Tout avait commencé comme dans un rêve pour Gary (Vince Vaughn) & Brooke (Jennifer Aniston), leurs regards s’étaient croisés durant un match de Base-ball et depuis ils ne se sont jamais quittés. Mais comme dans tous les couples, une routine a vite fait de s’installer et le leur n’échappe pas à cette sacro-sainte règle ! Quand Gary rentre du travail, il ne pense qu’à une chose : profiter de son home cinéma pour regarder peinard son sport ce qui a bien sur le don d’énerver Brooke (comme toutes les femmes) ! Tout ça sent la rupture à plein nez !

Après le couple Pitt/Jolie voilà un autre qui se manifeste à l’écran avec une comédie romantique assez pauvre. Le problème avec La rupture est que pour une comédie, on ne se marre pas vraiment malgré toute la sympathie que j’ai pour les acteurs et notamment pour l’ancienne Friends Jennifer Aniston. Pour les couples, ça vous aidera peut-être à mieux appréhender vos futurs engueulades, pour les autres ce film n’est pas indispensable !

Vivre à Paris est vraiment devenu inabordable quand on vit seul. Depuis qu’il est monté dans la capital, notre pote David (Emmanuel Mouret) l’a vite compris et c’est pourquoi il a décidé de passer une annonce pour trouver un colocataire. Le hasard faisant toujours bien les choses, il croise Anne (Frédérique Bel) qui recherche justement un colocataire pour partager le loyer. Pour gagner sa vie David donne des cours de cor et c’est à cette occasion qu’il va faire connaissance avec Julia (Fanny Valette) et c’est le coup de foudre !

Voilà une petite comédie romantique qui m’a bien séduit grâce notamment au trio Emmanuel Mouret / Frédérique Bel / Fanny Valette. Pour autant, je ne pense pas que tout le monde tombera sous le charme du personnage de David plein de naïveté et de maladresse ce qui pourrait le rendre vite agaçant. Un coté un peu fleur bleue que j’ai appréciée, Changement d’adresse est un très bon divertissement avec des dialogues particulièrement réussis.

C’est les vacances, une période idéale pour se réunir en famille et c’est d’ailleurs le cas pour les Carter. Bob (Ted Levine), ancien inspecteur de police a briqué sa caravane et c’est toute sa famille qui est présente pour passer un moment de rêve à San Diego sous le soleil californien. Les vacances c’est aussi la détente alors il a décidé de prendre les petites routes désertiques pour profiter du paysage. Quand on lui conseille de prendre un raccourci, Big Bob ne se méfie pas et ignore totalement qu’il conduit sa famille aux portes de l’enfer !

Lorsque j’ai entendu parler de ce film, je me suis dit « Bordel encore un remake ? ». Après avoir constaté une nouvelle fois que les créatifs américains semblaient être une espèce en voie de disparition, la bonne nouvelle est que le réalisateur de ce remake est un français Alexandre Aja (Haute Tension). La colline a des yeux est violent, sanglant, brutal, dégoûtant ; bref du bon cinéma à déguster avec un paquet de pop-corn si on met de coté une histoire peu travaillée.

Cindy Campbell (Anna Faris) est de retour !! Il lui est arrivé tellement de choses ces dernières années qu’il serait impossible de vous en donner un aperçu mais cette fois elle est engagée en tant qu’aide à domicile. Tout irait bien si elle ne sentait pas une certaine présence maléfique dans la demeure et pour ne rien arranger, voilà que des envahisseurs débarquent sur terre pour décimer l’humanité ! Heureusement ; le voisin Tom Ryan (Craig Bierko), qui a une fâcheuse tendance à oublier ses enfants, est là pour lui venir en aide.

Au début Scary Movie était drôle mais au bout de 4 épisodes, la saga commence vraiment à s’essouffler d’autant qu’un 5^ème épisode est d’ores et déjà prévu !  Comme d’habitude, vous retrouverez votre lot de blagues pas toujours de bon goût et surtout une bonne louche de parodies de films comme La guerre des mondes, Saw, The Grudge ou encore Le village. Ceux qui connaissent les précédents opus retrouveront les mêmes ingrédients mais j’espère en tout cas qu’on va pas aller jusqu’au numéro 10 !

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La Belgique n’est pas seulement réputé pour ses moules frites mais aussi pour ses personnages parfois hors normes. D’ailleurs, si vous avez eu l’occasion de visiter le pays, peut-être avez-vous déjà croisé JC (Jean-Luc Coucchard) qui est ce que l’on pourrait dire un dikkenek. Playboy à 2 sous, arnaqueur de première, grande gueule voilà ce qu’est un dikkenek et vous allez être servi avec la galerie de personnages que l’on vous réserve !

L’humour et l’accent belge ont quand même un charme particulier qu’on aime ou qu’on déteste. En tout cas moi j’adore toutefois cela ne suffit pas pour faire de Dikkenek la comédie de l’année car le principal défaut est son manque total de scénario. En effet, les scènes s’enchaînent sans véritable liant ce qui donne à ce film un caractère trop haché pour en faire une bonne comédie. Par contre pas mal de citations risquent de vous rester en mémoire !

Jeunes, jolies et talentueuses ; voilà à ce qu’aspirent toutes les adolescentes d’aujourd’hui mais ce n’est pas une mince affaire ! Nos potes ou plutôt nos copines sont encore au lycée, période heureuse où l’on s’éclate dans des soirées à fumer sans se cacher ou à être pompette avec du Malibu. En plus de ça, Manon (Stéphanie Sokolinski) et ses copines dansent et veulent participer au Défi Danse mais les présélections se passent assez mal heureusement elles vont faire la connaissance de Djena (Djena Tsimba).

Au vu de la bande-annonce, ça s’annonçait plutôt mal et je peux vous rassurer c’est encore pire ! Prenez quelques éléments pris ça et là des teen-movies américains (notamment les plus mauvais) ; mettez le tout dans un shaker et vous aurez Mes copines. Réalisé par Sylvie Aymé dont la seule expérience probante (?) reste la série Sous le soleil et vous comprendrez peut-être comment ce film réussit à être plus ridicule que ses modèles. Scénario expédié, réalisation banale et langage familier pour faire djeunz tout est là pour en faire un navet !

Notre pote enfin notre Sœur Avril (Sophie Quinton) est sur le point de prononcer ses vœux perpétuels envers notre grand seigneur, elle qui est si jeune ! D’ailleurs, Sœur Bernadette (Miou-Miou) est mal à l’aise à l’idée de la voir s’engager pour l’éternité et lui révèle alors l’existence d’un frère jumeau duquel elle a été séparé à la naissance. Alors qu’Avril devait effectuer une retraite de 2 semaines, elle décide de partir à la recherche de son frère avec l’aide d’un jeune homme rencontré en cours de route Pierre (Nicolas Duvauchelle).

Le thème de ce film était plutôt intéressant avec cette jeune femme complètement recluse et coupée du monde extérieur et qui justement va y faire ses premiers pas pour rechercher son frère. Entre comédie et drame, Avril se laisse regarder avec un certain plaisir grâce tout d’abord à la très belle Sophie Quinton dont le charme va grandissant dans le film. N’oublions pas non plus Nicolas Duvauchelle & Clément Sibony qui viennent compléter le tout pour un bon petit divertissement.

Dans un futur proche, notre belle planète a vécu une terrible expérience. Les hommes ont découvert un virus latent qui s’est par la suite propagé à une vitesse phénoménale si bien que l’on différencie désormais les humains de ceux que l’on nomme les homophages. Parmi eux se trouve notre pote Violet (Milla Jovovitch) qui a la dent dure contre les humains qui l’ont infectés et qui compte bien leur faire payer tout ça. Sa cible c’est Daxus (Nick Chinlund) qui ne rêve que d’une chose : l’extermination des homophages !

Prenez un œuf, videz son contenu et vous obtiendrez une coquille vide ce qui représente parfaitement les potentialités de ce film futuriste. Une histoire résumée en 5 minutes à laquelle s’ajoute des effets spéciaux très mal intégrés au film et de l’action bas de gamme à foison, voilà ce qui vous attend avec Ultraviolet si vous avez le malheur d’entrer dans la salle. A éviter de toute urgence à moins d’apprécier les films superficiels pour lesquels nos potes américains excellent !

Laurent (Julien Boisselier) vit en couple avec la belle Camille (Mélanie Doutey). Leur pote François (Gilles Lellouche) vient lui de faire la connaissance d’Elodie (Alexandra Lamy), une conseillère juridique dont il est déjà fou amoureux. Tout irait bien pour nos 2 couples sauf qu’au moment où François leur présente Elodie, Laurent en tombe éperdument amoureux mais le plus grave c’est que c’est réciproque ! Un imbroglio amoureux commence alors pour nos héros et les quiproquos s’accumulent.

Un film qu’il vaut mieux éviter de voir si vous êtes en couple car vous pourriez vous poser bien des questions sur vos amis les plus proches. En dehors de ça, On va s’aimer c’est une comédie musicale plutôt plaisante grâce à un casting assez sympathique mais le film est assez inégal. On rigole et les scènes musicales sont agréables bien que le timbre de voix de certains soit peu mélodieux ce qui nous permet toutefois de revisiter les tubes d’hier. On aurait pu s’attendre à mieux de cette petite équipe de comédiens mais ça fera passer le temps…pour les célibataires !

Une chose est sure : Flash McQueen est la star de demain ! Flash est une voiture de course qui n’a qu’un seul objectif : la victoire et son potentiel est énorme ce qu’il sait pertinemment. Toutefois, son attitude désinvolte est peu apprécié si bien que si sa popularité médiatique est au plus haut dans les sondages on ne peut pas en dire autant du coté de sa vie personnelle. Qu’importe, il deviendra bientôt la nouvelle égérie du groupe Dinoco et à lui la belle vie mais que vient faire la ville fantôme de Radiator Springs dans cette histoire ?

Après les animaux et les jouets, les studios Pixar s’attaquent maintenant aux voitures ce qui devrait attirer de nombreux petits garçons dans les salles. Je ne suis plus vraiment petit mais j’ai passé un très bon moment devant Cars émerveillé par des images toujours plus belles et on appréciera surtout la quasi-perfection des décors naturels. De plus, le sens du détail est tellement poussé (prêtez attention aux reflets sur les capots) que même les papas prendront plaisir à accompagner leurs fils. Une valeur sure à voir pendant la fête du cinéma.