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  • La fête du cinéma 2012

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    Comme chaque année, le cinéma fait sa fête et c’est l’occasion pour de nombreux spectateurs de profiter du confort des salles obscures, voir les derniers grands films ou encore découvrir des œuvres plus méconnues.

    Rappelons d’abord le principe de l’évènement : A partir du Dimanche 24 Juin, vous payez votre première place plein tarif et par la suite sur présentation du passeport qui vous sera remis, les autres séances ne vous couteront que 2.50 € et ce jusqu’au Mercredi 27 Juin !

    Ciné2909 vous propose de faire un tour d’horizon sur ce qu’il faut voir et aussi ce qu’il vaut mieux éviter.

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  • Dias de gracia

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    2002, 2006, 2010. Des dates quelconques qui correspondent toutefois à un rendez-vous extrêmement populaire : la Coupe du monde de football ! Pour d’autres personnes ces mêmes dates ont une signification particulière car elles ont vécu des expériences traumatisantes en plein cœur de Mexico. Parmi eux, Lupe (Tenoch Huerta) est un policier exemplaire qui ne ménage pas ses efforts quand il s’agit de faire régner l’ordre mais son sens de la justice pourrait également lui couter cher. Il y a aussi cet homme kidnappé et qui ignore tout de ses ravisseurs si ce n’est qu’ils veulent l’échanger contre une rançon mais les choses ne se déroulent pas comme ils l’avaient prévu et pour la victime, le calvaire ne faire que commencer !

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    Bon déjà rassurons ceux qui ne supportent pas le foot, vous n’en verrez peu ou pas dans ce thriller ; il s’agit simplement de repères temporels. Par contre si vous connaissez vos classiques, cela vous permettra toutefois de remettre plus facilement de l’ordre dans un scénario assez décousu. Impulsif, imprévisible, Everardo Gout n’évite pas quelques défauts qu’on imputera à sa première réalisation avec ce capharnaüm désordonné. Une fois le dénouement dévoilé, le déséquilibre dans la trame scénaristique n’en est que plus flagrant et Dias de gracia aurait sans aucun doute gagné en qualité avec un peu plus de simplicité. Ça reste toutefois une belle découverte et l’occasion d’apprécier le cinéma mexicain.

     

    Il faut le voir pour : Jeter un œil autour de vous pendant les grandes compétitions de foot, il se passe peut-être des choses !

  • Journal de France

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    Mais qui est Raymond Depardon ? Réalisateur français, il s’est essentiellement illustré par des documentaires, genre dans lequel il est considéré comme un des maitres, touchant des sujets aussi variés que la situation au Tchad ou encore le quotidien d’un tribunal correctionnel. Une carrière qui sera ponctuée par la remise de nombreux prix dont les césars du meilleur documentaire en 1981 & 1995. Homme de cinéma, il est aussi attiré par la photographie où il cherche avant tout à capter les temps morts. Journal de France revient sur quelques moments clés de sa  longue carrière, de nombreuses images appuyées par les commentaires de sa collaboratrice et compagne Claudine Nougaret.

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    Inutile de vous cacher que jusqu’à Journal de France, j’ignorais jusqu’au nom de Raymond Depardon et je pense que ça doit aussi être le cas de nombre d’entre vous. Ce documentaire alterne les extraits des films de Depardon et de séquences où il s’adonne à son autre passion : la photographie. Quand on ne connait pas un minimum le réalisateur, ça donne un ensemble assez étrange d’autant plus qu’il n’y a pas de véritable de fil rouge. On sera tantôt happé par certains extraits, tantôt assommé par l’ennui par d’autres ; le résultat est donc mitigé. Avec tout le respect qu’on doit à ce réalisateur et à ce qu’il a accomplit, on ne peut pas dire que cela déborde de passion pour qui le découvre.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de gêner ceux qui prennent des photos !

  • Anaconda 3 : L’héritier

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    M. Murdoch (John Rhys-Davies) sait désormais que l’argent n’achète pas tout et notamment une bonne santé. Ce milliardaire a investi des sommes colossales au sein de Wexel Hall, un centre de recherches médicales mais s’impatiente à propos des résultats. Un sérum a été mis au point ; un produit miracle qui révolutionnerait le monde mais qui fait actuellement l’objet de tests sur un anaconda. Ce dernier n’était qu’un anaconda comme les autres or depuis les tests qu’on lui a fait subir, il s’est mué en un serpent gigantesque à la puissance colossale. Les problèmes débutent quand ce serpent réussit à s’échapper, la priorité est désormais de le capturer mais comment faire face à ce prédateur aux facultés décuplées ?

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    Quelle surprise de voir débarquer un 3ème épisode avec nul autre que David "Baywatch" Hasselhoff en tête d’affiche. Les mauvaises langues diront qu’on tient là un pur nanar et je dois dire que ce sera bien difficile de les contredire après avoir subi Anaconda 3 : L’héritier. Un super méchant serpent mutant de surcroit se promène dans la nature et une troupe de Rambo du dimanche se lance à sa poursuite ; c’est excitant n’est ce pas ? A noter que par rapport aux épisodes précédents les scènes beaucoup plus violentes avec têtes arrachées et corps mutilés mais le pire ça reste tout de même de subir ce film. Ce qui est inquiétant c’est qu’on commence à prendre du plaisir à voir une telle daube et qu’on se rassure, l’aventure continue avec un 4ème volet !!

  • Bienvenue parmi nous

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    Les journées passent et se ressemblent pour notre pote Paul Taillandier (Patrick Chesnais) ; il est totalement lassé par la vie et songe à mettre fin à ses jours. Sa femme Alice (Miou-Miou) et l’ensemble de sa famille sont pourtant à ses cotés pour essayer de le soutenir mais ce peintre décide soudainement de tout quitter. Roulant sans trop savoir quelle sera sa destination, il va alors croiser le chemin de Marylou (Jeanne Lambert), une adolescente chassée de son foyer par un beau-père violent et une mère qui feint l’indifférence. Taillandier décide alors de la prendre sous son aile pendant quelques jours, il loue une maison près de la mer où ils vont pouvoir tous deux se poser et apprendre à se connaitre l’un l’autre.

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    Si on imagine aisément notre cher Patrick Chesnais dans la peau de ce vieux grincheux dépressif, très vite on sent que le film ne sonne pas très juste. Un sentiment qui ne fait que se confirmer avec l’apparition de la jeune Jeanne Lambert qui à vouloir faire preuve de spontanéité joue trop souvent avec excès. Agaçant également cette galerie de personnages antipathiques composée du réceptionniste de l’hôtel, la femme de l’agence immobilière et le serveur à se demander si Becker n’a pas voulu réaliser une comédie. Bienvenue parmi nous ne lésine donc pas dans la caricature ajouté au jeu des comédiens qui est loin d’être au diapason, on aura surtout envie de faire rapidement ses adieux au film !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les jeunes peuvent manger autre chose que des hamburgers !

  • 80 jours

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    Un coup de téléphone leur a annoncé la dramatique nouvelle : Mikel (Pedro Arnaez Oñatibia) a eu un accident de la route et est tombé dans le coma depuis maintenant 2 semaines. Lorsqu’elle apprend cela, Axun (Itziar Aizpuru) appelle immédiatement sa fille Josune (Ane Gabarain) qui refuse catégoriquement de rendre visite à celui qui, pendant un temps, fut son compagnon. Même si elle ne connaissait que très peu son gendre, Axun souhaite aller le voir à l’hôpital et le destin va alors lui permettre de croiser la route de Maïté (Mariasun Pagoaga), une pote d’enfance qu’elle n’a pas revu depuis au moins 50 ans ! Liées par une vraie complicité, leurs relations ont également dépassées le stade de la simple amitié.

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    Faut-il y trouver un lien de cause à effet, toujours est-il que ce film dont les héros sont des personnes âgées se dote d’une réalisation assez terne. Le duo composé par Itziar Aizpuru & Mariasun Pagoaga n’a lui non plus pas les atouts nécessaires pour passionner les spectateurs si bien qu’on se croirait catapulté devant un téléfilm peu reluisant. Il y a bien un moment où 80 jours se permet un flash-back qui aurait permis d’apporter un peu plus de vitalité à l’ensemble mais cela ne durera que le temps de quelques secondes. On saluera juste le mérite du film de s’intéresser à un sujet peu évident à savoir les relations amoureuses de la population senior.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à ouvrir les couvercles, votre femme ne sera pas toujours là !

  • Trafic mortel

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    Vous ne pouvez pas le manquer, Jack Robideaux (Jean-Claude Van Damme) est facile à repérer puisqu’il est toujours accompagné de son pote Jack … un lapin ! Ce flic vient de débarquer à Columbus au Nouveau-Mexique pour intégrer l’effectif de la Police des frontières et son arrivée n’est pas passé inaperçu. Après une première baston dans le bar de Doris pour faire connaissance avec les locaux il va rapidement se mettre au boulot pour démanteler un important réseau de drogue. Une longue bataille qui ne laisse pas Jack indifférent car son arrivée n’est pas le fruit du hasard ; il a des comptes à régler !

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    Jean-Claude Van Damme et un lapin c’est un duo atypique et c’est bien la seule chose qu’on a envie de retenir de Trafic mortel, un film aussi excitant qu’un concours de l’Eurovision. J’exagère un  peu car il y a tout de même un peu d’action comme la poursuite de ce bus avec à son bord des religieux et qui va se transformer en machine de guerre ou encore la baston dans la prison mexicaine. Hormis cela, le scénario est d’une profonde banalité à l’image de la performance de l’acteur belge qui distribue son quota de pains. Pour conclure ; une réalisation pauvre et pas grand-chose à se mettre sous la dent et à moins de vouloir compléter une biographie sur Van Damme, on se dispensera aisément de ce film.

  • Les sorties du 20 Juin

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    François Hollande n’était pas encore officiellement intronisé Président qu’un hommage particulier était déjà rendu par The dictator. Derrière le déguisement, vous aurez sans doute reconnu l’imprévisible Sacha Baron Cohen qui avait déjà crée la sensation avec Borat ou encore Brüno

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  • Marley

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    Robert Nesta Marley a vu le jour le 6 Février 1945 à Nine Miles en Jamaïque. Né d’un père blanc qu’il connaitra peu, cette particularité va pendant longtemps le hanter puisque cela lui causera de nombreuses brimades de la part des autres. Il se réfugiera ensuite dans sa passion : la musique. Il tente d’abord l’aventure en solo mais c’est en compagnie des Wailers que Bob Marley va construire sa carrière et surtout une renommée partout à travers le monde. No woman No cry, Get up stand up, Could you be loved ou  I shoot the sheriff sont aujourd’hui devenus des classiques; comment cet homme qui a connu la misère dans les bidonvilles de Trenchtown est-il devenu l’émissaire de la paix et une icône en Jamaïque ?

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    Véritable légende à travers le monde, Bob Marley est et restera immortel en Jamaïque, un pays natal qui l’a pourtant longtemps rejeté. Loin d’être amateur dans le genre, Kevin Macdonald nous offre un documentaire pour le moins exhaustif sur la vie et la carrière de cet apôtre du Rastafarisme. On découvre notamment les difficultés auxquelles il a du faire face parce qu’il était né métis d’un père blanc. Images d’archive, témoignages de proches et bien entendu quelques extraits de ses plus grands succès viennent rythmer Marley, une œuvre incontournable pour tous fans qui se respecte et qui vous permettra de découvrir le sens caché de certaines de ses chansons. Pour les autres, il y a quelques longueurs mais on retiendra surtout qu’il fut un artiste et un artisan de la paix trop vite disparu.

     

    Il faut le voir pour : Se réécouter l’intégrale de Marley !

  • Trishna

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    Notre pote Trishna (Freida Pinto) travaille beaucoup pour aider sa famille et c’est à l’occasion d’une soirée dans un hôtel qu’elle rencontre pour la première fois Jay (Riz Ahmed). Ce dernier tombe sous le charme de la jeune femme et quelques jours plus tard il décide de venir aux nouvelles d’autant qu’elle a eu récemment un terrible accident de la route avec son père la laissant avec un bras dans le plâtre. Pour l’aider à subvenir aux besoins de la famille, elle se voit proposer un poste dans un hôtel à Jaipur, établissement détenu par le père de Jay. Même si quitter son foyer ne l’enchante pas réellement, elle n’a pas d’autres choix et puis elle pourra toujours compter sur le soutien de son bienfaiteur avec qui elle va vivre une histoire mouvementée.

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    Le pays des éléphants continue d’inspirer les cinéastes puisqu’après l’Indian palace de John Madden, c’est maintenant Michael Winterbottom qui nous fait profiter des charmes de l’Inde. Il y a aussi la belle Freida Pinto qui reste toujours un plaisir pour les yeux mais cette héroïne manque de caractère. Il n’y a que l’évolution du personnage de Jay qui donne un peu d’intérêt et qui permet d’éclaircir une scène clé du film. Trishna c’est donc le récit d’une relation complexe où se mêlent passion, violence, déception mais aussi l’espoir d’une vie nouvelle. A défaut de réellement nous passionner, il vous donnera au moins l’occasion de découvrir de jolis paysages

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre femme si elle se sent plutôt servante, célibataire ou courtisane (et attention à la claque à venir).