troubles subis par les enfants. Il a dédié une grande partie de sa vie à son métier et c’est à juste titre qu’il reçoit aujourd’hui une récompense décernée par la ville de Philadelphie. Ce soir-là, il fêtait cet évènement en compagnie de sa femme Anna (Olivia Williams) mais un certain Vincent Grey (Donnie Wahlberg) surgit alors, il fut l’un des patients de Malcolm et semble totalement perturbé. Tentant de le raisonner, le psychologue s’effondre sur le lit après avoir reçu une balle. Quelques temps après ce drame, la vie de Malcolm a été complètement bouleversée et sa rencontre avec un nouveau patient, Cole Sear (Haley Joel Osment) sera décisive.

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    C’est le film qui a lancé la carrière du réalisateur Night Shyamalan (qui apparait également en tant que comédien) et qui nous a permis de découvrir le jeune Haley Joel Osment (qu’on a un peu perdu de vue). Sixième sens a évidemment marqué toute une génération de spectateurs pour son incroyable twist final qui est ensuite devenu une sorte de signature de Shyamalan dans ses films suivants. Ne serait-ce que pour ça, il est nécessaire de voir une deuxième fois le film pour mieux apprécier les détails qui ont été apportés quand on sait que Malcolm est … non je vais vous laisser le plaisir de découvrir tout ça si ce n’est pas encore fait !

  • Fright night

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    Pour Charley Brewster (Anton Yelchin), tout va bien dans le meilleur des mondes ; il sort avec Amy (Imogen Poots) l’une des plus belles filles du lycée ce qui était impensable il y a quelques années encore. C’est qu’il a beaucoup changé, il n’est plus le geek d’autrefois qui se mettait en collants pour s’amuser avec Ed & Adam (Christopher Mintz-Plasse & Will Denton), des potes d’enfances qu’il a fini par ignorer. Un jour, Ed l’interpelle car il s’inquiète de l’absence d’Adam et tout porte à croire qu’il aurait été victime d’un vampire qui ne serait autre que Jerry (Colin Farrell), le voisin de Charley. Ce dernier refuse de croire à cette histoire rocambolesque mais il va vite changer d’avis lorsqu’Ed disparait à son tour ; il va alors garder un œil plus attentif sur Jerry !

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    C’est un nouveau film de vampires qu’on vous propose mais si ça peut en rassurer certains, pas de romance à l’eau de rose ici ! Fright night est un remake de Vampire, vous avez dit vampire ?, film de série B sorti au milieu des années 1980. Le scénario est tout ce qu’il y a de plus basique et on retrouve tous les lieux communs qui définissent ce genre de films et sans quelques traits d’humour (qui aurait mérité d’être un peu plus poussé), on se laisserait vite gagner par l’ennui. Ajoutez à cela qu’à l’image des suceurs de sang, les personnages sont quasiment invisibles et malgré les bonnes volontés de Colin Farrell ; on ne s’amuse jamais réellement. A moins d’être en manque total d’hémoglobine, ce qui est sur c’est que ce n’est pas avec ça que votre appétit va être rassasié !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’un vampire peut tout à fait se faire appeler Jerry !