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tewfik jallab

  • Le convoi

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    Malaga 16H09. Le départ a été donné pour 3 voitures qui vont remonter jusqu'en France avec leur marchandise. Par elles, il y a le véhicule conduite par Elyes (Madi Belem) accompagné par Majid (Foëd Amara) et ce dernier va avoir une très mauvaise surprise. Il découvre en effet qu'en plus de la marchandise habituelle, il transporte 7 kilos de cocaïne et ce simple détail pourrait l'envoyer derrière les barreaux pour 10 ans ! Un peu plus loin sur la route, Imad (Tewfik Jallab) tente lui de coordonner son équipe mais les choses ne vont pas se passer comme il l'espérait. Alors qu'ils n'ont pas encore quitté l'Espagne, un barrage policier se forme sur l'autoroute compromettant le convoi.

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    On se souvient du Go fast d'Olivier Van Hoofstadt qui s'était montré efficace, la version proposée ici par Frédéric Schoendoerffer est dans la même veine. Le convoi captive par sa réalisation nerveuse ; on passe d'une voiture à l'autre ce qui permet de faire monter progressivement l'intrigue tout en glissant quelques notes d'humour. Le réalisateur français retrouve Benoît Magimel qu'il avait déjà dirigé dans Truands et on appréciera également le reste du casting mené entre autres par Tewfik Jallab. Un thriller mené tambour battant - bon il ne faut pas non plus s'attendre à du Fast & Furious - qui a largement de quoi nous garantir un bon moment de divertissement.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre pourquoi il est préférable de garder les grenades dans le coffre !

  • Né quelque part

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    Parce que son père vient de faire un malaise et qu’il doit être hospitalisé, notre pote Rachid (Tewfik Jallab) a le devoir de se rendre en Algérie. Sa famille vient en effet d’apprendre que la maison familiale construite pierre par pierre par son père est sur le point d’être saisie et démolie par l’Etat. C’est d’ailleurs en apprenant cela que le père s’est senti mal et a chargé Rachid de faire tout son possible pour préserver cette maison. Pas évident pour ce jeune homme qui découvre pour la première fois le pays où a grandit ses parents et c’est avec quelques réticences qu’il a fait ce voyage. Il se met même à regretter d’être venu lorsque son cousin (Jamel Debbouze) lui vole ses papiers et qu’il se retrouve coincé au bled !

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    Puisant dans sa propre expérience, Mohamed Hamidi se lance dans le cinéma et signe avec Né quelque part, un premier film touchant. On aurait pu craindre à un moment que cela tourne à la banale comédie en compagnie de Jamel Debbouze (que le réalisateur connait bien pour avoir mis en scène un de ses spectacles) et de sa troupe mais ceux-ci s’effacent au profit de l’excellent Tewfik Jallab. C’est assurément la bonne surprise de ce film ; pour son premier grand rôle il donne vraiment corps à ce personnage partagé par sa vie en France et un héritage culturel dont il n’avait pas encore pris conscience. Une belle dose d’émotions donc même si elle ne suffit pas pour emporte totalement le spectateur mais c’est prometteur et ça mérite qu’on y jette un œil.

     

    Il faut le voir pour : Oublier votre intimité quand vous irez en Algérie !