Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

japon

  • La colline aux coquelicots

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Chaque matin c’est le même rituel pour notre pote Umi ; elle est la première à se lever, sort pour hisser les pavillons et s’empresse de préparer le petit-déjeuner pour l’ensemble des locataires de la pension. Après ça, elle se rend au lycée où elle va être le témoin privilégié d’un bien curieux spectacle. Afin de manifester leur opposition à la démolition de leur foyer, les garçons ont décidé de marquer les esprits et c’est Shun qui a assuré le show en procédant au saut traditionnel de l’école. Umi n’a pas manqué cet exploit et ce jeune homme ne la laisse pas indifférente, sentiment qui semble réciproque. Alors qu'ils se retroussent les manches pour tenter de sauver le Quartier latin, Shun va découvrir un incroyable secret sur son passé et qui va remettre en cause ses relations avec Umi.

    01.jpg
    Les contes de Terremer avaient témoigné de l’envie de Goro Miyazaki de succéder à son père et de faire les beaux jours des studios Ghibli. C’est une nouvelle adaptation d’un manga publié au Japon au début des années 1980 et, sans surprises, on retrouve un film d’animation de qualité avec un scénario qui sent bon la nostalgie. Contrairement aux précédentes productions des studios nippons, La colline aux coquelicots fait apparaître une histoire bien plus terre-à-terre. La seule fantaisie dont il fait preuve c'est cet incroyable foyer d'étudiants où chaque recoin réserve son lot de surprises. Sans atteindre le rang de chef-d'oeuvre, on passe toutefois un agréable moment que l'on soit petit ou grand !


    Il faut le voir pour : Ne jamais s'inscrire au club de Philosophie !

  • Summer Wars

    aff.jpg

    Notre pote Kenji est sur un petit nuage ; il a été invité par la belle Natsuki dont il est secrètement amoureux à passer quelques jours dans sa famille. C'est dans la province  d'Ueda que se rendent les deux jeunes étudiants afin de célébrer le 90ème anniversaire de l'arrière grand-mère de Natsuki. Alors que Kenji doit s'appliquer à se faire passer pour le fiancé modèle, un évènement secoue le monde : Oz un univers virtuel extrêmement populaire a été piraté et il semblerait que Kenji y soit pour quelque chose. Les comptes de millions d'utilisateurs ont été infiltrés et le plus inquiétant c'est que cela a des répercussions au-delà du monde virtuel.

    01.jpg

    Encore méconnu, les studios Madhouse ne vont certainement pas tarder à être aussi populaire que Ghibli. Après La traversée du temps, c'est cette fois dans un univers virtuel que nous sommes transportés aux bons soins de Mamoru Hosoda. L'occasion de voir défiler des milliers d'avatars hauts en couleur dans un univers très familier aux otakus et autres geeks mais Summer Wars a l'intelligence de ne pas se borner à ce monde si particulier. En toile de fonds donc on assiste à une touchante réunion familiale qui vient rappeler l'importance des liens que l'on tisse quotidiennement. Un film d'animation d'une beauté renversante mais qui aura plus de résonnance auprès des adolescents et jeunes adultes qu'auprès des enfants.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à jouer au Hanafuda.

  • Panda petit panda

    aff.jpg

    C’est avec quelques remords que sa grand-mère a pris le train mais Mimiko est bien assez grande pour s’occuper d’elle-même ! Après avoir fait les courses, elle rentre à la maison où l’attend une drôle de surprise ; devant la porte se trouve un petit panda. Au départ, elle pensait qu’il s’agissait d’une simple peluche aussi était elle surprise de constater qu’il s’agissait d’un vrai panda qui s’appelle Pandy. A peine le temps de faire connaissance que Papa panda arrive à son tour et il est si immense qu’il en a même cassé la chaise. Mimiko, Pandy et son père vont vivre ensemble de belles aventures et vont même faire la rencontre de Tigry et des autres animaux du cirque !

    01.jpg

    Comme dit l’adage populaire, mieux vaut tard que jamais surtout quand il s’agit de voir un film du  grand duo Isao Takahata / Hayao Miyazaki. Si Panda petit panda arrive seulement aujourd’hui dans nos salles, cette œuvre date en fait du début des années 1970 avant même que ne soient crées les célèbres Studios Ghibli. Cela explique un dessin et une animation assez élémentaires par rapport à la production actuelle ce qui ne devrait toutefois pas gêner le jeune public. Ce sont 2 histoires qui s’offrent à nous avec plein d’animaux qui vont régaler les petits tandis que les plus grands s’amuseront à retrouver les esquisses des futures œuvres Mon voisin Totoro ou Ponyo sur la falaise.

     

    Il faut le voir pour : Faire le poirier quand vous êtes contents !

  • Ken 1 – L’ère de Raoh

    ee18bcaea9453b05536f663f2af828b2.jpg

    Après une succession de guerres, la Terre n’est plus que désolation et seuls les plus puissants survivent. Le seigneur Souther a établi son règne de terreur et ceux qui osent se dresser contre lui connaitront la mort ! Notre pote Ken est l’héritier de l’école du Hokuto et il est le premier à venir en aide à tous ceux qui sont persécutés par les hommes du tyran, il est destiné à sauver l’humanité. Pendant ce temps, son frère Raoh a également soif de pouvoir ; la puissance de son armée grandit jour après jour et celui qui se fait appeler Ken’oh sait que pour vaincre Souther il doit encore découvrir son secret.

    5d3d16ba49c502235e83680f6d95d602.jpg

    ˝Ken, survivant de l’enfer ; Ken souvent croise le fer˝. Les fans du dessin animé connaissent ce refrain par cœur et ils seront les premiers à se précipiter dans les salles pour revoir les héros de leur enfance. A l’époque Ken, le survivant était surtout connu pour la profusion de scènes violentes qui ont contribué à donner mauvaise presse à l’animation japonaise. Soyez rassurés, à ce niveau là Ken 1 – L’ère de Raoh n’a rien perdu de sa superbe avec sa dose d’hémoglobine et de bastons surréalistes. Pour les connaisseurs, on regrettera des dessins pas toujours soignés malgré un design assuré par Shingo Araki (Saint Seiya) et des aspects de l’histoire originale qui ont disparus. Un défaut qui devrait être corrigé avec la sortie de 2 prochains épisodes dans les 2 années qui suivent.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que sans le savoir, vous êtes déjà mort !

  • Léo, roi de la Jungle

     
    Des animaux par milliers peuplent la jungle mais il y a le roi de tous, le lion que l’on appelle Léo. Ce dernier vit d’ailleurs un moment historique, il est sur le point de devenir père et de la plus belle des manières puisqu’il attend des jumeaux. Sa compagne Laia vient de donner naissance à 2 lionceaux : Louné & Lukio. Dans un autre lieu, dans les locaux de l’Agence des Sciences & Technologies où l’on retrouve un certain Omelette. Ce dernier a en sa possession un objet de valeur appelé Pierre de lune qui pourrait garantir des réserves considérables d’énergie nécessaires pour la survie de l’homme. Pour récupérer le reste des pierres, il faut se rendre à la Montagne de la lune située à proximité de la jungle de Léo.
    f26c8e465155edd0320d87fa5c1ce5a1.jpg

    Voici enfin le vrai Roi lion qui débarque chez nous!! Oui, je parle bien de l’original et non pas de la copie éhontée proposée par Walt Disney. La sortie de ce film est surtout l’occasion de rendre hommage à Osamu Tezuka considéré à juste titre comme le père du manga (notamment Astro, le petit robot ; Blackjack…). Réalisé en 1997, il nous aura donc fallu attendre près de 8 ans avant de profiter de ce film d’animation qui aura bien du mal à tenir la comparaison avec son remake américain. Si techniquement, il n’a rien d’exceptionnel il est tout de même indispensable pour les amateurs de manga ; Léo, roi de la jungle remet les pendules à l’heure.

     
    Découvre le film Dans la peau du héros
  • Brave Story

    02099012059a927c95b2eecae06c5c01.jpg

    C’est tout son monde qui s’écroule pour le jeune Wataru Mitsuya. Non seulement il vient d’apprendre que ses parents se séparaient mais en plus de cela, il a retrouvé sa mère inanimée dans la cuisine. Peu de temps avant ces évènements, il s’était aventuré dans un bâtiment abandonné en attente de démolition et c’est là qu’il a fait la rencontre de Mitsuru. Ce dernier n’est pas un garçon comme les autres, il possède d’étranges pouvoirs ! Par ailleurs, il lui apprend l’existence d’un passage vers un autre monde, celui de Vision, univers magique où Wataru pourrait voir s’exaucer son vœu le plus cher. Décidé à guérir sa mère, notre héros se lance des de folles aventures qu’il n’est pas prêt d’oublier.

    a67ed3cadec3518ef638fc8b24e3accd.jpg

    Nouvelle production issue des studios Gonzo, Brave Story est avant tout un roman Japonais de Miyuki Miyabe qui a également connu une adaptation en manga. On retrouve dans ce dessin animé tous les éléments caractéristiques d’un Role Playing Game avec évidemment le héros principal mais également son évolution, ses compagnons, des armes et le tout saupoudré d’un peu de magie. Les dessins simplistes mais soignés se mêlent à des effets numériques utilisés avec parcimonie et fait de ce film d’animation un bon divertissement à réserver toutefois aux plus jeunes spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Accepter le fait que la vie est faite de joies et de tristesses.

  • Kamikaze Girls

    medium_aff.168.jpg

    Momoko (Kyoko Fukada) a toujours rêvé de vivre à la Cour de Versailles au XVIIIème siècle, durant cette période dite Rococo. Hélas pour notre pote, la réalité est toute autre puisqu’elle habite dans une bonne vieille cambrousse de notre époque. Passionnée de broderie, elle a décidé de donner corps à ses rêves et c’est ainsi qu’on peut l’apercevoir gambader en longue robe à travers les rizières. Bientôt, elle va faire la connaissance d’Ichigo (Anna Tsuchiya) qui disons le franchement n’adopte pas le même style !

    medium_01.142.jpg

    Un film japonais délirant à réserver avant tout aux otakus et tous les amoureux de la culture nippone. On retrouve dans Kamikaze Girls de nombreux éléments empruntés à l’univers des mangas créant ainsi un dynamisme et un humour plutôt particulier mais auquel je fus sensible. Malheureusement, le scénario est quasi inexistant si bien que le film a du mal à nous garder en haleine. Un divertissement et une curiosité pour celles et ceux qui veulent découvrir un peu plus le monde des japonais.

  • Léo, roi de la jungle

    Bonjour les humains !

     

     

    Je m’appelle Louné, je suis un petit lionceau et surtout fils de Léo, roi de la jungle. Cela ne fait pas longtemps que je suis venu au monde avec ma sœur Loukio et nous découvrons donc la vie dans cette belle faune avec tous les autres animaux.

     

    Une tranquillité qui va être vite remise en cause avec l’arrivée des hommes sur nos terres. Ils sont à la recherche d’une mystérieuse Pierre et pour cela, ils n’hésitent pas à tout détruire sur leur passage.

     

    Leur présence va venir perturber la nature et faire de nombreux dégâts, nous sommes en danger !

     

    En Résumé : Voilà le vrai Roi Lion qui arrive enfin chez nous (presque 8 ans après sa sortie au japon). Beaucoup penseront qu’il s’agit là d’une copie du film de Disney mais ignorent qu’en réalité les américains doivent tout leur succès au japonais Osamu Tezuka, le dieu du manga qui a crée ce personnage depuis 1961 ! Un scénario intéressant couplé à des dessins et une animation de qualité fait de ce film un classique.

  • Le cercle 2

     

    Bonjour,

     

    Je suis Rachel Keller (Naomi Watts), vous vous souvenez de moi ? Mais si, vous m’aviez vu dans Le cercle (The Ring) où une cassette maléfique voulait avoir ma peau et celle de mon fils Aidan (David Dorfman). Heureusement depuis, nous avons déménagé de Seattle pour nous installer à Astoria, une ville très paisible et nous allons pouvoir recommencer une autre vie. Oh mais qu’ouis-je ?

     

    Un mort vient d’être retrouvé dans la ville et vous ne devinerez jamais mais c’est encore l’œuvre de cette maudite cassette ! C’est tout de même incroyable qu’elle ait réussi à me suivre jusque-là à croire qu’il s’agit d’un scénario abracadabrantesque d’un film et désormais je vais devoir tirer cette histoire au clair car sinon je vais tout simplement mourir ! Comme dans l’épisode précédent, je suis le principal personnage et donc je tire toute la couverture sur moi mais j’aime ça.

     

    En même temps, je ne me suis pas fait ce super brushing pour que personne ne me voit alors je fais semblant d’enquêter et ça dure près d’1h30 comme ça. J’avais un peu peur avant de tourner ce film mais au final, il n’est pas si effrayant que cela avec des images assez aseptisées. Mon film vient donc de sortir en DVD et tu peux venir enquêter avec moi à la recherche du terrible secret de Samara.

     

    En résumé Servi par un scénario un peu tiré par les cheveux, une réalisation classique angoissante mais loin d'être effrayante ; ce film vous fera toutefois passer du bon temps pour peu que vous vous mettiez dans les conditions idéales. Un 3ème épisode serait déjà à l'étude même si Naomi Watts ne devrait pas être de l'aventure.