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Les séances de 2013-2014 - Page 2

  • Scooby-doo et la folie du catch

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    C’est une merveilleuse nouvelle pour Sammy & Scooby-Doo. Ce dernier vient en effet de passer avec brio le niveau bonus du jeu de la World Wrestling Entertainment ce qui lui vaut comme récompense un joli séjour au village de la WWE et surtout la possibilité d’assister à l’évènement de l’année : Wrestlemania.  Après avoir convaincu leurs potes d’enfance Véra, Daphné & Fred ; ils arrivent au village et seront accueillis par rien moins que la star John "You can’t see me" Cena. Cependant au sein de la WWE, l’inquiétude grandit au fur et à mesure que Wrestlemania se rapproche puisqu’un ours effroyable sème la terreur depuis quelques jours. On dirait bien qu’une nouvelle enquête va commencer.

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    Dans le cadre de la 30ème édition de Wrestlemania, la WWE a décidé de faire plaisir aux jeunes fans en leur offrant ce crossover inimaginable entre les héros de Scooby-doo et les stars du catch. L’occasion ainsi de retrouver le populaire John Cena, l’intenable Sin Cara, le funky Brodus Clay tous impliqués dans une histoire totalement farfelue. Bien entendu, il ne faut pas nous prendre pour des billes, c’est surtout l’occasion de promouvoir l’évènement et d’attirer encore un peu plus les jeunes spectateurs. Scooby-doo et la folie du catch n’intéressera donc que les enfants de moins 7 ans (et encore pas tous !) qui pourront juste se montrer curieux de voir ces drôles de guest-stars.

  • Run out

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    Notre pote Michael (Paul Walker) vient d’arriver en Afrique du Sud mais il n’est pas là pour jouer les touristes. D’ailleurs, il ne devrait même pas être là puisqu’il vient de sortir de prison et brise sa conditionnelle mais il est prêt à prendre ce risque pour tenter de sauver sa relation avec Angelica (Leyla Haidarian). Alors qu’il s’apprête à la rejoindre, il se rend compte que le véhicule de location qu’on lui a attribué n’est pas celui qu’il avait demandé. Michael n’a pas le temps de faire un échange et décide donc de partir avec cette voiture mais il va avoir de drôles de surprises en trouvant tour à tour un téléphone portable, un pistolet et surtout une femme pieds et poings liés dans son coffre.

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    Petit voyage à Johannesburg en compagnie de notre pote Paul Walker, un héros qui se trouve au mauvais endroit au mauvais moment. Bon le fait que l’action se déroule en Afrique du Sud ne change pas grand-chose à l’affaire puisque ce film de Mukunda Michael Dewil se contente surtout de courses-poursuites et encore elles ne sont pas légion. Il n’y en fait que 2 grandes scènes d’action et entre les deux, on ne peut que déplorer un gros moment de vide ce qui fait tout de suite chuter l’intensité déjà pas énorme de Run out. Pour rester dans le thème du film, on dira que ça ne casse pas une roue à une bagnole !

  • Ken le survivant

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    La Terre est devenue un champ de ruines et la survie est un combat quotidien. Dans cet enfer, Lord Shin (Costas Mandylor) s’est proclamé Maitre du monde et impose sa loi, il est l’héritier de l’école d’arts martiaux de la Croix du Sud. Le peuple opprimé garde toutefois l’espoir qu’un sauveur viendra les délivrer, ils sont persuadés que celui qu’on le nomme le Chevalier de Vega ramènera un jour la paix. Un homme marche seul dans le désert, sa poitrine arbore 7 cicatrices laissées par Lord Shin qui fut auparavant son pote d’enfance mais qui lui a arraché son grand amour Julia (Isako Washio). Il s’appelle Kenshiro (Gary Daniels) et son destin est de sauver l’humanité.

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    Souvenirs, souvenirs ; Ken le survivant a marqué toute une génération de téléspectateurs que ce soit pour sa grande violence ou par ses dialogues extravagants. En 1995, le manga de Buronson & Tetsuo Hara prend soudainement vie mais ce sont les américains qui se chargent de cette adaptation en film live qui restera aussi dans nos mémoires pour ses qualités plus que douteuses. Acteurs catastrophiques, réalisation affreuse, décors dignes d’une décharge publique non vraiment c’est un beau navet. On saluera tout de même la volonté de vouloir rester fidèle à l’œuvre originale en faisant exploser les têtes ou en faisant jaillir l’hémoglobine mais c’est bien trop édulcoré pour convaincre les fans de la première heure. Un film à offrir à vos pires ennemis et encore mieux s’ils apprécient le manga !

  • Very Bad Games

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    Ils n’ont pas pu se rendre à Las Vegas et c’est finalement au Chief Loose Slots que Doug (John Livingston) va fêter son enterrement de vie de garçon en compagnie de ses potes d’enfance Bradley, Ed & Zach (Ross Nathan, Ben Begley & Herbert Russell). Ils avaient promis de rester sages mais allez savoir comment ils se sont débrouillés mais ils se sont réveillés avec une sacrée gueule de bois … ah et aussi en l’an 2213 ! Alors qu’ils émergent progressivement, ils apprennent non seulement que Doug a disparu mais aussi qu’ils font route pour le prochain tournoi des Hungover Games. Plusieurs districts se disputent la victoire et il n’y aura qu’un survivant.

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    Vous aviez demandé une nouvelle parodie ? Non et bien ce n’est pas grave car voici venir Very Bad Games à savoir un mélange entre la saga comique Very bad trip et bien entendu le phénomène Hunger Games. Bien sur, vous verrez d’autres détournements avec un Thor gay, un Ted encore plus vicieux ou encore le clan des Johnny Depp déguisés. Dans le même style, on avait déjà le Starving games du binôme Aaron Seltzer & Jason Friedberg mais cette "comédie" réussit à être encore plus désastreuse. L’humour est une superbe compilation de mauvais gout et parfois même scabreux en envahissant les scènes de sex toys, de nouveau un joli film à offrir à vos pires ennemis.

  • The starving games

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    Comme les nombreux habitants du District 12, notre pote Kantmiss Evershot (Maiara Walsh) a grave la dalle et ce n’est pas avec ce qu’elle rapporte de la chasse qu’elle va pouvoir se remplir le ventre. C’est alors qu’a lieu la 75ème édition des Starving Games où le vainqueur pourra non seulement avoir un vieux jambon mais aussi un coupon promotionnel de Subway et un cornichon déjà entamé. Lors du traditionnel tirage au sort, c’est la pauvre Petunia (Kennedy Hermansen) qui est désignée mais sa sœur Kantmiss à l’insu de son plein gré décide alors de se porter volontaire pour la remplacer. Elle sera accompagnée de Peter Malarky (Cody Christian) lui aussi volontaire mais on se pose des questions sur ses véritables motivations !

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    Qui dit succès au box-office dit aussi parodie et c’est désormais chose faite avec The starving games que l’on doit à l’inévitable duo Aaron Seltzer & Jason Friedberg. La base du film c’est évidemment Hunger games auquel s’ajoute les traditionnels gags de bas-étage qui en laisseront plus d’un sur leur faim. Bien entendu, on a aussi quelques références à d’autres blockbusters parfois de manière furtive (Le monde fantastique d’Oz) ou avec des sosies récupérées sur les trottoirs d’Hollywood Boulevard comme ces équipes d’Expendables et d’Avengers. A noter aussi des clins d’œil à Angry Bird et Fruit ninja bref on fourre vraiment tout ce qu’on veut dans ce genre de films donc attention à ce que vous regardez !

  • Vampire university

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    En 1711, notre pote Wayne Gretzky (Adam Johnson) - Non rien à voir avec le célèbre hockeyeur - est tombé amoureux de Mary (Julie Gonzalo). Leur histoire allait hélas se terminer de façon dramatique puisqu’il est peut-être nécessaire de préciser que Wayne est un vampire et n’a pu s’empêcher de croquer le cou de la jeune femme qui est morte sur le cou … le coup ! 300 ans plus tard, il n’a pas oublié cette tragédie d’autant plus que depuis tout ce temps il est devenu impuissant puisque ses dents de vampires ne poussent plus. Aujourd’hui professeur d’histoire à l’université, il va avoir un sacré choc lorsqu’il voit débarquer dans sa classe Chris Keller (Julie Gonzalo) qui est le sosie parfait de sa bien-aimée Mary.

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    Un direct-to-video à ne pas confondre avec le Vampire academy qui lui a droit à une sortie ciné le 05 Mars 2014. Qui dit université américaine dit forcément les indispensables fraternités avec les incontournables fêtes mêlant jeunes femmes frivoles et beuveries. Au milieu de tout ça, Vampire university glisse ainsi une histoire aussi passionnante que les premiers besoins de la journée. On aurait presque de la peine pour tous ces comédiens mais en même temps leur jeu est tellement mauvais qu’on est finalement heureux pour eux d’avoir pu trouver du travail. Bref, encore un film sur lequel il ne faut pas planter ses dents mais que ça ne vous empêche pas de l’offrir à vos pires ennemis !

  • Dragon Ball Z : L’offensive des cyborgs

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    Journée shopping pour Chichi qui en profite pour refaire la garde-robe de toute sa famille. Sangoku et Sangohan sont les préposés pour porter les sacs mais en ville, 2 créatures sèment la panique. Ils se dirigent droit sur nos héros et visent plus particulièrement Sangoku qui s’apprête à livrer une nouvelle bataille. Très vite, il se rend compte qu’il s’agit de nouveaux androïdes fabriqués par le Docteur Gero ou plus exactement par ses ordinateurs et ça ne va pas s’arrêter là puisqu’un 3ème adversaire se présente devant lui. Heureusement que Trunks est à ses cotés pour combattre et il pourra aussi compter sur Vegeta et Piccolo qui ne sont jamais bien loin.

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    En plein cœur de la saga Cell, voilà qu’on découvre les nouveaux androïdes du machiavélique Dr. Gero. Place donc aux numéros 13, 14 & 15 et comme dans la série animée il sera encore question de transformation via absorptions avec Dragon Ball Z : L’offensive des cyborgs. L’originalité n’étant pas vraiment le fort de ces films, la tradition est ici parfaitement respectée et on a au final un film qui sent une nouvelle fois l’exploitation à plein nez. Et puis il a beau être un génie ce Gero, il aurait quand même pu nous fabriquer un être ultime directement au lieu d’avoir toutes ces transformations. A la limite, on aurait bien aimé voir débarquer un Cell d’une ligne temporelle différente pour avaler ces cyborgs enfin bon là c’est juste le fan qui parle …

     

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  • Dragon Ball Z : Cent mille guerriers de métal

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    Notre pote Dendé a reçu un appel à l’aide en provenance de la planète Namek et c’est donc tout naturellement que Sangoku, Piccolo et toute la bande vont leur prêter main forte. A leur arrivée, ils sont subjugués par le spectacle qui s’offre devant eux ; une entité est tout simplement en train de dévorer la planète. Sur la terre ferme, les Nameks sont réduits en esclavage par des centaines de robots très coriaces mais nos héros ne sont pas au bout de leurs peines. Alors que les premiers combats débutent, Sangoku a la grande surprise de voir réapparaitre le terrible Cooler revenu à la vie grâce à cette entité qu’il nomme le Grand Gedester. Son corps a été totalement reconstruit mais surtout chaque dégât qu’il subit est immédiatement réparé ce qui le rend invincible.

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    Décidément dans  la famille de Freezer, on est coriace et comme son frère Cooler revient faire parler de lui avec un corps totalement reconstitué. Cette fois, on laisse un peu de répit à la Terre pour se rendre sur Namek et ce Dragon Ball Z : Cent mille guerriers de métal est considéré par beaucoup comme l’un des meilleurs films tirés de l’univers de Toriyama. Le combat entre Goku & Cooler est assez passionnant même si les dessins paraissent inégaux et puis on voit aussi arriver notre cher Vegeta lui aussi en mode Super Saiyajin. Pour une fois l’issue de la confrontation est plutôt originale même si la conclusion n’est pas vraiment hauteur. Il n’y a en fait que les quelques passages humoristiques avec Tortue géniale et sa clique qui viennent un peu casser le rythme mais bon ça fait aussi partie du charme de DBZ.

     

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  • Avalanche sharks

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    Le Springbreak à la plage c’est démodé mec ! Il n’y a rien de plus tendance que de faire la teuf à la montagne alors chaussez vos skis et direction Twin pines. De le poudreuse, de l’alcool et plein de nanas court-vêtues ; ça promet un beau moment de folie mais pour notre pote Wade (Alexander Mendeluk) l’inquiétude grandit. Il n’a pas de nouvelles de son petit frère  et pense qu’il lui est certainement arrivé quelque chose en faisant du hors-piste. Son intuition se révélera exacte mais il est loin de s’imaginer de la terrible menace qui se dissimule sous la neige. Ça peut paraitre invraisemblable mais des attaques de requins ont été signalées et ils n’épargneront personne !

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    La plage ça va un moment, rien ne vaut le bon air pur de la montagne et c’est donc tout naturellement qu’on voit débarquer des requins tapis dans la neige. Parce que The asylum n’a pas le monopole des bonnes idées (et ça on s’en était aperçu), voilà qu’un autre studio de production se lance dans les films de requins tueurs avec ce petit Avalanche sharks. Un film totalement barré avec des prédateurs venus de l’espace et de vieilles légendes indiennes, les scénaristes n’ont vraiment peur de rien et c’est plutôt marrant. Surtout ce sont les dialogues (du moins en version française) qui nous font plonger en plein second degré et on a ainsi de magnifiques échanges. Dans le pire, c’est le moins pire mais ça ne l’empêchera pas de faire partie de ces films à offrir à vos pires ennemis.

  • Dragon Ball Z : La revanche de Cooler

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    Alors qu’ils étaient partis pour camper, Sangoku et ses potes d’enfance sont soudainement attaqués et celui qui est derrière tout ça n’est autre que Cooler, le frère de Freezer ! Il est venu sur Terre pour anéantir une bonne fois pour toute les Saiyajins et parvient ainsi à blesser grièvement Goku. Ce dernier a besoin de soins au plus vite mais les hommes de Cooler se lancent immédiatement à sa recherche ce qui lui laisse peu de répit. Nos amis parviennent à se mettre à l’abri en cachant leurs forces mais il faut absolument récupérer des senzus. Sangohan décide alors de se rendre à la tour Karin avec l’aide du petit dragon mais il doit faire vite car à tout instant leur abri peut être découvert.

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    Après le frère jumeau de Sangoku, le cousin lointain de Piccolo ; c’est maintenant au tour de Freezer de nous présenter sa famille avec son frère Cooler. On dirait bien que les transformations sont également une tradition puisque lui aussi peut se métamorphoser mais il ne faudrait pas oublier notre Saiyajin préféré. Avec Dragon Ball Z : La revanche de Cooler on assiste en effet à la première coloration de Goku et là on ne rigole plus ! Bon d’accord, l’oeuvre de Toriyama est un bon filon mais ça se voit quand même que les éléments de la série ont été repris puisqu’il faut ici aussi attendre qu’un des potes d’enfance de notre héros meurt (ou presque) pour provoquer la transformation. Rien de fameux à l’horizon, ça nous laisse froid !

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