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Premières Impressions 2007 - Page 29

  • Qui m'aime me suive

     

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    C’est la consécration pour notre pote Max Maréchal (Mathieu Demy). Après des années d’efforts et de sacrifice, il est enfin devenu médecin titulaire et pour ne rien gâcher, il a trouvé la femme de sa vie avec Anna (Romane Bohringer). C’est à priori le bonheur le plus complet qui s’offre à lui mais Max a toujours été imprévisible et va nous le démontrer ! Après une formidable cuite, les idées lui sont devenues plus claires : il va tout plaquer pour se remettre à la musique et monter un groupe.

     

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    Qui n’a jamais rêvé de tout plaquer pour se consacrer à sa passion ? Voilà le thème de ce film avec un héros assez attachant, une bonne touche d’humour mais l’histoire est un poil trop linéaire à mon goût. Qui m’aime me suive aurait gagné à nous offrir plus de rythme et surtout davantage de surprises car on finit par s’endormir au fil des minutes. Notons quand même la présence de la toujours très sympathique Julie Depardieu qui apporte un brin de fraîcheur au casting.

  • Echo Park L.A.

     

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    Au sein de la communauté hispanique, le quinzième anniversaire d’une jeune fille est un évènement qu’il faut célébrer dignement. La quinceañera est le moment où celle-ci atteint le statut de femme aux yeux de tous et notre pote Magdalena (Emily Rios) va bientôt franchir ce cap. Hélas, les évènements vont soudainement se précipiter. Quand son père apprend qu’elle est enceinte, il la répudie et Magadalena doit trouver refuge chez son oncle Tomas (Chalo Gonzalez).

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    Il est toujours intéressant de découvrir les coutumes issues d’une autre culture aussi j’ignorais tout de cette quinceañera. Outre cet aspect traditionnel, Echo Park L.A. apporte surtout une touche de modernité en traitant de sujets comme l’exclusion et la différence. De plus, on saluera le jeu de Jesse Garcia interprétant Carlos ainsi que l'ensemble des comédiens qui apportent une véritable authenticité à l’histoire. Dommage cependant que le dénouement soit aussi téléphoné ce qui tend à gâcher le reste.

  • Terreur sur la ligne

     

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    C’est la crise pour Jill Jonhson (Camilla Belle) ! Elle qui a surpris Bobby (Brian Geraghty), son petit ami embrassant une autre fille et de surplus sa meilleure amie Tiffany (Katie Cassidy). Le couple est donc au bord de la rupture mais pour le moment il faut parler et cela coûte cher en forfait ! D’ailleurs, Jill va même être punie pour avoir dépassé allégrement le seuil autorisé et son père la force ainsi à devenir responsable en remboursant ses dettes. La voilà contrainte de faire du baby-sitting dans la somptueuse demeure des Mandrakis, une expérience qui va la traumatiser !

     

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    Dans la famille Film vite fait, mal fait ; je demande le petit dernier, bonne pioche ! Avec une sortie dans une indifférence totale (en même temps ça se comprend), ce film veut hanter vos nuits avec ce corbeau qui s’amuse à traquer de frêles demoiselles. Résultat, on se retrouve avec une héroïne pendue au téléphone pendant la première moitié du film puis dans la seconde elle court en criant pour nous réveiller un peu (si vous avez une petite amie vous savez de quoi je parle). Terreur sur la ligne est vite torché avec une bribe de scénario et le seul intérêt est encore de découvrir la belle maison qui sert de décor à ce fiasco cinématographique !

  • Slevin

     

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    Notre pote Slevin (Josh Hartnett) a le don pour se retrouver au mauvais endroit et au mauvais moment. Après avoir perdu son job et surpris sa petite amie en plein acte d’adultère, il a fait ses valises pour New York où il a décidé de rejoindre son ami Nick Fisher (Sam Jaeger) mais il n’est pas au bout de ses peines ! Sur place, il est agressé avant d’être confondu avec Nick et le voilà dans le bureau du Boss (Morgan Freeman) qui lui réclame une dette colossale. De fil en aiguille, Slevin va devoir se muer en tueur !

     

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    Il est plutôt pas mal ce Slevin même s’il n’est pas inoubliable. On notera tout d’abord une bonne dose d’humour et quelques rebondissements qui ravivent l’intérêt du film. Des éléments de l’intrigue sont disséminés tout au long de l’histoire et tout ce puzzle s’assemble pour nous offrir un dénouement auquel on ne s’attendait pas (enfin un petit pu quand même !). De plus, on a droit à une très belle distribution bien que les stars comme Bruce Willis ou Morgan Freeman sont davantage des personnages secondaires qu’autre chose.

  • Tideland

     

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    Ah l’enfance, c’est une si belle période de notre vie ; on peut jouer avec ses camarades dans le parc, avec des poupées et vivre en toute insouciance. Pour notre pote d’enfance Jeliza-Rose (Jodelle Ferland), la réalité est tout autre ; elle dont les journées se résument souvent à masser les pieds de sa mère junkie ou bien à préparer une dose d’héroïne pour son papa chéri. Heureusement, elle peut toujours compter sur ses amies les poupées dont elle n’a gardé que les têtes mais bientôt elle va vivre une nouvelle aventure !

     

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    Je sais pertinemment que Terry Gilliam est un réalisateur à part dans le cinéma, il a toujours su apporter un esprit propre à lui-même dans ses œuvres (bien que ce ne fut pas flagrant dans Les frères Grimm). Je m’attendais donc à ce que son Tideland soit décalé et effectivement je ne fus pas déçu puisque je suis passé totalement à coté ! Long, insipide et sans véritable scénario ; ce film deviendra soit une œuvre culte soit un navet à vous de vous faire un avis. Pour moi ce fut l’occasion de m’assoupir une bonne dizaine de fois malheureusement le son étant trop fort, je n’ai pu finir ma sieste !

  • Dance with me

     

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    Pierre Dulaine (Antonio Banderas) est un professeur de danse de salon particulièrement doué et apprécié. Quand il décide d’offrir son aide avec des cours de danse à un lycée où de nombreux jeunes sont en difficulté scolaire, cela prête à sourire à commencer par le proviseur  Augustine James (Alfre Woodard). Difficile en effet de faire apprendre les pas mesurés du tango ou du cha-cha-cha à des jeunes élevés aux rythmes du hip-hop. Mais à force de volonté et de patience, il va réussir à inculquer à ces élèves les notions de respect et de dignité.

     

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    Après des films comme Esprits rebelles ou Coach Carter, ce Dance with me n’apporte vraiment aucune originalité. L’histoire vraie d’un homme qui est parvenu à redonner confiance à des jeunes à priori sans avenir à travers la danse de salon. Bon tout ça est bien beau et le film se laisse regarder mais tout est si prévisible et comme c’est du déjà vu, il n’y a pas vraiment d’intérêt à suivre les aventures de Pierre Dulaine si ce n’est pour voir de la danse de salon !

  • Nos voisins, les hommes

     

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    Riton est dans la mouise !! Ce raton laveur parfois inconscient vient en effet de perdre toutes les provisions de l’ours Vincent et s’il ne veut pas finir dans son estomac il va devoir récupérer le tout ! Mission Impossible ? Pas tout à fait puisqu’il va croiser la route de Verne la tortue et de toute sa famille qui sortent justement de leur période d’hibernation. Un réveil non sans surprises puisqu’ils constatent qu’une chose étrange est apparue en plein milieu de leur foret : une haie ! Les humains se sont emparés de leurs terres !!

     

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    Alors que les studios Disney pompent allégrement leurs idées, Dreamworks nous propose un petit long métrage assez drôle avec Nos voisins les hommes. Techniquement, inutile de le répéter c’est beau quant à l’histoire on retrouve des thèmes comme l’amitié, l’amour de la famille ou encore la solidarité pour moraliser les enfants spectateurs. Pour les adultes, c’est le gaspillage et le comportement matérialiste des hommes qui sauteront aux yeux mais ça reste avant tout un petit film d’animation sympathique.

  • Origine

     

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    Dans un lointain futur, notre Terre aura évolué de manière très inquiétante. L’eau, ressource naturelle si précieuse pour la vie des hommes, est désormais sous le contrôle des esprits de la foret. Un monde dans lequel on retrouve Ragna, une force armée décidée à combattre la foret et la Cité Neutre qui veut vivre en paix avec elle. Les évènements se précipitent lorsque le jeune Agito réveille accidentellement Toola, une fille du passé.

     

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    Après les chefs d’œuvre d’Hayao Miyazaki, le cinéma accueille pour notre grand plaisir le premier long métrage des studios Gonzo, particulièrement connus pour la réalisation de séries animées (Samurai 7). On retrouve donc des dessins plutôt sublimes, une animation fluide sans oublier une pincée d’images numériques du plus bel effet avec une histoire aux relents écologiques. On a un peu de mal à entrer dans l’histoire et les personnages apparaissent assez froids mais Origine reste un bon petit film, disons que pour un premier essai de long métrage ils s’en sortent bien !

  • Nos jours heureux

     

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    Quand l’école se termine, il faut bien trouver de nouvelles occupations pour nos chers bambins et quoi de mieux qu’un séjour en colonie de vacances ? Nous allons suivre les péripéties de Vincent Rousseau (Jean-Paul Rouve), le directeur de Ces jours heureux qui a bien du travail. D’une part il faut surveiller les enfants mais également gérer l’équipe d’animateurs et ça ce n’est pas une partie de plaisir !

     

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    Après Camping, voilà un autre film qui sent bon les vacances. Ici, on s’intéresse aux colonies avec tout ce qui s’en suit à savoir les jeux, les premiers amours et surtout les bêtises des enfants. Un film très divertissant grâce à des comédiens qui inspirent la sympathie mais rien d’original dans Nos jours heureux. A réserver peut-être à ceux qui veulent se rappeler du bon vieux temps des jolies colonies de vacances comme dirait mon pote Pierre Perret.

  • Paris, je t'aime

     

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    Paris, ville lumière et réputée également comme l’une des villes les plus romantiques du monde. Il faut dire que la capitale française regorge de beaux lieux avec ses célèbres monuments comme la Tour Eiffel, l’Arc de triomphe sans oublier la diversité des quartiers tels que le Marais, le Quartier latin ou encore la Place de la Bastille. A travers différents personnages et des destins tout aussi diversifiés, vous découvrirez les joies ou les tristesses de l’amour.

     

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    Je trouve le concept super original : développer le thème de l’amour dans la ville de Paris à travers des courts métrages confiés à 18 réalisateurs différents. On rit, on pleure parfois mais Paris, je t’aime ne laisse pas indifférent toutefois la diversité de la réalisation est souvent inégale. Certains courts métrages vous toucheront plus que d’autres en tout cas l’expérience est intéressante et devrait être renouvelée avec d’autres villes comme New York ou Tokyo.