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Premières Impressions 2007 - Page 24

  • The Grudge 2

     

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    Quand sa mère l’envoie au Japon pour ramener sa sœur Karen (Sarah Michelle Gellar), Aubrey (Amber Tamblyn) ne se doute pas encore du cauchemar qui l’attend sur place. Karen fut victime de la malédiction d’une étrange maison où a eu lieu un drame terrible et a atterri à l’hôpital mais la menace plane toujours. Aubrey attirée par ce mystère, va avec l’aide d’un journaliste local, Eason (Edison Chen) tenter de comprendre ce qui a bien pu se passer.

     

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    Déjà que je me méfie énormément des suites mais alors quand il s’agit de la séquelle d’un remake américain d’un film japonais, je redouble de vigilance. The Grudge 2 est un film d’épouvante aux rebondissements assez téléphonés mais qui bénéficie tout de même d’une réalisation morcelée pour tenter de tenir le spectateur en haleine. A noter que dans la salle de ciné, le son a été monté à son maximum pour garantir les sursauts des spectateurs sans ça on aurait peut-être fini par faire la sieste devant un film tout juste correct.

     

    Il faut le voir pour : Le réalisateur Takashi Shimizu (celui du film japonais) qui nous offre une suite originale et non le remake de la version japonaise.

  • John Tucker doit mourir

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    Depuis sa plus tendre enfance, Kate (Brittany Snow) s’est toujours considérée comme une fille invisible aux yeux de tous. Aujourd’hui au lycée, les choses n’ont guère évolué mais cela ne saurait tarder grâce à John Tucker (Jesse Metcalfe), le garçon le plus populaire du bahut. Kate s’aperçoit en effet que ce jeune homme semble apprécier les plaisirs de la polygamie puisqu’elle l’aperçoit successivement aux bras de Carrie, Heather & Beth (Arielle Kebbel, Ashanti & Sophia Bush). Bien décidé à donner une leçon exemplaire à ce coureur de jupons, ces 4 potes d’enfance vont s’associer !

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    A lire le scénario, on a 2 réactions : éviter le film ou aller le voir et constater les dégâts. Vous savez ce que j’ai fait et j’ai été comblé par John Tucker doit mourir. Casting résolument jeune avec des acteurs en devenir (dont Jesse Metcalfe / John dans la série Desperate Housewifes), histoire aussi passionnante qu’un article de Voici et absence totale d’idées font de ce film un très beau navet. A voir absolument si vous avez réussi à sécher 2 heures de cours et que vous ne savez plus quoi faire après avoir traîné au McDo !

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !

  • Quand j'étais chanteur

     

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    Une petite cigarette avant de monter sur scène et prendre le micro, voilà un rituel qu’a pris notre pote Alain Moreau (Gérard Depardieu). Celui-ci chante en compagnie de son orchestre dans différentes manifestations et c’est au cours d’un bal musette qu’il croise la si belle Marion (Cécile de France). Très vite, ils tombent mutuellement sous le charme de l’autre mais ce n’est que le début de leur relation car chacun d’eux a eu une histoire difficile.

     

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    Personnellement, je trouve que le couple Depardieu/De France assez difficile à concevoir mais finalement après avoir vu Quand j’étais chanteur je me suis fait à cette idée. Une belle histoire portée par 2 interprètes formidables même si l’histoire peut manquer de rebondissements d’autant plus qu’il faut aimer la variété française. Etant donné que le personnage principal chante dans des bals musettes, vous allez avoir droit au meilleur de Michel Delpech ce qui vous changera certainement de la Star Ac’ !

  • Les anges exterminateurs

     

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    Le projet de notre pote François (Frédéric Von Den Driessche) parait assez fou : retranscrire sur le grand écran les plaisirs inavouées et inavouables des femmes. Ce réalisateur n’est d’ailleurs pas au bout de ses peines puisqu’il éprouve déjà les pires difficultés à trouver ses héroïnes. Puis il fait soudain la connaissance de Julie (Lise Bellynk) qui accepte de passer des essais et elle sera vite rejointe par 2 autres partenaires, Charlotte & Stéphanie (Maroussia Dubreuil & Marie Allan). Ce trio diabolique va bouleverser sa vie.

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    Directement inspiré des déboires judiciaires vécues par le réalisateur Jean-Claude Brisseau (Noces blanches), Les anges exterminateurs est assez mystique. Dès les premiers instants, on se dit qu’on va voir quelque chose de peu commun et c’est bien le cas avec un film dont le principal intérêt est de voir les charmantes comédiennes dans leur plus simple appareil. Il y a certainement plus qu’une simple volonté de nous offrir ces parties de jambes en l’air mais ça ne se voit pas !

  • Mélissa P.

     

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    A la voir comme ça, Mélissa (Maria Valverde) est une jeune fille de 15 ans comme els autres. Elle passe son temps avec sa pote d’enfance Manuela (Letizia Ciampa), elle tient un journal où elle écrit ses moindres secrets. A l’adolescence, le corps change et les envies aussi, Mélissa ressent ses choses mais à l’age où de nombreuses filles vivent leurs premiers émois amoureux, elle va vivre une terrible expérience.

     

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    "Mélissa, métisse d'Ibiza a toujours sa vertu…" En voilà une belle chanson qui n’a mais alors rien à voir avec ce film puisqu’on a droit aux mésaventures d’une jeune ado en pleine recherche d’identité sexuelle. Un sujet encore tabou ce qui rend Melissa P. plutôt atypique illustré par des scènes parfois pénibles et qui peuvent déranger ce qui nous change toutefois des productions habituelles. Un film destiné à un public averti et ceux qui ont déjà eu l’occasion de voir le bon Thirteen pourrait être intéressé par ce film.

  • Avida

     

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    Chaque jour la porte s’ouvre pour notre Pote (Gustave de Kervern), lui qui est sourd et muet doit s’occuper des chiens en les faisant notamment jouer avec des poupées. Oui mais voilà que son patron meurt et il finit par s’échapper avant de se retrouver dans un zoo où il fait la connaissance de ses 2 collègues. Le trio finit par mettre au point un plan machiavélique qui consiste à enlever un chien appartenant à une certaine Avida (Velvet) qu’ils échangeront contre une petite rançon de 100 000 euros !

     

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    Je savais que ce film ne serait pas comme les autres et c’est cette singularité qui m’attirait. Après Aaltra, voilà donc la seconde collaboration de Gustave de Kervern & Benoît Delépine et si j’ai apprécié leur première œuvre je ne peux pas en dire autant de celui-ci. Avida, on aime ou on déteste comme le prouve les quelques spectateurs qui ont quitté précipitamment la salle ; pour ma part c’était un peu trop spécial. On retrouve quelques éléments issus de l’univers grolandais mais dans l’ensemble on a à faire à un véritable ovni cinématographique.

  • Thank you for smoking

     

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    Fumer tue ! Nous le savons tous et notre pote Nick Naylor (Aaron Eckhart) encore plus, lui qui est vice-président de l’Académie des recherches sur le tabac et qui est aussi certainement l’une des personnes les plus méprisées au monde. Régulièrement, il doit défendre les intérêts de Big Tobacco face aux nombreux détracteurs et dans ce domaine il se débrouille plutôt bien grâce à des arguments de choc. Les choses pourraient se compliquer quand il croise la route de la journaliste Heather Holloway (Katie Holmes) mais surtout quand le sénateur Ortolan Finistirre (William H.Macy) décide de lui mettre des bâtons dans les roues.

     

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    La bande annonce avait de quoi attirer l’œil avec ce film volontairement cynique et qui vient s’intéresser à l’industrie ô combien prolifique du tabac. Pour tout vous dire, j’avais un peu peur d’avoir une déception à la Lord of war et c’est un peu le cas car si Thank you for smoking sait contourner les codes de la bienséance ; on reste quand même dans un registre assez léger. Reste que l’on nous propose quelques scènes intéressantes mais ce n’est pas avec ça que les fumeurs écraseront leurs cigarettes.

  • Ma super ex

     

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    6 mois !! Voilà 6 mois que notre pote Matt Saunders (Luke Wilson) s’est fait largué et depuis tout ce temps, il n’a rencontré personne jusqu’au jour où…On dit toujours que les plus belles rencontres sont le fait du hasard et c’est dans le métro qu’il va en faire l’expérience en faisant la connaissance de Jenny Johnson (Uma Thurman). Derrière son apparence réservée, cette jeune femme cache un lourd secret puisqu’elle mène une double vie sous le nom de G-Girl, la super héroïne de New York !

     

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    Ivan Reitman, le papa des Ghostbusters signe un nouveau film avec un sujet original et décalé comme il sait si bien les faire. Ces derniers temps, les adaptations de comics se sont multipliés mais personne ne s’était vraiment intéressés à leur vie privée et c’est désormais chose faite. Le thème était riche mais le résultat final est plutôt décevant puisque Ma super ex est assez avare en humour (du moins durant la première partie). Heureusement, il y a de l’amélioration par la suite ce qui en fait un bon divertissement vite fait et pas forcément bien fait.

  • Little Miss Sunshine


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    Notre pote Sheryl (Toni Colette) est soulagée, son frère Franck (Steve Carrell) vient de tenter de mettre fin à ses jours mais on a pu le sauver à temps. Pour le surveiller, il est donc venu vivre dans la famille de sa sœur ; les Hoover où le quotidien est loin d’être triste. Entre Richard (Greg Kinnear) qui prône à qui veut l’entendre sa vision de la réussite, le fils Dwayne (Paul Dano) qui garde le silence depuis 9 mois et un grand-père qui n’a pas la langue dans sa bouche ; la maison ne sombre jamais dans l’ennui. Tout ce beau monde va accompagner la petite Olive (Abigail Breslin) à Redondo Beach pour le concours de Little Miss Sunshine.

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    Je ne me souviens pas avoir vu d’images de ce film mais seulement avoir lu de très bonnes choses dans la presse ce qui a fini de me convaincre de me rendre dans les salles. Ce n’était pas du temps perdu car Little Miss Sunshine porte bien son titre et illuminera sans aucun doute votre journée. Portrait d’une famille américaine pas comme les autres, on est tout de suite séduit par tous ses membres avec lesquels on rit sans retenue. Le sourire éclairera votre visage pendant tout le film et même en sortant, à voir !

  • Fair Play

     

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    Dans le sport comme dans la vie, il faut savoir être prêt à tout pour obtenir ce que l’on veut. Voilà la triste vérité qu’a apprise notre pote Alexandre (Jérémie Renier) quand il a commencé à travailler pour le compte de Charles (Eric Savin), un patron qui use et abuse de son autorité pour exploiter ses employés. En plus de ça, le monde de l’entreprise est un univers impitoyable et il faut se méfier de tout le monde même de ses soi-disant amis notamment de Jean-Claude (Benoit Magimel) qui a des ambitions démesurées.

     

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    Pas vraiment intéressé par ce film, je suis vraiment allé le voir parce qu’il y avait la belle Marion Cotillard et finalement ce n’était pas aussi inintéressant que je le pensais. Une chose est sure, c’est que tout le monde n’appréciera pas Fair Play en raison d’une réalisation particulière puisqu’il n’y a que 6 scènes qui se prolongent dans la durée. Ne serait-ce que pour cette originalité, ce film mérite le coup d’œil mais j’ai encore du mal à comprendre pourquoi le personnage de Jean-Claude est ainsi attifé !