Cleveland Heep (Paul Giamatti) n’a pas choisi un travail de tout repos ; il est gardien dans une grande résidence. Toujours disponible et soucieux de servir au mieux les locataires, il est toutefois préoccupé car il a remarqué que quelqu’un se baignait dans la piscine pendant la nuit. La surprise sera d’autant plus grande quand il en verra sortir Story (Bryce Dallas Howard), une nouvelle pote d’enfance originaire du monde de l’eau.

Le réalisateur Night Shyamalan s’est fait connaître grâce à Sixième sens ou Incassable où le dénouement relançait l’intérêt desdits films. Je m’attendais donc à trouver le même style avec La jeune fille de l’eau au lieu de ça on a droit à un film gentillet saupoudré de magie féerique qui pourra peut être vous séduire. J’ai trouvé ça un peu léger avec notamment une Bryce Dallas Howard qui fait plus de figuration qu’autre chose ce qui n’aide pas le film à sortir la tête de l’eau !

Notre pote Brendan Frye (Joseph Gordon-Levitt) est dans l’expectative après un coup de fil de son ex-petite amie Emily (Emilie de Ravin). Elle semblait être effrayée et surtout cela faisait 2 mois qu’ils ne s’étaient pas revus  mais ce retour ne sera que de courte durée. Emily refuse de se confier et préfère laisser Brendan en dehors de son histoire mais quand celui-ci retrouve son corps sans vie, il commence alors une longue enquête qui va lui faire découvrir les derniers moments de la jeune femme.

Bon sang, que j’ai eu du mal à voir le film ! Non pas que les places s’arrachaient mais surtout qu’est ce que Brick est ennuyeux !! Vous l’avez deviné, ce film ne me laissera pas un souvenir impérissable et malgré l’aventure hors norme de ce lycéen ; on a bien du mal à accrocher à l’histoire. Ce qui est sur en tout cas, c’est que ça ne ressemble à aucun autre film (et c’est peut-être pas plus mal) et ça risque de vous endormir…comme une brique !

Une opération d’infiltration a tourné au carnage et surtout a compromis la mission ce qui a conduit à faire appel à nos potes Sonny Crockett & Ricardo Tubbs (Colin Farrell & Jamie Foxx). Ces derniers se font donc passer pour des transporteurs afin d’entrer en contact avec un important trafiquant José Yero (John Ortiz) mais qui se révèlera n’être qu’un maillon d’une chaîne plus importante. La mission devient donc de plus en plus dangereuse et leurs identités secrètes peuvent être découvertes à tout instant, c’est la vie de ces deux flics à Miami !

Encore une adaptation d’une série télévisée s’écrieront certains mais ce n’est pas n’importe laquelle puisque Michael Mann s’en est personnellement occupé ! Pour ceux qui l’ignoreraient, il s’agit aussi du producteur de la série et qui mieux que lui pour transposer les aventures de Sonny & Ricardo sur le grand écran. Miami Vice ne vous laissera pas de répit et les 2h15 passent aussi vite que qu’un hors-bord, un bon film qui devrait facilement séduire les fans de la série.

Voilà 5 ans que Mathilde et Paul (Elsa Zylberstein & Kad Merad) se sont rencontrés et vivent ensemble mais le couple s’est installé dans la routine. Mathilde voudrait notamment que Paul se bouge un peu pour trouver un travail lui qui n’a pas vraiment de vocation mais qui a le don de s’intéresser à des choses totalement futiles. Après avoir effectué un essai sur le marché de son beau-père, notre pote sait ce qu’il veut faire : inventeur et très bientôt l’idée de la Poignette va révolutionner sa vie !

Rien que pour la belle Elsa Zylberstein je serais allé voir ce film mais comme les sorties sont assez pauvres en ce moment, une bonne petite comédie française c’est pas de refus ! J’invente rien ne restera pas dans les mémoires mais c’est un bon divertissement grâce essentiellement à ses comédiens avec le couple Zylberstein/Merad très rafraîchissant. Quelques bonnes idées (notamment pour le dénouement du film) mais ça manque de peps pour en faire une bonne comédie.

Après de nombreuses années d’absence, Stéphane Miroux (Gael Garcia Bernal) est revenu en France à la demande de sa mère. D’ailleurs, celle-ci s’est occupée de tout même de lui trouver un job dans une imprimerie spécialisée dans les calendriers mais le travail n’est pas vraiment ce qu’il espérait. Heureusement, tout n’est pas si désastreux puisqu’une nouvelle voisine vient de s’installer ; Stéphanie (Charlotte Gainsbourg) et il va vite tomber sous son charme. Attention toutefois car Stéphane est un grand rêveur, au sens propre comme au sens figuré !

C’est sans aucun doute le film ovni de l’été et si vous avez ne serait-ce qu’aperçu la bande annonce, vous savez de quoi je veux parler. Je m’attendais ainsi à découvrir un film plutôt décalé et ce fut bien le cas puisque le réalisateur Michel Gondry nous transporte dans son univers loufoque constitué de carton, de nuages en coton ou d’une mer en cellophane. Malgré son originalité et ses sympathiques comédiens, La science des rêves traîne un peu en longueur et l’ennui qui s’installe est tout sauf un rêve !

La vie est belle à New Providence, ville des Bahamas où l’on retrouve nos héros Jared Cole & Samantha Nicholson (Paul Walker & Jessica Alba). Tous deux ne roulent pas sur l’or mais ont une vie agréable qui leur convient même s’ils ne désespèrent pas de faire fortune un jour. Jared notamment rêve de trouver un trésor enfoui dans la mer, son terrain de jeu préféré et quand son pote d’enfance Bryce Dunn (Scott Caan) débarque de New York, c’est l’occasion de l’initier à la plongée au milieu des requins ! Par chance ou malchance, ils vont découvrir des trésors enfouis ainsi qu’un avion rempli de drogue.

L’été il fait beau, il fait chaud et avec un temps pareil on ne rêve que d’une chose : aller à la mer ! Pour celles et ceux qui n’ont pas de vacances, Bleu d’enfer se propose de leur amener la mer avec un film d’aventure qui manque cruellement de rythme et qui ne convaincra que peu de spectateurs de se jeter à l’eau. Heureusement, on a l’occasion d’admirer la belle Jessica Alba en maillot de bain (ou Paul Walker pour les filles) mais une chose est certaine, il est loin d’être d’enfer ce film !

Ben Mitchell (Nathan Phillips) n’a qu’une idée en tête: aller visiter Wolf Creek, un énorme cratère provoqué par la chute d’une météorite situé dans le désert australien. Pour l’accompagner, il a réussi à convaincre ses potes Liz Hunter & Kristy Earl (Cassandra Magrath & Kestie Morassi) pour explorer ce lieu mythique. Malheureusement, une fois leur randonnée terminée, leur voiture tombe en panne et ils s’apprêtent ainsi à passer la nuit là-bas. Par chance, Mick Taylor (John Jarratt) passe par là pour les aider ce qui rassure nos héros avant qu’ils ne comprennent leur erreur !

Autant les films d’épouvante sont légions autant c’est rare de découvrir un film australien. Il était donc intéressant de voir comment nos potes les australiens allaient pouvoir nous surprendre avec Wolf Creek. Assez soporifique au début en raison de l’absence cruelle d’action, le film bouge un peu plus par la suite mais ça reste davantage un thriller d’épouvante qu’autre chose. Déception donc bien que l’on ait évité de nous resservir un clone des productions mercantiles américaines.

Encore une culotte en moins pour notre pote Lucas Nickle victime préférée de Steve ! Notre héros n’a pas vraiment de quoi se réjouir, lui qui n’a aucun ami dans le quartier et qui doit subir quotidiennement ses attaques. Pour se défouler, il s’en prend à la fourmilière qui se trouve dans son jardin, oui c’est tellement plus facile de s’en prendre à plus petit que soi ! Ce qu’il n’avait pas prévu ce qu’on va lui jeter un sort afin de le rapetisser et peut-être qu’avec ça Lucas comprendra ce qu’est la vie de fourmi.

Un nouveau film d’animation qui vient égayer notre été et qui se laisse regarder avec grand plaisir. Bien entendu, le public visé étant d’abord les plus jeunes d’entre nous Lucas, fourmi malgré lui propose une conclusion non dénuée de morale pour les enfants à savoir qu’il ne faut pas s’en prendre à plus petit que soi ! Peut-être même que vous adopterez des fourmis après avoir vu ce film en tout cas même les adultes passeront un bon moment avec de très bonnes idées.

C’est la liberté pour Calvin Sims (Marlon Wayans) qui a la particularité d’être aussi grand qu’un nouveau né. A peine sorti de prison, il est immédiatement embarqué dans une nouvelle affaire avec à la clé le vol d’un magnifique diamant avec son pote d’enfance mais les choses ne tournent pas comme prévu. Pour échapper à la police, Calvin doit cacher le diamant dans le sac de Vanessa Edwards (Kerry Washington) mais comment va-t-il pouvoir le récupérer ? Il décide d’entrer dans la maison dans la peau….d’un bébé abandonné !

Les frères Wayans sont de retour sur le grand écran avec un film dont le scénario extravagant n’est que prétexte pour une succession de gags de plus ou moins mauvais goût. Je m’attendais à un film un peu plus graveleux, un peu à la manière d’un Sexy movie mais finalement il y a eu une certaine retenue. Evidemment, le tout ne vole pas bien haut mais ce n’est pas le but de ce genre de production qui n’est là que pour nous divertir. Little Man est à réserver aux fans des Wayans, les autres ignoreront totalement le film.

C’est désespérant !! Le musée Bloomsberry est une fois de plus vide et la faillite se rapproche à grands pas pour le plus grand malheur de Ted. Mais notre pote est bien décidé à tout faire pour sauver le musée et son emploi même à partir en expédition pour l’Afrique afin de ramener l’idole perdue de Zagawa, une statue qui atteindrait la hauteur vertigineuse de 12 mètres ! Une fois arrivé sur place, c’est la désillusion et même sa rencontre avec ce petit singe malicieux ne peut le réconforter ; du moins c’est ce qu’il croit.

Avec le peu de sorties cinéma en cette période estivale, je me suis décidé d’aller jeter un œil à ce petit dessin animé clairement destiné aux plus jeunes. Evidemment, pour moi l’intérêt est assez limité mais ça détend toujours d’aller voir ce genre de film plutôt que de se promener sous la pluie. Georges, le petit curieux est une œuvre colorée avec des dessins efficaces qui ravira sans aucun doute les enfants et dieu sait que je suis resté un gamin !