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Comédie - Page 16

  • Charlie Mortdecai

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    Bien qu’il arbore fièrement sa nouvelle moustache, notre pote Charlie Mortdecai (Johnny Depp) a d’autres soucis en tête comme ses ressources financières. Comme lui rappelle si bien sa femme Johanna (Gwyneth Paltrow), ils seront bientôt sur la paille et sont même déjà en train de vendre quelques effets personnels pour s’en sortir. La solution pourrait venir de l’Inspecteur Martland (Ewan McGregor) qui a besoin des services de Charlie afin de retrouver une toile de Goya qui a été volée. Cette peinture aurait été confiée à Bronwen (Norma Atallah) pour être restaurée mais celle-ci a été retrouvée morte ce qui laisse à croire qu’elle aurait fait une découverte importante.

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    Avant toute chose, il convient de préciser que Charlie Mortdecai doit se regarder avec beaucoup de second degré tant par son histoire que par l’interprétation des acteurs qui n’hésitent pas à surjouer. Le genre de rôle que Johnny Depp maitrise depuis quelques années maintenant et à moins de l’adorer, il faut avouer qu’il ne nous amuse plus vraiment. A partir de là il est donc difficile d’apprécier cette comédie aux traits grossiers, aux gags répétitifs même si elle propose un mixte pas non plus désagréable entre humour, action et enquête policière. Un film devant lequel on ne s’enthousiasme pas vraiment.

     

    Il faut le voir pour : Porter une moustache !

  • La grande aventure de Maya l’abeille

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    Ce sont les premiers battements d’ailes pour notre pote Maya qui se montre immédiatement très curieuse. Elle découvre d’abord son essaim dans lequel les abeilles récoltent le pollen et en continuant son chemin, elle entrevoit la lumière du jour. C’est une immense prairie qui s’offre à elle et c’est là qu’elle va rencontrer Flip la sauterelle qui va la raccompagner car les dangers ne manquent pas dehors ! De retour à l’essaim, Maya va devoir aller à l’école où Willi devient rapidement son nouveau pote d’enfance mais son comportement extraverti attire l’attention de Buzzlina, la conseillère de la reine qui complote quelque chose.

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    Qui l'eût cru mais il faut remonter jusqu’en 1912 pour connaitre les origines de ce personnage crée par l’auteur allemand Waldemar Bonsels. Sur papier ou sur le petit écran, cette héroïne a bercé et berce encore l’enfance de milliers de spectateurs et cette arrivée au cinéma semble donc naturel. Les graphismes tout comme les personnages sont mignons à défaut d’être merveilleux, un peu d’humour et quelques chansons assurés par Jenifer et Christophe Maé parsèment l’aventure ; La grande aventure de Maya l’abeille remplit son devoir. Un esprit très bon enfant qui fait qu’il s’adresse d’abord aux plus petits quant à ceux qui sentent vibrer la fibre nostalgique, ils se laisseront peut-être aussi tenter.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus laisser de coté les Bousiers !

  • Sharknado 2 : The second one

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    Alors qu’ils sont à bord d’un avion qui les emmène à New York, nos potes April Wexler & Fin Shepard (Tara Reid & Ian Ziering) vont une nouvelle fois de plus échapper à la mort. L’appareil s’apprêtait à atterrir mais une violente tempête faisant voler des dizaines de requins va rendre les choses bien plus difficiles. Fin doit encore jouer les héros en prenant la place du pilote tandis qu’April se retrouve dans un état grave après avoir été attaquée par un requin. A peine le temps de se remettre de leurs émotions qu’il faut déjà se remettre à l’action car un Sharknado va très vite arriver sur New York et Ellen (Kari Wuhrer), la sœur de Fin se trouve en ville avec toute sa famille.

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    On n’en avait pas forcément rêvé mais ils l’ont quand même fait ; après le buzz provoqué par le précédent opus le studio The Asylum surfe sur la vague avec ce Sharknado 2 : The second one. Notre héros Ian Ziering répond toujours présent, Tara Reid met un peu plus la main à la pâte et les effets spéciaux sont toujours aussi pourris. Après la Californie, c’est donc New York qui se retrouve sous la menace des requins volants ; l’occasion ainsi de faire valdinguer la tête de Lady liberté, de jouer au base-ball avec les prédateurs ou encore de les trancher avec une épée de chevalier. Pas de doute, c’est le nanar que l’on attendait et c’est évidemment un excellent film à offrir à vos pires ennemis !

     

    En savoir plus sur Sharknado ?

  • La nuit au musée : Le secret des Pharaons

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    C’est une soirée spéciale au Musée d’Histoire Naturelle de New York et le spectacle organisé par notre pote Larry Daley (Ben Stiller) se déroulait parfaitement … du moins au début. Soudainement, toutes les pièces du musée qui avaient pris vie ont perdu la tête transformant la soirée en cauchemar. Larry comprendra plus tard que ceci est du à la tablette d’Ahkmenrah qui semble se désagréger sans que l’on sache pourquoi. Afin d’en savoir plus à ce sujet, notre veilleur de nuit va devoir se rendre an Angleterre où sont conservés les parents d’Ahkmenrah (Rami Malek) qui pourront lui dévoiler les secrets renfermés par cette tablette.

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    On quitte cette fois les États-Unis pour l’Angleterre où un nouveau musée va prendre vie sous nos yeux et sous l’égide de notre fidèle Ben Stiller. S’il n’y a pas de grosses révolutions en vue, La nuit au musée : Le secret des Pharaons remplit aisément sa mission de divertir le spectateur. L’action et l’humour sont au rendez-vous et il est à noter également un excellent caméo de la part de notre pote Hugh Jackman. C’est la fin d’une saga (à moins qu’un spin-off ne soit lancé avec Rebel Wilson) et celle-ci est d’autant plus chargée d’émotions qu’on y découvre Robin Williams dans un de ces derniers rôles. La magie est répétitive mais opère encore un peu pour faire plaisir aux spectateurs de tout âge.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à neutraliser des lions avec une simple lampe-torche !

  • Mimi-Siku - Un indien dans la ville

    Bonjour !

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    01.jpgMoi c’est Mimi-Siku (Ludwig Briand), je viens d’arriver dans ce grand village avec Baboun (Thierry Lhermitte). Avant, je vivais à Lipo-Lipo avec ma mère Palikou (Miou-Miou) puis Baboun est venu et m’a promis qu’on irait voir la Tour-Eiffel quand je deviendrais un homme.

     

    Depuis qu’on est là, on n’a pas passé beaucoup de temps ensemble car il dit qu’il a beaucoup d’obligations. C’est pour ça que j’ai décidé de visiter ce grand village tout seul et d’aller voir la Tour-Eiffel.

     

    02.jpgJ’ai aussi rencontré Sophie (Pauline Pinsolle). Elle est belle et j’ai toujours son visage devant moi, Baboun me dit que je suis amoureux mais la vie à Lipo-Lipo me manque tellement.

     

     

    En savoir plus sur Un indien dans la ville ?

  • Les nouveaux sauvages

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    Notre pote Diego (Leonardo Sbaraglia) a crevé un pneu et alors qu’il s’efforce de la changer sur le bas-côté, une voiture s’arrête. Manque de chance, il s’agit de l’homme qu’il a légèrement insulté quelques minutes auparavant lorsque celui-ci l’empêchait de le dépasser. Les retrouvailles s’annoncent pour le moins explosives ! En parlant de ça, notre pote Simon Fisher (Ricardo Darín) a lui aussi des soucis avec son véhicule qui a été conduit à la fourrière. Un évènement à priori quelconque mais qui va déclencher toute une série de malheurs qui changeront sa vie. Un mariage qui dégénère, un avion qui pique du nez ou encore un restaurant où l’on sert de la mort-aux-rats ; en Argentine on peut assouvir sa vengeance sous toutes ses formes !

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    La vengeance est un plat qui se mange froid et elle est servie ici sous la forme d’un plateau dégustation assaisonné d’une délicieuse dose d’humour. Les nouveaux sauvages n’est pas à proprement parler un film puisqu’il se compose de 6 histoires indépendantes les unes des autres mais toutes réalisées par Damián Szifrón. C’est donc sur un thème commun que s’articulent les différentes histoires avec toutefois un mot d’ordre : nous faire rire ! A la manière des montagnes russes, il y a d’abord les bas avec ce petit temps pour que chaque nouveau récit démarre et puis les sommets où le comique prend le dessus pour notre plus grand plaisir. Une comédie imprévisible et qui fait du bien aux spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Rester prudent lorsqu’on vous offre des billets d’avion gratuits.

  • L’interview qui tue

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    WTF, Eminem est gay ?! Quelle autre émission que Skylark Tonight aurait pu obtenir un tel scoop. Toujours est-il que le show télévisé cartonne depuis l’arrivée du producteur Aaron Rappaport (Seth Rogen), pote d’enfance du présentateur vedette Dave Skylark (James Franco). 10 ans de collaboration et de succès mais la réputation d’Aaron s’est construit autour d’exclusivités people sans grand intérêt. C’est ainsi que nos deux amis décident de passer aux choses sérieuses et lancent l’idée folle d’aller interviewer Kim Jong-Un (Randall Park), le leader despotique de la Corée du Nord. Le pire dans tout ça, c’est qu’ils obtiennent une réponse positive mais l’histoire ne s’arrête pas là puisque la CIA va les contacter pour planifier le meurtre de Kim Jong-Un !

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    Voilà donc le film qui s’est bien malgré lui fait une publicité retentissante allant jusqu’à provoquer un incident diplomatique entre les États-Unis et la Corée du Nord. Revenons au cinéma ; après avoir provoqué la fin du monde le duo de réalisateurs Seth Rogen / Evan Goldberg signent leur seconde collaboration pour aller titiller (et pas qu’un peu) le dictateur Kim Jong-Un. Impossible de manquer notre pote James Franco qui s’éclate comme un gamin dans L’interview qui tue à coups de Margaritas et sur fonds de Katy Perry. L’humour grotesque est donc toujours au rendez-vous et si au final cette comédie offre quelques moments marrants cela n’est jamais au point de s’en mordre les doigts. Pas génial mais juste assez sympa pour passer le temps.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier que votre femme porte de vraies lunettes !

  • Les souvenirs

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    Alors que notre pote Romain (Mathieu Spinosi) vient de perdre son grand-père, il apprend que sa Grand-mère (Annie Cordy) a eu un petit accident qui l’a conduit à l’hôpital. C’est son Père (Michel Blanc) qui lui a annoncé la nouvelle et qui se montre très inquiet pour sa mère au point de prendre la décision de l’envoyer en maison de retraite. Dès qu’il le peut, Romain va lui rendre visite jusqu’au jour où elle disparait sans en informer quiconque. Il faudra attendre que le jeune homme reçoive une carte postale pour découvrir que sa grand-mère est partie dans la région de son enfant à Étretat en Normandie.

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    Voilà donc le second roman de David Foenkinos à être adapté sur le grand écran et c’est notre pote Jean-Paul Rouve qui s’en charge. Avec les présences d’Annie Cordy, Chantal Lauby et Michel Blanc ; on se disait que ce casting de qualité ne pouvait pas nous décevoir hélas Les souvenirs est d’une terrible indigence. En cause d’abord un rythme incroyablement ronronnant, des personnages sans relief et des situations comiques souvent poussives (clin d’œil à William Lebghil pas très dépaysé par rapport à son rôle dans la série Soda). Tout cela fait que ce film se montre creux particulièrement en termes d’émotions et il ne risque pas de rester très longtemps dans nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Acheter des Twix la prochaine fois que vous irez à la station-service et en profiter pour demander quelques conseils.

  • Cops - Les forces du désordre

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    En quittant l’Ohio pour Los Angeles, nos potes d’enfance Ryan & Justin (Jake Johnson & Damon Wayans Jr.) pensaient que leurs vies allaient naturellement se construire. Au lieu de ça, ils ont maintenant la trentaine passée, partagent un appartement et n’ont pas vraiment de perspective professionnelle. A l’occasion d’une soirée organisée par les anciens de l’université, ils se déguisent en policiers mais cela ne se prête pas vraiment à l’occasion. Ce moment d’embarras passé, ils vont se rendre compte que cet uniforme change radicalement la vision que l’on porte sur eux et Ryan va même aller plus loin. Il réussit à dégoter une voiture de police et voilà comment un concepteur de jeu vidéo et un joueur de football qui n’a jamais percé vont assurer la sécurité des rues !

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    On retrouve ici la bonne vieille recette du Buddy movie avec deux comédiens issus de l’univers des séries télévisées. On a d’abord Damon Wayans Jr. le papa cool de Ma famille d’abord et Jake Johnson qui cartonne avec sa New girl. L’habit ne fait pas le moine mais il suffit ici à nos 2 zéros de service qui gagnent en respect et surtout qui en profitent pour se faire plaisir ! Un duo qui fonctionne sans véritable enthousiasme au sein d’une comédie lambda où l’intrigue est aussi téléphoné que l’humour qui y est développé. S’il y avait eu un peu plus de références comme le passage Reservoir dogs, ça aurait pu donner un peu plus d’allant à Cops - Les forces du désordre mais là on est plutôt dans l’anecdotique.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire que "Chang" est un nom réservé aux asiatiques !

  • Valentin Valentin

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    Le corps sans vie de Valentin (Vincent Rottiers) a été retrouvé sous le petit pont. C’est une tragédie qui émeut tout un quartier où le jeune homme était apprécié de tous. A bientôt 30 ans, il avait touché un gros héritage de sa tante qui l’avait décidé de prendre une année sabbatique et à s’acheter un appartement. Au sein de cet immeuble, l’arrivée de Valentin n’a pas laissé insensible Noor, Florence & Elodie (Victoria Lafaurie, Agathe Bonitzer & Marilou Berry) qui vivent en colocation. Son charme semble opérer auprès de toutes les femmes et pourtant il va choisir la complication en s’engageant dans une relation avec Claudia (Marie Gillain) qui n’a aucuns scrupules à tromper son mari.

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    Dès les premiers instants, le spectateur est averti qu’un drame va se jouer. Le film choral s’installe et nous permet de découvrir le quotidien d’un immeuble à travers les portraits des différents habitants. Tout cela n’est qu’un prétexte pour multiplier les pistes conduisant à ce crime et nous poussant à échafauder tous les mobiles et donc coupables imaginables ; atmosphère que connait bien Pascal Thomas pour avoir adapté quelques œuvres d’Agatha Christie. C’est cette fois le roman La maison du lys tigré de Ruth Rendell qui donne naissance à Valentin Valentin, un policier qu’on appréciera surtout pour son casting éclectique et dynamique. Malgré une conclusion décevante, on passe plutôt un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre femme de ne plus s’épiler les aisselles !