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Les tribulations d’une caissière

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C’est sûr que ce n’est pas ce qu’elle rêvait de faire lorsqu’elle était petite mais certains évènements ont conduit Solveig (Déborah François) à devenir caissière chez Parody. Avec un père dans le coma, il lui fallait absolument un boulot pour prendre soin de son petit frère Anatole (Jean-Baptiste Fonck) et c’est ainsi qu’elle est devenue caissière. Une expérience difficile mais également riche au point qu’elle a crée un blog appelé Caisse à dire qui rencontre un succès incroyable et qui est en train de mettre à mal toute la grande distribution. Tout le monde ignore que c’est Solveig qui est la rédactrice de ce blog et c’est pour la démasquer que Marie (Elsa Zylberstein), une journaliste, joue les fausses caissières.

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Comme le dit si bien le film à un moment donné ; pour une fois qu’on parle des caissières et de leurs difficiles conditions de travail, on va prêter une attention toute particulière à cette petite comédie de Pierre Rambaldi. Avec Les tribulations d’une caissière, on a droit à la radiographie d’une catégorie professionnelle souvent invisible à nos yeux ; l’occasion d’ailleurs de reconnaitre des évènements que vous avez vous-mêmes vécu. Néanmoins, le thème abordé ne réussit pas à camoufler les faiblesses de cette comédie avec un développement pour le moins classique et quelques dialogues qui sonnent creux. A voir seulement si vous avez déjà fait toutes les courses de la semaine !

 

Il faut le voir pour : Faire preuve d’un peu plus de respect envers les caissières quand vous irez faire vos courses.

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