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emily blunt - Page 2

  • Des saumons dans le désert

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    Au début notre pote Alfred Jones (Ewan McGregor) pensait qu’il s’agissait d’une plaisanterie. Tout est parti d’un mail qu’il a reçu d’Harriet Chetwode-Talbot (Emily Blunt) lui demandant des renseignements dans le cadre d’un projet de pêche de saumon au Yémen ! Cette idée insensée va pourtant vite devenir une réalité grâce notamment au soutien du gouvernement britannique soucieux d’améliorer l’image de ses relations avec le Moyen-Orient. Il est nécessaire également de préciser qu’à l’initiative de ce projet il y a le richissime Cheikh Mohammed (Amr Waked) qui a d’ores et déjà engagé la somme de 50 millions de pounds. Alfred ne peut plus reculer et cela lui permettra d’oublier les soucis qu’il rencontre actuellement avec sa femme Mary (Rachael Stirling).

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    A la source de ce film de Lasse Hallström, on trouve le roman Partie de pêche au Yémen de Paul Torday. A moins d’être un adepte de Chasse et pêche, pas évident de mordre à l’hameçon de cette histoire à l’eau de rose saumon. On ne se passionne pas plus pour ce scénario singulier que pour des personnages transparents comme de l’eau de roche malgré un duo Blunt / McGregor assez séduisant. D’une profonde banalité, Des saumons dans le désert ne nous épargne pas en matière de guimauve à tel point que les spectateurs ont toutes les chances de s’y noyer. Il n’y a que les assoiffés de romance mielleuse qui y trouveront un certain plaisir, les autres vont vite prendre la mouche.

     

    Il faut le voir pour : Travailler votre lancer de canne à pêche, ça peut sauver des vies !

  • L’agence

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    David Norris (Matt Damon) est un politicien en devenir, il brigue le poste de sénateur de New-York mais échoue de peu à cause de son caractère parfois impulsif. Une défaite qu’il a surmontée bien aidé par sa rencontre atypique avec Elise Sellas (Emily Blunt) puisqu’ils se sont croisés dans les toilettes des hommes. Quelques temps après, David la croise de nouveau dans le bus or ces retrouvailles n’auraient jamais du avoir lieu car cela ne faisait pas parti du plan ! Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, il existe une organisation appelée L’agence qui supervise toutes nos actions et mène notre vie selon un plan défini.

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    Au début on se dit qu’il s’agit là d’un énième thriller et puis le temps d’installer son personnage principal et L’agence bascule dans le domaine de la science-fiction. Ce n’est pas peu dire qu’on est grandement déconcerté par cette intrigue improbable (un peu à la manière de The box) mais finalement avec sa petite touche d’humour, on rentre progressivement dans l’histoire. Le couple Emily Blunt / Matt Damon est plutôt quelconque et ne parvient pas à tirer vers le haut cet étrange thriller. Sans nous emballer, le premier film de George Nolfi réussit toutefois à nous distraire et puis si ça se trouve, aller le voir fait certainement partie du plan de votre vie !

     

    Il faut le voir pour : Aller vous acheter un chapeau.

  • Les voyages de Gulliver

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    Cela fait maintenant 10 ans que notre pote Lemuel Gulliver (Jack Black) travaille au service courrier du journal New York Tribune et tout se passait bien jusqu’à l’arrivée d’un assistant. En un rien de temps et avec un certain aplomb, ce dernier réussit à être nommé responsable du courrier et Gulliver voit sa fierté en prendre un sacré coup ! Décidé à aller de l’avant, il tente d’avouer enfin ses sentiments à Darcy Silverman (Amanda Peet), une collègue de bureau dont il est tombé amoureux depuis 5 ans. Hélas, une fois encore le courage lui manque et lui fait faire n’importe comme se faire passer pour un voyageur au talent journalistique caché. Voilà comment, il se retrouve en plein cœur des Triangles des Bermudes, un voyage qu’il n’est pas prêt d’oublier.

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    Sans vouloir faire de jeu de mots navrant (c’est pas le genre de la maison), il n’y a aucun doute à dire que ce film est surtout réservé aux plus petits ! Il n’y vraiment que les enfants qui pourront s’amuser devant les tribulations de Jack Black et ne pas tenir rigueur d’un scénario de la taille d’un lilliputien. Les voyages de Gulliver aurait pu être une bonne distraction familiale notamment en développant un peu plus le "Gulliverse" que se crée le personnage au lieu de quoi, on a préféré s’en tenir à des vannes vues et revues. A réserver à ceux qui veulent découvrir l’univers du personnage crée par Jonathan Swift, mais cette adaptation contemporaine est loin d’être extraordinaire.

     

    Il faut le voir pour : Savoir se servir d’une envie pressante pour sauver des vies.

  • Petits meurtres à l'anglaise

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    Par tradition familiale, notre pote Victor Maynard (Bill Nighy) est devenu tueur professionnel avec une efficacité exemplaire. Dans le milieu, il est le meilleur et c'est pourquoi le malfrat Ferguson (Rupert Everett) a fait appel à lui pour éliminer une jeune femme du nom de Rose (Emily Blunt). Cette dernière a joué un bien vilain  tour à Ferguson en lui extorquant 900 000 livres sterling en échange d'une copie d'un tableau de Rembrandt. Victor se met donc en chasse mais se révèle incapable d'accomplir son contrat, il s'attache à sa cible, une femme sans retenue et cleptomane mais tellement ravissante !

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    Une très bonne surprise que ce remake de Cible émouvante et si en plus vous avez un faible pour l'humour noir et le style british, Petits meurtres à l'anglaise est définitivement fait pour vous ! Bill Nighy est tout simplement délicieux dans la peau de ce tueur si raffiné très pince sans rire qui devra faire face au charme ravageur de la belle Emily Blunt. Même si on peut déplorer une petite baisse de rythme dans sa dernière partie, Petits meurtres à l'anglaise reste toutefois une excellente comédie qui décroche mon Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Opter pour le paiement en 2 fois et découper vos billets de banque.

  • Wolfman

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    C'est par une lettre de Mademoiselle Gwen Conliffe (Emily Blunt) qu'il a appris la nouvelle, son frère a disparu. Lawrence (Benicio Del Toro) a donc quitté Londres pour revenir à Blackmoor où il a passé son enfance. Quand il arrive, il est déjà trop tard ; Ben a été retrouvé mort mais surtout le corps déchiqueté comme s'il avait été attaqué par un horrible monstre. De nombreuses rumeurs naissent dans le village car ce n'est pas la première victime et les yeux se tournent vers les gitans qui se sont récemment installés. Alors que Lawrence commence sa propre enquête, il voit une énorme créature apparaissant seulement les soirs de pleine lune.

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    Au même titre que les vampires, la légende des loups-garous continue de fasciner ce qui explique pourquoi Joe Jonhston s'est attelé à ce remake de Le Loup-Garou datant des années 1940. Évidemment, au niveau de l'histoire c'est sans surprises alors Wolfman préfère se concentrer sur l'action ; un pari plutôt réussi avec un loup-garou qui n'y va pas avec le dos de la cuillère quand il s'agit de déchiqueter des hommes. Malgré son manque évident d'originalité, c'est un film plutôt efficace devant lequel on ne s'ennuie jamais et capable même de vous faire sursauter. Ce n'est pas non plus un film incontournable, bref à peine de quoi vous faire les crocs !

     

    Il faut le voir pour : Rester à la maison les soirs de pleine lune.

  • Victoria, les jeunes années d’une reine

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    Naitre au sein d ‘une famille royale, beaucoup en rêvent mais la réalité n’est pas forcément le conte de fée que l’on s’imagine ! Victoria (Emily Blunt) a grandi en bénéficiant du prestige que lui accordait sa lignée mais ces somptueux châteaux ont vite constitué une barrière à son épanouissement. Entouré de sa mère la Duchesse de Kent (Miranda Richardson) et leur conseiller John Conroy (Mark Strong), Victoria a vécu sous des ordres strictes et alors qu’on attendait d’elle qu’elle accorde la régence à sa mère pour prendre la succession de son oncle, le roi Guillaume (Jim Broadbent) ; elle crée la surprise en montant sur le trone à seulement 18 ans !

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    L’histoire retiendra de Victoria qu’elle fut le monarque qui a eu le plus long règne au Royaume-Uni et ce malgré les tentatives de manipulations auxquelles elle a du faire face. Loin de lui rendre un bel hommage, le film de Jean-Marc Vallée (C.R.A.Z.Y.) risque lui de passe beaucoup plus inaperçu car il ne suffit pas de jolis costumes d’époque et de somptueux décors pour faire un biopic historique digne de ce nom. Victoria, les jeunes années d’une reine est d’un ennui royal en partie à cause d’un scénario sans reliefs ; les conspirations à l’encontre de la reine sont légers et la romance avec le Prince Albert est sans magie.

     

    Il faut le voir pour : Exiger qu’on vous tienne la main pour descendre ou monter les escaliers.

  • Sunshine cleaning

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    Pour offrir à son fils une école privée, Rose Lorkowski (Amy Adams) doit absolument trouver du pognon et ce n’est pas avec son job de femme de ménage qu’elle va y parvenir. Grace à Mac (Steve Zhan), un flic marié qu’elle voit régulièrement et intimement, elle entend parler d’un job assez lucratif mais pour le moins morbide : nettoyer des lieux où l’on a ramassé des cadavres. Ça tombe bien sa sœur Norah (Emily Blunt) va pouvoir l’aider, elle qui vient juste de se faire virer et qui vit encore avec leur père. Evidemment, au départ ce n’est pas bien brillant car faire disparaitre du sang est autrement plus difficile que de nettoyer des lavabos.

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    Même avec la mort, il y a du businesse à faire ! Voici une comédie réussie qui doit évidemment beaucoup à son histoire plutôt atypique puisque 2 jeunes femmes se retrouvent à faire un ménage bien particulier pour gagner de l’argent. Un peu dans le style de Departures mais plus axé sur la comédie, Sunshine cleaning présente également 3 membres d’une même famille qui ont grand besoin de faire un peu le ménage dans leur vie. Si l’humour décalé n’est pas pour vous déplaire alors vous vous laisserez bien tenter par le charme de ce film hors-norme.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de mourir proprement, ça fera des économies pour la famille.