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  • Le merveilleux magasin de M.Magorium

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    Le magasin de jouets de M. Magorium (Dustin Hoffman) n’a l’air de rien au premier abord et pourtant il est rempli de magie ! Il n’y a qu’à voir tous les enfants qui s’amusent pour constater la bonne humeur qui y règne. Cela fait quelques années que la jeune Molly Mahoney (Natalie Portman) y travaille et qu’elle s’est laissée entrainé dans cette magnifique aventure. Celle qui fut un grand espoir en tant que joueuse de piano a d’autres ambitions et voudrait arrêter son activité de vendeuse. Pendant ce temps, M.Magorium a pris une décision importante, il veut se retirer et confier son magasin à sa protégée mais ce départ n’est acceptée ni par les jouets qui l’entourent ni par Mahoney.

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    Qui n’a jamais rêvé d’être entouré de jouets durant sa plus tendre enfance. Si ce genre de souvenirs vous fait replonger trop d’années en arrière, c’est que ce film n’est vraiment pas fait pour vous ! Plongée dans un univers magique où les jouets prennent vie, Le merveilleux magasin de M.Magorium est un film assez léger qui ne devraient ravir que les enfants et encore. Devant ce personnage haut en couleurs, on pense immédiatement à Charlie et la chocolaterie mais la comparaison s’arrête là. Là où Burton nous transportait littéralement dans son monde ; le réalisateur Zach Helm, qui signe son premier film, peine à nous faire décoller avec un Dustin Hoffman bien grimé mais que l’on attendait plus extraverti.

     

    Il faut le voir pour : Commencer une collection de chapeaux.

  • La fabrique des sentiments

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    A bientôt 37 ans, Eloïse Hautier (Elsa Zylberstein) a une belle carrière qui s’ouvre devant elle ; si tout se passe bien elle deviendra prochainement notaire. Point de vue professionnel, c’est donc le grand bonheur mais on ne peut pas en dire autant de sa vie privée. Alors qu’autour d’elle les couples se forment, les familles se créent ou s’agrandissent ; notre pote n’a pas encore trouvé l’homme idéal. Lassé de son statut de célibataire, elle s’est décidée à sauter le pas et de s’inscrire à une soirée de Speed dating. Grand bien lui en a pris puisque c’est à cette occasion qu’elle rencontre Jean-Luc (Bruno Putzulu), bel avocat qui a tout du futur mari mais Eloïse sait que sa vie n’est pas aussi simple.

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    Le bonheur, concept ou réalité ? Comment dans son fonctionnement la société nous façonne selon ses propres règles de sorte que nous essayons tous de reproduire un même modèle social. Voilà en gros ce que vous propose La fabrique des sentiments où l’on suit le portrait d’une jeune femme indépendante perdue dans le labyrinthe de l’amour. Si Elsa Zylberstein est aussi charmante que convaincante on se lasse vite de son existence tortueuse. Si vous avez déjà le moral dans les chaussettes à cause de votre solitude fuyez vite car ce film risque de vous mettre plus bas que terre.

     

    Il faut le voir pour : Vite vous chercher quelqu’un pour ne pas finir seul(e).

  • P.S : I love you

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    Ils formaient un couple parfait. Oui, tout le monde vous dira que Holly & Gerry (Hilary Swank & Gérard Butler) étaient faits l’un pour l’autre et qu’ils partageaient un amour fou. Un grand bonheur leur tendait les bras mais Gerry a été emporté par une foudroyante tumeur et Holly est tombée de désespoir. Lors de son 20ème anniversaire, elle reçoit un cadeau pour le moins atypique puisqu’il provient de Gerry. Avant de mourir, ce dernier avait pris le soin d’organiser une petite surprise pour celle qu’il a toujours aimé. Sous la forme de lettres, il va la convier à un dernier voyage rempli de souvenirs.

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    Laissez donc le pop-corn au comptoir et préparez plutôt vos paquets de mouchoirs pour cette belle comédie romantico-dramatique. P.S : I love you a tout pour plaire, une histoire magnifique, de beaux comédiens et surtout beaucoup d’amour qui fera craquer les plus sensibles d’entre vous. On aurait pu croire que le film verserait davantage dans le tragique pour nous tirer les larmes des yeux mais on se surprend à rire énormément. C’était sans doute le film idéal pour fêter la récente Saint-Valentin. Un film que toutes vos petites amies voudront voir et peut-être que certains mecs laisseront couler une larme en tout cas…snif….snif ça marchera pas avec moi ! Bon, sur ce faut que je retourne voir John Rambo.

     

    Il faut le voir pour : Prendre vos précautions quand vous allez chanter au karaoké.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

     

  • Les liens du sang

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    Déjà pendant son adolescence, notre pote Gabriel (François Cluzet) s’introduisait par effraction dans les maisons. Pas étonnant que quelques dizaines d’années plus tard on le retrouve flanqué en prison après avoir été reconnu coupable d’un homicide volontaire. Un sujet délicat dans sa famille d’autant plus que son jeune frère François (Guillaume Canet) est devenu policier. Pour l’heure, les tracas resteront de coté car Gabriel a droit à une perm’ et s’il réussit à trouver du boulot, il pourrait même retrouver sa liberté. Après avoir fêté dignement ses retrouvailles, il reprend le cours d’une vie ordinaire mais peu à peu ses vieux démons ressurgissent.

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    2 frères, 2 destins tragiquement opposés. Adaptation de la biographie Deux frères flic et truand des frères Papet ; pour apprécier Les liens du sang, il faut déjà aimer l’ambiance des années 1970-80. Une époque qui marque le début du grand banditisme français avec notamment l’évocation discrète de l’affaire Mesrine (bientôt au cinéma) et dans un contexte où les médias se régalent de ce genre de fait-divers. Après l’énorme succès de Ne le dis à personne, Canet & Cluzet se retrouvent cette fois devant les caméras pour un policier assez banal. Pas le film du moment mais ça se laisse voir.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais piquer la femme d’un prisonnier.

  • Brave Story

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    C’est tout son monde qui s’écroule pour le jeune Wataru Mitsuya. Non seulement il vient d’apprendre que ses parents se séparaient mais en plus de cela, il a retrouvé sa mère inanimée dans la cuisine. Peu de temps avant ces évènements, il s’était aventuré dans un bâtiment abandonné en attente de démolition et c’est là qu’il a fait la rencontre de Mitsuru. Ce dernier n’est pas un garçon comme les autres, il possède d’étranges pouvoirs ! Par ailleurs, il lui apprend l’existence d’un passage vers un autre monde, celui de Vision, univers magique où Wataru pourrait voir s’exaucer son vœu le plus cher. Décidé à guérir sa mère, notre héros se lance des de folles aventures qu’il n’est pas prêt d’oublier.

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    Nouvelle production issue des studios Gonzo, Brave Story est avant tout un roman Japonais de Miyuki Miyabe qui a également connu une adaptation en manga. On retrouve dans ce dessin animé tous les éléments caractéristiques d’un Role Playing Game avec évidemment le héros principal mais également son évolution, ses compagnons, des armes et le tout saupoudré d’un peu de magie. Les dessins simplistes mais soignés se mêlent à des effets numériques utilisés avec parcimonie et fait de ce film d’animation un bon divertissement à réserver toutefois aux plus jeunes spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Accepter le fait que la vie est faite de joies et de tristesses.

  • Une blonde d'enfer

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    Tous les garçons attendaient ça depuis des lustres, 1 an précisément qu’il prépare cette soirée. Oui, ce samedi soir à la Walden Academy, un campus pour garçons ils vont enfin voir la plus grande danseuse, la superbe Alice (Monet Mazur). Malgré le risque de se faire pincer, même le très sérieux James (Julian Morris) s’est joint à ses potes d’enfance pour cette nuit qui promet d’être inoubliable ! D’ailleurs, lui ne risque pas de l’oublier puisqu’il a eu la chance d’échanger un baiser avec la belle mais s’aperçoit surtout le lendemain qu’elle lui a subtilisé sa montre, une montre qu’il gardait en souvenir de son père.

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    Ça a le gout de la comédie américaine, ça ressemble à de la comédie américaine et ho quelle surprise c’est une comédie américaine ! Une blonde d'enfer est un film que vous oublierez aussi vite que vous l’avez vu tellement il n’apporte rien et ne fait preuve d’aucune originalité. L’histoire est tellement téléphonée qu’on en vient à se demander si la production a eu besoin d’engager des scénaristes et si c’est effectivement le cas, ça doit s’apparenter aux emplois fictifs de la mairie de Paris. Pas grand-chose donc à retenir de ce sous-produit qui est d’ailleurs directement sorti en DVD et à moins de vous ennuyer profondément, vous ne le verrez surement jamais.

  • Riper & Ginger - Mais qui a tué Pamela Rose ?

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    Riper : Vous êtes belle du visage...
    Ginger : J'aimerais tellement pouvoir vous dire la même chose.

  • John Rambo

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    La situation en Birmanie est des plus désastreuses. Un groupe de volontaires se sont engagés à venir en aide à populations martyrisées en leur apportant le soutien de Dieu mais pour rejoindre les terres birmanes, il leur faut un bateau. C’est à ce moment qu’ils ont entendu parler de cet homme John (Sylvester Stallone), un solitaire gagnant sa vie à capturer des serpents. Malgré des premières réticences, il accepte de les conduire sur place et quelques jours plus tard, il apprend qu’ils ont été capturés. Une mission de sauvetage est alors organisée par le pasteur de leur église ; une équipe de mercenaires embarque avec John, John Rambo !

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    Après les adieux émouvants de Rocky Balboa, voici le retour de Rambo que l’on espérait plus. A la fois scénariste, réalisateur & acteur, Sylvester Stallone à l’approche de son 62ème anniversaire prouve qu’il a encore de l’énergie à revendre. Pas de temps mort, pas de philosophie à 2 balles, beaucoup d’action et une violence inouïe (il n’y a qu’à voir les corps se déchiqueter sous les impacts des balles et/ou des explosions); John Rambo est un pur amusement réservé aux fans du genre. Evidemment, on est très loin du bijou artistique mais je revendique avoir savouré ses dernières (?) aventures avec un grand plaisir. Un film pour les hommes, les vrais !

     

    Il faut le voir pour : Se retrouver entre mecs.

  • Assaut sur le Central 13

     

        

    Jake Roenick (Ethan Hawke) est un flic mais sa vie ne va pas prendre la tournure qu’il s’était imaginé. Au cours d’une opération d’infiltration en compagnie de plusieurs collègues, un échange de coups de feu blessent mortellement les policiers à l’exception de Jake. Ce dernier était le chef des opération, il ne se pardonnera jamais cette tragédie. 8 mois plus tard alors que la neige a envahi Detroit, Jake travaille toujours au sein du central 13 où il se cantonne aux affaires de bureau. Ce poste de police va prochainement etre fermé et ceux qui restent seront mutés, en cette période de fin d’année les festivités vont bont train. Seulement, personne n’avait prévu l’arrivée de Marion Bishop (Laurence Fishburne), dangereux criminel.

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    Il n’en a pas l’air comme ça mais Assaut sur le central 13 avec son casting 100% US est un film dont le réalisateur est français ! Si le nom de Jean-François Richet ne vous dit rien, peut-être connaîtrait davantage le film Ma 6-T va crack-er qui l’a fait connaître du grand public. Pour son arrivée à Hollywood, il signe un remake de l’œuvre de John Carpenter sorti chez nous sous le titre d’Assaut. Film d’action musclé, il réunit tous les ingrédients nécessaires avec le héros, des fusillades bref tout ce qu’on aime mais ce qu’on apprécie également c’est le sort réservé à certains personnages. Très bon film à découvrir si ce n’est pas encore fait.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros

  • Cloverfield

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    Tout le monde s’est réuni pour faire la fête ; leur pote d’enfance Rob Hawkins (Michael Stahl-David) est sur le point de devenir vice-président de sa boite et de partir vivre au Japon. C’est donc une soirée d’adieu qui s’organise actuellement mais elle va tourner court car Manhattan va voir une page de son histoire s’écrire. Cela avait commencé par une brève panne de courant suivi de tremblements puis une énorme explosion propulsant des gravats au pied de l’immeuble. Les choses se gâtent, la statue de la liberté perd la tête et tout New-York est témoin d’un évènement sans précédent : une chose, une sorte de monstre gigantesque est en train de ravager la ville. Il faut absolument s’enfuir mais le premier objectif pour tous sera de survivre !

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    Après une bande-annonce assez alléchante et qui a crée un véritable buzz autour de cette sortie mystérieuse ; Cloverfield dévoile enfin ses secrets. A la manière d’un Projet Blairwitch, c’est caméra au poing que vous allez suivre l’action plus ou moins trépidante de Rob et ses potes d’enfance. Début franchement somnolent où on a droit à la présentation des futures victimes, l’action s’emballe enfin avec explosions à la clé et des brèves scènes qui rappellent les images désastreusement réelles du 11 Septembre. Le film mise entièrement sur le mystère qui entoure l’intrigue et c’est vrai qu’il faut bien ça pour camoufler un ensemble creux où se perdent une dizaine de minutes d’action pure.

     

    Il faut le voir : Apprendre qu’il vaut mieux fuir que d’aller sauver sa copine.

     

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