Alors qu’elle n’était encore qu’une enfant, Mélanie (Déborah François) était destinée à devenir une prodige du piano mais le destin en a voulu autrement. Lors d’un concours d’entrée au conservatoire, elle est déconcentrée par un des membres du jury ; la célèbre pianiste Ariane Fouchécourt (Catherine Frot). Quelques années plus tard, on retrouve Mélanie qui commence un stage chez un avocat, on est bien loin du piano mais cet avocat n’est pas n’importe qui. Il n’est autre que le mari d’Ariane Fouchécourt !

Ce film devait illustrer l’expression bien connue La vengeance est un plat qui se mange froid, le seul souci c’est que finalement je trouve cette vengeance bien morne. A l’image du film, tout est assez plat et même Catherine Frot qui est une actrice que j’apprécie énormément m’a déçu. Reste que l’on se demande durant tout le film comment cette jeune pianiste va pouvoir se venger mais je doute fort que La tourneuse de pages puisse vous attirer dans les salles. Remarquez, j’ai au moins appris qu’il existait des tourneuses de pages !

Giorgio (Alessio Boni) voulait changer le monde, c’est d’ailleurs pour cela qu’il était parti en Amérique Centrale où il est devenu terroriste. Conscient qu’il a fait une grave erreur, il revient en Italie où grâce à ses relations et l’aide d’un flic véreux l’inspecteur Anedda (Michele Placido) il échappe à la perpétuité. Avec le temps, il réussit à entrer dans le milieu de la nuit où notre pote peut exercer pleinement ses talents de truand et se remplir les poches de billets. Avide de richesse, il a bien l’intention de continuer son ascension peu importe le prix à payer !

Le cinéma italien est vraiment séduisant cette année puisque après Romanzo Criminale, voici Arrivederci amore, ciao. Rien qu’au titre, je me disais qu’on allait avoir droit à une comédie romantique mais je me suis bien trompé et ce n’est pas plus mal. Ce film brille avant tout par son héros qui a la panoplie complète du playboy dont les filles tomberont facilement sous le charme. Heureusement, on sort un peu des sentiers battus puisque Giorgio est un personnage que vous n’oublierez pas de sitôt et qui réussit à faire passer les quelques longueurs du film.

Will Turner & Elizabeth Swann (Orlando Bloom & Keira Knightley) sont dans une situation bien délicate; Lord Cutler Beckett (Tom Hollander) les a mis aux arrêts pour avoir aidé le Capitaine Jack Sparrow (Johnny Depp) à fuir. Ils n’ont plus le choix, s’ils veulent être de nouveau libres, ils doivent remettre la main sur le pirate et surtout sur le compas qu’il a en sa possession qui intéresse particulièrement Beckett. De son coté, Sparrow a des affaires à régler avec Davy Jones (Bill Nighy), le maître des sept mers.

3 ans après le premier épisode, voici le second opus d’une trilogie qui a su trouver son public. Pirates des caraïbes avait ramené le film d’aventures au devant de la scène et Le secret du coffre maudit n’échappe pas à cette règle ! Embarquez à bord du Black Pearl en compagnie des héros et vivez avec eux de nombreuses aventures, vous ne le regretterez pas car le divertissement est assuré. Seul point noir de Pirates des caraïbes, Le secret du coffre maudit ; peu de surprises et des personnages dont l’évolution est presque inexistante.

C’est le début d’une nouvelle vie pour notre pote Alex Wyler (Keanu Reeves) car il vient d’emménager dans cette splendide maison sur le lac de l’Illinois. Ses cartons ne sont pas encore défaits qu’il a déjà du courrier mais il s’agit en fait d’une lettre de l’ancien locataire, une certaine Kate Forster (Sandra Bullock). Cette dernière veut récupérer son courrier rien de plus banal quand on déménage mais un léger détail vient troubler l’histoire : Alex & Kate ne vivent pas à la même époque !

Le duo Bullock/Reeves on le connaît assez bien puisqu’ils furent les héros du film d’action Speed et on les retrouve cette fois dans un registre bien différent. Voilà donc une histoire d’amour teintée de fantastique qui brille par son originalité (précisons toutefois que ce film est un remake !) et qui saura séduire les spectatrices. Dommage toutefois que le Happy end soit de rigueur mais bon une histoire d’amour finit toujours bien…dans les films et Entre deux rives respecte cette règle.

Encore une nouvelle journée de travail qui débute pour notre pote Sam Foster (Ewan McGregor), éminent psychiatre. Aujourd’hui, il a décidé d’aider une de ses collègues en s’occupant d’un patient dont le cas est assez préoccupant : Henry Letham (Ryan Gosling). Perturbé, on a retrouvé ce garçon auprès de son véhicule en feu mais plus inquiétant encore, Henry a décidé d’en finir avec la vie et a d’ores et déjà programmé son suicide. Sam va tenter de l’aider mais dans le même temps, il va lui aussi perdre ses points d’ancrage avec la réalité.

Comme je squatte les salles de ciné, je m’en suis tapé des bandes annonces sur ce film et si vous voulez mon avis contentez-vous de ça ! C’est simple, je n’ai pas compris le dénouement de Stay et je ne suis même pas sur qu’en le revoyant (si je le revois un jour) le résultat puisse être différent. Si la réalisation est très soignée, l’histoire vous embrouillera très vite et si quelqu’un a compris le film ; il est libre de m’envoyer un mail pour m’expliquer !

Notre pote Brandon Lang (Matthew McConaughey) a le football dans la peau et d’ailleurs c’était un joueur prometteur mais une grave blessure au genou l’a éloigné des terrains. Les années ont passé et il a du se recycler en travaillant dans le domaine si particulier des paris sportifs. Si les paris sont interdits dans 49 états, les conseils eux sont tout à fait légaux ; un business lucratif dans lequel s’est lancé Walter Abrams (Al Pacino) qui flaire en Brandon un héritier idéal. Voilà comment le célèbre John Anthony est né !

Après avoir lu quelques critiques, le film n’avait pas vraiment enthousiasmé pourtant j’ai passé un bon moment. L’univers des paris sportifs est déjà impressionnant en soi quand on sait les sommes colossales qui circulent mais en plus de ça, Two for the money bénéficie d’un casting prestigieux avec le grand Al Pacino et le nouveau sex symbol d’Hollywood Matthew McConaughey. D’ailleurs, ce statut n’est pas usurpé quand on voit sa plastique proche de la mienne (oui, je sais je rêve éveillé) !

Ce n’est vraiment pas la joie pour nos potes Marc, Jean-Pierre & Robert (Lucas Belvaux, Patrick Descamps & Claude Semal). Voilà des mois qu’ils passent leurs journées à jouer aux cartes autour d’une bonne pression ; une routine qu’ils n’ont pas choisie. Auparavant, ils travaillaient dans une usine qui a fermé depuis ce qui a nuit à de nombreuses familles dans la région de Liège. La situation est on ne peut plus difficile. Et si leur rencontre avec Patrick (Eric Caravaca), un ancien braqueur changeait leur vie ?

Bon, je dois me confesser : ce n’était pas le film que j’étais parti voir mais comme j’étais à la bourre je me suis rabattu là-dessus. Finalement, La raison du plus faible n’est pas inintéressant avec une histoire tirée d’un fait divers et qui nous est servie avec des personnages éminemment sympathiques. A cela s’ajoute une certaine vision de la précarité d’un pan de notre population mais le film a tendance à traîner un peu en longueur bien que la scène finale soit assez plaisante. Une curiosité à voir à l’occasion.

Notre pote Sean Boswell (Lucas Black ) est dans une sacrée galère! Après s’être fait serrer par les flics à la suite d’une course en voitures, il est contraint de quitter les Etats-Unis s’il veut éviter la prison pour les mineurs. Le voilà donc qui débarque au japon, un pays qui lui est complètement inconnu mais où il se trouve vite un point d’ancrage : les bagnoles ! Lui qui croyait tout savoir sur les courses de vitesse va découvrir un nouveau style avec le drifting mais son apprentissage n’est pas sans danger puisqu’il se frotter à D.K. (Brian Tee), un apprenti yakuza !

Chouette un nouvel épisode de la saga Fast & Furious, l’occasion pour moi de mettre mon cerveau en position Off (Ah ba tiens il était même pas branché !). Belles bagnoles customisées, de jolies japonaises customisées elles aussi, un pays lointain et un brin de j-pop voilà ce que vous réserve ce Fast & Furious Tokyo Drift. Ceux qui ont déjà vu les 2 précédents épisodes savent à quoi s’en tenir et ils auront droit à leur dose d’adrénaline et de vitesse quant aux autres ça reste 1 divertissement qui fait parfois mal au crâne.

Cette fois-ci c’est officiel, Jon (Breckin Meyer) a pris sa décision et elle est irrévocable : il va demander Liz (Jennifer Love Hewitt) en mariage. Malheureusement, tout ne se déroule pas comme il l’avait prévu et la jeune femme doit faire ses valises pour partir expressément en Angleterre mais notre pote John va la rejoindre en compagnie de son chat Garfield et de son chien Odie. Les choses se compliquent un peu plus quand Garfield est confondu avec un autre chat ; Prince 12^ème du nom et héritier du château de Carlyle.

A la base, je ne suis déjà pas un grand fan des aventures du matou de Jim Davis en bande dessinée alors découvrir son adaptation sur le grand écran ne faisait pas parti de mes priorités. Finalement, ce n’est pas aussi catastrophique que j’aurais pu le penser mais il est évident que l’histoire particulièrement succincte n’intéressera pas tout le monde. Un divertissement à réserver essentiellement aux enfants de moins de 7 ans mais au-delà je doute que vous puissiez apprécier Garfield 2.

Cela fait déjà quelques mois que nos potes Clémentine & Lucas (Olivia Bonamy & Michaël Cohen) sont venus s’installer en Roumanie dans une immense demeure au milieu des bois. La maison est grande et aurait bien besoin de quelques réfections mais tout cela n’est que le cadet de leurs soucis car un terrible danger les guette. Alors qu’ils dormaient profondément, ils sont soudainement réveillés par un vacarme et découvre alors qu’il y a quelqu’un dans la maison. Ce sont des étrangers mais qui sont-ils ?

Ce n’est pas tous les jours que le cinéma français s’essaie au film d’épouvante et donc il fallait bien jeter un œil d’autant qu’il y a la belle Olivia Bonamy. Si le scénario est on ne peut plus basique (tiré néanmoins de faits réels), un soin tout particulier a été apporté aux images pour retranscrire une ambiance plus ou moins angoissante. Hélas, on retrouve vite les défauts inhérents à ce genre de production avec rien de novateur et le seul intérêt est encore de savoir ce que désigne ce Ils !