Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Comédie - Page 47

  • Un flic à la maternelle

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Cela fait 4 ans que notre pote John Kimble (Arnold Schwarzenegger) cherche à coincer Cullen Crips (Richard Tyson) et il est près du but. C’est un nouveau meurtre qui va faire tomber le criminel mais afin de donner plus de poids à l’accusation, on cherche aussi à retrouver son ex-femme qui s’est enfui avec leur fils. Selon les informations recueillies, celle-ci se trouverait à Portland, Oregon prochaine destination pour John associée à Phoebe O’hara (Pamela Reed). Cette dernière devait prendre la place d’une institutrice pour dénicher le fils de Cullen mais une grippe intestinale la cloue au lit et c’est son équipier qui va prendre la relève. Ce flic a déjà affronté toutes sortes de danger mais il va devoir relever un défi de taille : s’occuper d’une classe de maternelle !

    01.jpg

    Il a été dans la peau du plus sanguinaire des barbares cimmériens, affronté le Predator ou fait face au Terminator ; cette fois Schwarzenegger doit … supporter des gamins ! Ce contraste saisissant est évidemment le moteur de cette comédie que l’on doit à Ivan Reitman sortie à une époque où l’acteur autrichien essayait de nous faire rire. Le fait d’avoir découvert Un flic à la maternelle durant mon adolescence a construit un certain lien mais le revoir aujourd’hui fait éclater les bons souvenirs. Bâti sur un scénario bateau, les échanges entre Schwarzie et sa classe décrocheraient à peine quelques sourires mais ça n’ira pas plus loin. Un film qui en fait n’est supportable que si on n’a pas quitté la maternelle et encore !

  • La stratégie de la poussette

    star 03.jpg

    2167860595.94.jpg

    Dès que leurs yeux se sont croisés, ça a été le coup de foudre entre Marie & Thomas (Charlotte Le Bon & Raphael Personnaz). Ils étaient heureux jusqu’au jour où est évoqué la question d’un enfant et il s’avère qu’ils ne partagent pas les mêmes perspectives d’avenir. Cela fait maintenant 1 an qu’ils se sont séparés et Thomas a bien du mal à se remettre de cette rupture et puis comme un miracle, un bébé lui tombe dans les bras. En fait, il s’agit de Léo (Loann & Timéo Foissac), le fils d’une de ses voisines qui a eu un accident et il doit désormais s’occuper de cet enfant en attendant le rétablissement de sa mère. Un sacré défi mais il va savoir tirer profit de cette situation en allant prendre des nouvelles de Marie et pourquoi pas essayer de la reconquérir.

    01.jpg

    Il n’y a rien de plus mignon qu’un bébé (enfin tant que ça ne braille pas, qu’il ne faut pas changer les couches ou donner le biberon à 03H29 du matin …) et il semble aussi que ça aide beaucoup pour la drague !  La stratégie de la poussette dispose de quelques bonnes idées comme cette montée vers l’appartement de Thomas où chaque étage représente les différentes étapes traversées par le couple. D’autres sont à relever mais ne sont pas forcément bien valorisées et il y a bien des chances que vous passiez à coté. De belles intentions donc de la part de Clément Michel pour son premier long-métrage qui accouche hélas d’une comédie qui manque d’entrain pour parvenir à nous séduire véritablement.

     

    Il faut le voir pour : Vous proposer comme baby-sitter !

  • Bridget Jones : L’âge de raison

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Elle n’y croyait plus et pourtant c’est bien réel ; notre pote Bridget Jones (Renée Zellweger) a un petit-ami ! Elle ne peut s’empêcher de regarder Mark (Colin Firth) dormir et puis vous saviez qu’il était avocat ? Le couple semblait donc filer le parfait amour mais c’est souvent quand tout est trop beau qu’une ombre au tableau apparait. Bridget garde un œil très attentif sur Rebecca (Jacinda Barrett), la secrétaire de Mark qu’elle trouve beaucoup trop proche et il n’en faut pas plus pour la rendre jalouse. Leur relation pourra-t-elle surmonter cette épreuve tout en sachant que le Dom Juan Daniel Cleaver (Hugh Grant) n’est pas bien loin et qu’il n’hésiterait pas à profiter de la situation.

    01.jpg

    Il aurait été dommage qu’on ne profite pas à fond du succès de Bridget Jones ; on rempile donc pour les nouvelles mésaventures de celle qui fut la plus célèbre des célibataires. Zellweger, Firth & Grant sont toujours présents et si auparavant la belle blonde se posait des questions sur son célibat, c’est désormais sa vie de couple qui la tracasse. Pas certain que le sujet passionne davantage la gente masculine. Si les fans les plus assidus pourront se satisfaire de la revoir, il faut quand même avouer que ce Bridget Jones : L’âge de raison est bien poussif ; l’illustration parfaite étant cette séquence de la prison thaïlandaise. On dit qu’une suite déçoit souvent et là on ne pourra pas dire le contraire !

     

    En savoir plus sur Le journal de Bridget Jones ?

  • Le roi du curling

    star 02.jpg

    3502058702.122.jpg

    Il fut un temps où notre pote Truls Paulsen (Atle Antonsen) et son équipe étaient considérés comme les champions incontestables du curling. Mais au-delà des victoires, il prêtait une attention maladive aux détails comme lui avait enseigné son mentor et père de substitution Gordon (Ingar Helge Gimle). A trop vouloir chercher à atteindre la perfection, Truls a perdu la tête et a fini dans un institut spécialisé. Après 10 ans, il est autorisé à quitter l’établissement mais à la seule condition d’oublier tout ce qui a trait au curling. Une promesse qui devra être rompue au moment où Gordon  se retrouve hospitalisé dans l’attente d’une greffe des poumons ; l’heure du retour de l’équipe Paulsen a sonné !

    01.jpg

    On admettra tous que le curling est un sport assez particulier et donc un choix plutôt judicieux pour inspirer cette comédie norvégienne. Les premières minutes introduisent des personnages bariolées et on se dit donc que Le roi du curling pourrait bien emprunter la voie de ces films à la Will Ferrell mais la cible est loin d’être atteinte. Des héros transparents, un humour beaucoup trop dilué et puis des matchs expédiés font qu’on se montrera assez déçu d’un film loin d’être taillé au millimètre près. L’idée était indéniablement intéressante mais ne réussit pas à se concrétiser, il ne parviendra à vous décrocher tout au plus que quelques sourires.

     

    Il faut le voir pour : Remonter votre fermeture éclair jusqu’en haut !

  • Sexy à tout prix !

    star 0.jpg

    aff.jpg

    Sans aucun doute possible, Cristabel (Paris Hilton) est la femme de sa vie ! Nate Cooper (Joel Moore) se souvient encore de ce jour où il l’a vue entré en classe, c’était il y a 20 ans et aujourd’hui encore elle hante ses pensées. Il décide donc de partir à sa recherche et retrouve assez rapidement sa trace à Los Angeles. De façon inexplicable, cette beauté fatale ne semble pas insensible aux avances de Nate mais un obstacle de taille se dresse et elle se nomme June Phigg (Christine Lakin). C’est la pote d’enfance de Cristabel et cette dernière a fait la promesse de ne plus sortir avec un homme tant que June serait célibataire. Un défi de taille car elle est … comment dire loin d’être un canon de beauté.

    01.jpg

    Paris Hilton est au cinéma ce qu’une émission de télé-réalité est à la littérature ; une énorme anomalie. C’est évidemment pour son physique que la riche héritière devient ainsi l’héroïne de cette comédie américaine qui a bien 20 ans de retard avec son dénouement écrite d’avance sans oublier l’immuable leçon de morale. Les connaisseurs de séries TV pourront toujours se consoler en retrouvant Christine Lakin autrefois personnage récurrent de Notre belle-famille qui s’est magnifiquement enlaidie (!) pour l’occasion. Inutile de s’appesantir davantage sur Sexy à tout prix ! qui n’a pas inventé l’eau chaude ni quoi que ce soit d’autre.

  • Par amour

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Notre pote Angelo (Jean-Paul Muel) est professeur de théâtre et donne des cours à des amateurs. Cette année, il a décidé de monter Roméo & Juliette pour une représentation qui aura lieu dans 6 mois ; d’ici là cette joyeuse troupe va devoir travailler dur et répéter régulièrement. Parmi eux se trouve Didier (Frédéric Bouraly) qui est au chômage et qui veut absolument percer dans le métier malgré les réticences de sa femme. Pour Morgane (Sofiia Manousha), ce cours lui a permis de rencontrer Reza (Fahd Acloque), un beau jeune homme issu d’une famille aisée qui ne la laisse pas indifférente et va même l’inciter à se convertir à l’Islam tout en reniant sa mère.

    01.jpg

    Le titre parle de lui-même et c’est à travers un film choral que notre pote Laurent Tirode nous propose ses variations sur le thème de l’amour. Coup de foudre, l’amour d’une mère envers sa fille ou encore une relation intergénérationnelle ; les histoires évoquées sont assez diversifiées mais toutes ne passionnent pas. Si on est plutôt amusé par la recherche d’un géniteur d’Elisabeth ou l’obstination de Rémi en amoureux transi, le reste de Par amour a bien du mal à convaincre et se révèle de l’ordre de l’anecdotique. Personnages légers et récits sans véritable relief, difficile alors de nous enchanter et si l’amour rend aveugle alors c’est qu’on est encore (très) loin de l’amour fou !

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre mec s’il est prêt à se battre en duel pour vous !

  • Le journal de Bridget Jones

    star 03.jpg

    aff.jpg

    La trentaine passée, quelques kilos en trop et toujours célibataire ; elle n’est pas loin de la dépression notre pote Bridget Jones (Renée Zellweger). Comme si ça ne suffisait pas, sa mère tente bien maladroitement de la caser avec Mark Darcy (Colin Firth), avocat fraichement divorcé. Entre les deux, le coup de foudre a plutôt des allures de coup de froid et la jeune femme trouvera son bonheur dans les bras de Daniel Cleaver (Hugh Grant), son boss. Si Bridget semble s’épanouir sentimentalement parlant, on ne peut pas dire que son nouveau compagnon soit un modèle de vertu et elle va l’apprendre de façon plutôt brutale. Et si finalement Mark n’était pas le goujat qu’elle croyait ?

    01.jpg

    Grand succès littéraire, on doit Le journal de Bridget Jones à l’auteure Helen Fielding et les fans du roman attendaient de pied ferme cette adaptation sur le grand écran. Evidemment, tout le monde ne sera pas d’accord mais un spectateur lambda qui n’a jamais lu le bouquin (disons par exemple moi !) trouvera que Renée Zellweger s’en tire avec les honneurs en incarnant cette "héroïne" des temps modernes. Entourée du gendre idéal Colin Firth et du playboy Hugh Grant, ce trio sympathique fait mieux passer la pilule d’un scénario sans génie. Destiné avant tout à un public féminin, les mecs pourront toujours apprendre quelques trucs sur la gente féminine comme la fonctionnalité de la culotte de grand-mère.

  • Touristes

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Quoi que sa mère puisse inventer pour la dissuader, notre pote Tina (Alice Lowe) est bien décidée à partir en vacances avec Chris (Steve Oram), son nouveau petit-ami. A bord de leur caravane, ils ont planifié un joli programme pour visiter l’Angleterre et cela commence par un petit tour au musée du tramway mais un horrible accident va avoir lieur. Alors que Chris enclenchait une marche arrière avec son véhicule, il heurte un homme qui meurt sur le coup. Simple accident ? Pas si sur ! En effet, quelques instants plus tôt, cette victime s’était fait remarquer pour son comportement irrespectueux ce qui a rendu le compagnon de Tina totalement hors de lui. Et dire que ce voyage ne fait que commencer !

    01.jpg

    Si vous pensiez passer de paisibles vacances et découvrir de jolis paysages avec ces Touristes, vous vous trompez lourdement ! Ça commence telle une bonne vieille comédie mais très vite l’humour bon enfant devient subitement noir avec quelques scènes d’une violence crue susceptible d’heurter votre sensibilité. Pas étonnant quand on sait que le réalisateur n’est autre que Ben Wheatley qui avait déjà choqué quelques spectateurs avec une séquence d’une incroyable barbarie dans Kill List. Un mélange des genres assez brut qui demande tout de même un petit temps d’adaptation avant de pouvoir profiter de ce voyage pour le moins imprévisible.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de laisser trainer vos aiguilles quand vous tricotez !

  • Le ciel, les oiseaux … et ta mère !

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Grace à un concours vidéo qu’ils ont brillamment remporté, nos potes Youssef, Christophe & Stéphane (Jamel Debbouze, Lorànt Deutsch & Stephane Soo Mongo) s’apprêtent à passer d’inoubliables vacances ! Ils prennent en effet la direction de Biarritz où un appartement est mis à leur disposition ; à eux la plage, la fête et surtout les femmes enfin c’est ce qu’ils s’étaient imaginé. La réalité est moins belle et ils déchantent vite en constatant que sans thunes il n’y a pas grand-chose à faire sur la cote. Heureusement, l’arrivée de Lydie (Olivia Bonamy) et de ses amis dans l’appartement d’à-côté tout comme celle de Mike (Julien Courbey) qui a décidé de taper l’incruste va apporter un peu d’animation à leur séjour.

    01.jpg

    Il faut être objectif, c’est loin d’être une comédie rayonnante mais elle avait au moins le mérite à l’époque de lancer la carrière ascendante de Jamel Debbouze. Un premier rôle qui a évidemment contribué au succès du film d’autant plus qu’il est bien accompagné avec Lorànt Deutsch & Julien Courbey, 2 acteurs qui font toujours preuve d’une certaine gouaille. La tchatche et le langage employé amuse un moment mais devient vite rédhibitoire et par chance ça s’allège un peu dans la seconde partie sans quoi la migraine nous guettait. Le ciel, les oiseaux … et ta mère ! marque également la première réalisation de Djamel Bensalah qui déroule une histoire bien trop balisée.

  • Love is all you need

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Pendant longtemps notre pote Ida (Trine Dyrholm) a combattu son cancer et elle pourrait très bientôt voir le bout du tunnel. C’est une nouvelle rassurante mais une mauvaise surprise l’attend puisqu’en rentrant des courses, elle surprend son mari en compagnie d’une autre femme et qui plus est une de ses collègues de travail. Sacré choc qu’il va falloir rapidement mettre de coté puisqu’ils doivent partir en Italie afin de célébrer le mariage de leur fille Astrid (Molly Blixt Egelind) avec Patrick (Sebastian Jessen). Tout naturellement, Ida s’apprête à prendre l’avion seule ce qui est loin de la rassurer mais un léger accrochage va lui permettre de rencontrer Philip (Pierce Brosnan) qui s’avère être le père de Patrick.

    01.jpg

    Derrière ce titre un peu ronflant se dissimule une comédie dramatique qui met un peu de temps à démarrer mais finalement assez sympathique. La cadre enchanteur dans lequel nous amène l’histoire y est aussi pour beaucoup puisqu’au fil des minutes on finit par s’évader à travers cette ambiance qui sent bon les vacances. Sans compter la présence de convives plus ou moins bienvenus apportant également un peu d’animation dans cette somptueuse propriété où les couples se font et se défont. N’oublions pas enfin la comédienne Trine Dyrholm dont le charme agir aussi bien sur Pierce Brosnan que sur les spectateurs qui passeront un bon moment avec Love is all you need et c’est déjà pas mal !

     

    Il faut le voir pour : Acheter des citrons pour la maison.