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Lucas Belvaux

  • Pas son genre

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    Clément (Loïc Corbery) est de nouveau célibataire ! Qu’il est difficile pour ce professeur de philosophie d’avoir une relation sur le long terme et pour cause il ne croit pas au mythe de l’amour éternel. Il va pourtant faire une rencontre qui pourrait changer cela. Tout a commencé lorsqu’il a été muté à Arras, son emploi du temps a été regroupé sur 3 jours ce qui lui permet le reste du temps de revenir à Paris. Pourtant c’est bien dans sa nouvelle ville qu’il va faire la connaissance de la charmante Jennifer (Emilie Dequenne), une coiffeuse avec laquelle il ne partage à priori que peu de points communs et pourtant …

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    L’amour est-il plus fort que tout ? Ça pourrait être un sujet à philosopher mais c’est avant tout le thème de ce nouveau film de Lucas Belvaux. Pas son genre c’est ainsi l’histoire de la rencontre de 2 personnes diamétralement opposées par leurs classes sociales ; l’un va à l’opéra avec ses parents tandis que l’autre s’éclate au karaoké (un poil cliché tout ça d’ailleurs !). Si Emilie Dequenne est, comme souvent, rayonnante c’est aussi un plaisir de voir un Loïc Corbery parfaitement taillé pour son personnage reste que leur relation fait un peu du sur-place si bien qu’on a quelques longueurs qui seront brisées par une fin abrupte.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de présenter votre petite-amie quand vous rencontrez des gens !

  • Pas son genre

    A priori, ils n'auraient jamais du se rencontrer. Notre pote Loïc Corbery est professeur de philosophie et Emilie Dequenne est une coiffeuse c'est pourtant un nouveau couple qui va naitre mais leur amour résistera t-il à leurs différences, là où toute la question de Pas son genre de Lucas Belvaux.

    Date de sortie : 30 Avril 2014.


  • 38 témoins

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    La nuit dernière, rue de Paris au Havre ; une jeune femme a été sauvagement assassinée, un calvaire qui semble-t-il n’a alerté personne dans le voisinage. Notre pote Louise (Sophie Quinton) était en voyage en Chine au moment des faits et c’est au lendemain du crime qu’elle a retrouvé son domicile et son fiancé Pierre (Yvan Attal). Ce dernier prétend qu’il était absent et qu’il n’a rien vu ni rien entendu mais hanté par cette nuit d’horreur, il va finir par craquer. Il se présente à la Police Judiciaire en tant que 38ème témoin de l’affaire car il a entendu les cris de la victime tout comme les 37 autres qui eux refusent de voir la vérité en face.

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    Cela parait incroyable et pourtant l’histoire de 38 témoins s’inspire d’un véritable fait-divers qui a eu lieu à New-York en  1964. Une démonstration exécrable de la montée de la lâcheté humaine et d’une société toujours plus individualiste que jamais. Le cinéma de Lucas Belvaux privilégie un rythme posé et met l’accent sur les relations entre les différents personnages si bien qu’on trouve parfois le temps long. On sera toutefois abasourdi par une scène poignante ; celle de la reconstitution où un cri terrifiant vient briser les murs du silence et de la honte. Un film au réalisme saisissant et qui fait froid dans le dos.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de dormir avec vos boules quiès !

  • La raison du plus faible

     

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    Ce n’est vraiment pas la joie pour nos potes Marc, Jean-Pierre & Robert (Lucas Belvaux, Patrick Descamps & Claude Semal). Voilà des mois qu’ils passent leurs journées à jouer aux cartes autour d’une bonne pression ; une routine qu’ils n’ont pas choisie. Auparavant, ils travaillaient dans une usine qui a fermé depuis ce qui a nuit à de nombreuses familles dans la région de Liège. La situation est on ne peut plus difficile. Et si leur rencontre avec Patrick (Eric Caravaca), un ancien braqueur changeait leur vie ?

     

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    Bon, je dois me confesser : ce n’était pas le film que j’étais parti voir mais comme j’étais à la bourre je me suis rabattu là-dessus. Finalement, La raison du plus faible n’est pas inintéressant avec une histoire tirée d’un fait divers et qui nous est servie avec des personnages éminemment sympathiques. A cela s’ajoute une certaine vision de la précarité d’un pan de notre population mais le film a tendance à traîner un peu en longueur bien que la scène finale soit assez plaisante. Une curiosité à voir à l’occasion.