Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • Le cochon de Gaza

    aff.jpg

    Notre pote Jafaar (Sasson Gabai) vit avec sa femme Fatima (Baya Belal) à Gaza où le conflit Israélo-palestinien rythme leur quotidien. D’ailleurs, des soldats israéliens se sont même installés au-dessus de leur maison. Pour gagner sa vie, Jafaar sort chaque jour avec son bateau de pêche mais les prises sont minces et il récupère davantage de détritus que de poissons à vendre. Un jour cependant il attrape dans ses filets une chose incroyable : un cochon vietnamien ! Comment cet animal impur a-t-il pu croiser son chemin ? C’est certainement un châtiment de Dieu toujours est-il que ce cochon va lui permettre de gagner un peu d’argent. Il réussit à trouver en effet du coté de l’Israël une personne intéressée par cet animal mais plus particulièrement … par son sperme !

    01.jpg

    Les années passent et le conflit Israélo-palestinien n’en finit plus de durer et l’espoir d’une trêve ressemble de plus en plus à une chimère. On a donc bien besoin que le cinéma continue de dénoncer les aberrations de cette guerre et quoi de mieux qu’une comédie comme Le cochon de Gaza pour détendre l’atmosphère. Sylvain Estibal se lance dans la réalisation après avoir inspiré le film Le dernier vol avec son roman, un premier essai plutôt réussi puisque malgré le sujet sensible le spectateur a droit à quelques délicieux moments de rires. Si on ne peut pas crier au génie, on sortira largement satisfait de cette jolie fable avec l’espoir qu’un jour une paix pourra être célébré entre ces peuples.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de ramener un cochon la prochaine fois que vous irez à la pêche.

  • L’Apollonide - Souvenirs de la maison close

    aff.jpg

    Nous sommes aux prémices du XXème siècle. L’Apollonide est une maison close dirigée par une main de fer par Madame Marie-France (Noémie Lvovsky). Du sourire et du plaisir voilà ce que l’on peut trouver dans cet établissement, ces jeunes femmes sont là pour assouvir toutes les envies même celle qui paraissent insensées. Notre pote Madeleine (Alice Barnole) en a d’ailleurs fait l’amère expérience puisqu’il y a quelques mois, elle a été retrouvée attaché à un lit avec le visage défiguré. Depuis ce drame, elle est restée aux services de Madame et est devenue l’intendante de l’Apollonide qui accueille par ailleurs l’arrivée d’une nouvelle charmeuse en la personne de Pauline (Iliana Zabeth).

    01.jpg

    Et si les maisons closes faisaient leur retour dans notre société ? L’idée avait été évoquée il n’y a encore pas si longtemps au sein de notre précieux gouvernement et au vu de la conclusion de film de Bertrand Bonello, il semble que cette proposition continue de faire son chemin. Que dire de L’Apollonide - Souvenirs de la maison close si ce n’est qu’on a droit à un emballage vraiment séduisant mais que son contenu est bien creux ! Le seul intérêt du film réside dans le personnage de Madeleine (soit 20% du film) pour le reste ça n’est qu’artifices malgré les charmes conjugués de toutes ces demoiselles. A vouloir décrire cet univers suffocant dont ces femmes sont prisonnières, il étouffe le spectateur par l’ennui.

     

    Il faut le voir pour : Faire connaissance avec la femme du Joker !

  • Magic baskets

    aff.jpg

    Calvin Cambridge (Lil’Bow Wow) et ses 2 potes d’enfance Reg & Murph (Brenda Song & Jonathan Lipnicki) sont orphelins et rêvent du jour où ils trouveront une famille d’adoption. Une nouvelle visite de parents a lieu aujourd’hui mais une fois de plus c’est la déception cependant Calvin va avoir une agréable surprise : parmi les objets offerts à l’orphelinat, il tombe sur une paire de baskets qui auraient appartenus à Michael Jordan. Il n’est pas au bout de ses surprises puisqu’il va se rendre compte que ces chaussures ont des pouvoirs et lui permettent de jouer comme un véritable pro. Repéré lors d’un match des Los Angeles Knights, il va intégrer l’équipe et devenir la nouvelle révélation de la NBA.

    01.jpg

    Attention, film interdit aux plus de 12 ans à moins d’être un fan inconditionnel de basket-ball et de la célèbre ligue NBA. Si les jeunes filles se délectent avec l’histoire de Cendrillon, les garçons trouveront leur bonheur avec Magic baskets nettement moins glamour. On pardonnera alors peut-être plus facilement ce scénario quand même très naïf qui nous permet néanmoins de voir les stars de l’époque qu’étaient David Robinson, Allen Iverson ou encore Gary Payton. N’oublions pas non plus le jeune rappeur Lil’Bow Wow qui lance sa carrière de comédien avec cette comédie qui ne fera pas date.

     

    En savoir plus sur Magic Baskets 2 ?


    Découvre le film Dans la peau du héros !

  • Shark 3D

    aff1.jpg

    Étudiant en médecine, Nick (Dustin Milligan) est en pleine révision pour ses prochains examens mais voilà que Malik (Sinqua Walls) vient l’inviter à un week-end de fête chez la belle Sara (Sara Paxton). Impossible de refuser une telle invitation et voilà donc tous nos potes d’enfance prêt à s’éclater ; ils ont une superbe maison au bord d’un lac à disposition et une belle provision d’alcool, le programme s’annonce chaud. Malheureusement, ils vont vite déchanter lorsqu’au cours d’une séance de jet-ski, Malik perd malencontreusement une partie de son bras. On a d’abord mis ça sur le dos de Nick mais ils apprendront assez vite qu’il a en fait été victime d’un requin mais les surprises ne s’arrêtent pas là puisqu’il y en aurait plus d’un dans ces eaux !

    cinéma, film, épouvante, horreur, shark 3d, Sara Paxton, Dustin Milligan, Katharine McPhee, Donal Logue, Chris Carmack, Damon Lipari, Chris Zylka, Sinqua Walls, Alyssa Diaz, Joel David Moore, David R. Ellis

    Toute ressemblance dans le titre avec un certain Piranhas 3D n’est certainement pas fortuite ! Inutile d’être un grand génie pour comprendre que ce Shark 3D essaye de profiter du film d’Alexandre Aja pour faire son beurre. On comprend vite que le budget alloué à ce film a été considérablement réduit, ici pas de Spring break mais seulement 7 hors-d’œuvre pour des requins dont la réputation de mangeurs d’hommes n’est pas prête de changer. Si on ne s’attendait pas à vivre un grand moment de cinéma, on pouvait au moins espérer un peu de fun de ce film mais là aussi c’est la déception totale ! Pas de flots de sang, aucun corps déchiqueté, à peine peut-on se consoler d’un minable bras arraché et c’est franchement frustrant bref ça ne donne vraiment pas envie de se jeter à l’eau !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que même les requins font de la télé-réalité !

  • My name is Khan

    Bonjour,

    aff.jpg

     

    01.jpgJe m'appelle Rizwan Khan (Shah Rukh Khan), je suis atteint du syndrome d'asperger mais ça ne fait pas de moi un fou ne vous inquiétez pas. Il y a des choses que j'ai du mal à comprendre c’est tout.

     

    Je suis arrivé à San Francisco après la mort d’Ammi. Ammi voulais que j'ai une vie heureuse et j'y suis arrivé quand j'ai épousé Mandira (Kajol Mukherjee-Devgan). Ammi me disait toujours que dans la vie il y a les hommes bons et les hommes mauvais ; je sais que Mandira est une bonne personne pour moi.

     

    02.jpgNous étions heureux avec le petit Sameer (Yuvaan Makaar), c'est mon fils et il adore le football. Et puis il y a eu le 11 septembre qui a tout changé. Mandira ne veut plus que je rentre à la maison, elle veut que j'aille voir le président et que je lui dise ceci : mon nom est Khan et je ne suis pas un terroriste.

     

     

    En savoir plus sur My name is Khan ?