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hugh keays-byrne

  • Mad Max

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    La Terre dans un futur proche. Les routes sont devenues de véritables terrains de guerre et les délits ne cessent d'augmenter. Pour endiguer ce phénomène, les forces de Police se sont équipés en conséquence mais ce n'est pas toujours suffisant. Sur la route, notre pote Max Rockatansky (Mel Gibson) fait la loi avec son partenaire Jim Goose (Steve Bisley) mais ils vont avoir affaire à Toecutter (Hugh Keays-Byrne) et sa bande de motards. S'ils parviennent dans un premier temps à arrêter un des membres de ce gang Johnny the Boy (Tim Burns) malheureusement celui-ci retrouve rapidement la liberté. Les choses ne vont pas en rester là puisque Goose va tomber dans un guet-apens, un drame qui va marquer Max.

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    Détail qui a tout de même son importance, la vision de ce film se fait en 2015 après avoir vu le reboot au cinéma, c'est vous dire le fossé qu'il peut y avoir. On ne peut pas le nier Mad Max a vieilli et pas forcément de la meilleure des façons. C'est avec un petit sourire en coin qu'on découvre cette bande de renégats qui ne sont rien moins que d'ordinaires motards. Il y a tout de même du positif dans ce galop d'essai de George Miller ; l'ambiance fin du monde (bon les bagnoles de flic jaunes et les combinaisons en cuir ça le fait moyen) et des scènes d'action qui font toujours leur effet (et qui devait être révolutionnaire à l'époque de la sortie du film en 1979). Indispensable pour enrichir sa culture ciné moins pour le reste.

  • Sleeping beauty

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    Comme beaucoup d’autres étudiants, Lucy (Emily Browning) a des fins de mois difficiles et malgré les jobs qu’elle a trouvé l’argent lui fait défaut. Elle habite dans une maison partagée avec d’autres potes mais sa présence gêne car elle paie son loyer avec beaucoup trop de retard. Elle tombe alors sur une annonce dans un journal afin de devenir serveuse dans soirées privées très particulières et ses talents tapent dans l’œil de certains des convives. Lucy se voit offrir une autre proposition : passer la nuit avec des hommes mais à la condition de prendre un produit qui la rendra totalement inconsciente. A son réveil, elle ne se souviendra de rien et ne saura jamais ce qui s’est passé avec ses clients.

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    Il y a un parfum de scandale autour du premier film de Julia Leigh car il faut dire que le sujet abordé est plutôt sulfureux. Après L'apollonide - Souvenirs de la maison close, la culture de la sexualité envahit plus que jamais les écrans de cinéma mais là aussi en tant que spectateur, on a tendance à s’endormir devant le spectacle proposé. Certes Emily Browning est charmante et s’est énormément investie dans ce rôle mais l’histoire est inexistante sans compter qu’elle compte des éléments auxquels on passe à coté comme la présence du personnage de Birdmann. Esthétiquement Sleeping beauty est très joli et certains pourront se consoler de la présence de Browning mais c’est un film qu’on oubliera rapidement.

     

    Il faut le voir pour : Prêter plus d’attention aux rouges à lèvres portés par les femmes.