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Keanu Reeves

  • Knock knock

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    Sa femme Karen (Ignacia Allamand) et ses enfants sont partis en week-end pour la plage, notre pote Evan Webber (Keanu Reeves) se retrouve seul à la maison. Cet architecte va en profiter pour travailler en paix mais en cette nuit pluvieuse il va recevoir une visite inattendue. Genesis & Bel (Lorenza Izzo & Ana de Armas) sonnent ainsi à sa porte ; les deux jeunes femmes qui voulaient rejoindre une fête se rendent comptent qu'elles ont été déposées par erreur dans le quartier. Totalement trempées, Evan va les convier à se mettre au chaud en attendant qu'on vienne les chercher mais ce père de famille est loin de se douter de l'horrible nuit qui l'attend car ses deux invitées ne sont pas ce qu'elles prétendent être !

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    On vous a pourtant répété de ne pas ouvrir la porte à n'importe qui ! On a beau s'appeler Keanu Reeves, on n'est pas à l'abri d'une mauvaise visite même si c'est celle de beautés empoisonnées comme Lorenza Izzo & Ana de Armas. Le film d'Eli Roth part donc sur un pitch aussi simple qu'efficace mais on attendait franchement bien plus du réalisateur qui s'est fait connaître avec le sanglant Hostel. Knock knock se contente du minimum syndical ; la prise en otage de ces 2 demoiselles reste en effet étonnamment sage en dehors d'une maison saccagée et d’œuvres d'art dégradées. Pas de doute, c'est la déception qui sonne à la porte !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser votre mari seul pendant la fête des pères !

  • John Wick

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    C’est une épreuve difficile pour notre pote John Wick (Keanu Reeves) qui vient d’enterrer sa femme emportée par la maladie. Le sort semble s’acharner contre lui lorsque 3 hommes font soudainement irruption chez lui pour lui voler sa voiture et tuant au passage son chien, dernier cadeau offert par sa femme. A peine le temps de se remettre de ses blessures, John entend bien récupérer sa Ford Mustang et régler ses comptes avec ceux qui l’on lâchement attaqué. Il apprend rapidement que l’un d’eux se nomme Iosef (Alfie Allen) et qu’il n’est autre que le fils de Viggo Tarasof (Michael Nyqvist), la tête pensante d’une grande organisation criminelle de New York.

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    Si vous cherchez des noises à notre pote Keanu Reeves, vous allez vite le trouver et vous risquez de vous en mordre les doigts ! John Wick n’est pas vraiment un héros, c’est un nettoyeur repenti qui va être forcé de reprendre du service ; ça va faire mal pour ses victimes mais c’est pour notre plus grand plaisir. Pourvu d’un scénario assez classique, la première réalisation du duo de cascadeurs David Leitch & Chad Stahelski se dote en tout cas de scènes suffisamment efficaces pour que le spectateur avide d’action trouve son compte. Bien rythmé avec une bonne dose de fun, il serait dommage de s’en priver.  

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais s’en prendre à un chien !

  • Man of Tai Chi

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    Unique élève de Maitre Yang (Hai Yu), Tiger Chan (Tiger Hu Chen) vient de faire une démonstration de ses talents lors du 23ème championnat Wu Lin Wang. Ça a d’ailleurs tapé dans l’œil d’un certain Mark Donaka (Keanu Reeves) qui va immédiatement solliciter ses services pour ce qui semble être un poste à la sécurité. En réalité, Tiger Chen va découvrir qu’on lui proposer de grosses sommes d’argent pour se battre mais ceci n’est pas dans la philosophie du Tai Chi qu’on lui a enseigné. Cependant, il sera forcé d’accepter cette offre car le temple de son maitre est menacé et qu’il a besoin d’argent pour le remettre aux normes. Il ignore encore la véritable intention de Donaka et surtout que ces combats clandestins vont mener à des combats à mort !

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    Keanu Reeves aime l’Asie et il entend bien nous le prouver avec ce Man of Tai Chi où il apparait à la fois comme acteur mais surtout signe sa première réalisation ! On découvre ainsi un film mêlant intrigue policière et combats d’arts martiaux mais qui se révèle bien loin d’être convaincant. Tout d’abord parce que l’histoire semble écrit d’avance ce qui nous laisse sur notre faim d’autant que la réalisation manque d’ingéniosité comme ce combat dépassé avec effet stroboscopique. Et puis il fait aussi parler du cas Tiger Hu Chen qui se montre plutôt agile mais qui est loin de s’avérer aussi spectaculaire qu’un Jackie Chan, Jet Li ou encore Tony Jaa. Avec tout ça, on a donc un film assez insipide qu’on oubliera très vite !

     

    Il faut le voir pour : Eviter les jobs dans la sécurité !

  • 47 Ronin

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    Dans le Japon féodal. Le pays est divisé en provinces avec à leur tête des Seigneurs soumis à l’autorité du Shogun Lord Asano (Min Tanaka) est l’un d’entre eux. Il y a quelques années de cela, il n’a pas hésité à recueillir un jeune garçon appelé Kaï (Daniel Barber / Keanu Reeves) alors que beaucoup le considérait comme un démon. Les années passent et Kaï a grandi en compagnie de Mika (Arisa Maekawa / Kô Shibasaki), la fille d’Asano une relation laissant petit à petit place à l’amour mais du fait de son rang, ils ne peuvent laisser s’exprimer leur sentiment. La province d’Ako sera toutefois marquée par la disparition de Lord Asano qui a été victime d’un piège et Kuranosuke Oïshi (Hiroyuki Sanada) qui fut son samouraï se chargera de le venger !

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    Le Ronin, c’est le Samouraï qui se retrouve soudainement sans maitre et ce film s’inspire d’une ancienne histoire japonaise ; c’est la minute culturelle car en dehors de ça, il n’y a pas grand-chose à tirer du film de Carl Erik Rinsch. Pour sa première réalisation, il a bénéficié d’une enveloppe incroyable de 175 millions de dollars et on se demande où est passé ce budget. Trop long à démarrer, des personnages transparents, des effets spéciaux perfectibles et des scènes d’action qui manquent de folie font que 47 Ronin se révèle bien loin d’être aussi fun qu’on ne l’aurait imaginé. Il aura beau se déplacer comme un fantôme ou manier les sabres avec habileté, ce n’est vraiment pas avec ce genre de rôle que notre pote Keanu Reeves signera son come-back. A oublier.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la légende des 47 Ronin.

  • Les vies privées de Pippa Lee

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    Quand on la voit aujourd'hui en épouse modèle et en mère attentionnée, on est loin de s'imaginer que Pippa Lee (Blake Lively / Robin Wright) a eu une vie aussi tumultueuse. Il est vrai que sa rencontre avec Herb (Alan Arkin) a été déterminante, elle qui a été délaissée par sa mère avant de vivre des moments encore plus difficiles. Herb lui a permis de retrouver un équilibre et lui a donné 2 enfants mais aujourd'hui Pippa arrive à un âge de sa vie où elle se pose des questions. Des souvenirs ressurgissent tandis que l'arrivée d'un beau jeune homme dans le voisinage ne la laisse pas totalement indifférente.

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    Pippa Lee, une femme épanouie aujourd'hui mais dont le passé a été mouvementé. C'est donc à coups de flashbacks disséminés ça et là au cours du film que l'on découvre une fille délaissée par une mère shootée aux médicaments, chassée ensuite par sa tante lesbienne qui l'a surprise en pleine séance photo sadomasochiste puis en tant que marginale tombée dans l'enfer de la drogue. Avec un tel résumé, on caresse alors l'espoir que cette comédie dramatique pourrait nous séduire mais au final rien de captivant et donc de l'ennui au rendez-vous ! Regrettable surtout à la vue d'un impressionnant casting réunissant Keanu Reeves, Julianne Moore, Winona Ryder, Maria Bello ou encore Monica Bellucci. Les vies privées de Pippa Lee est donc à oublier au plus vite.

     

    Il faut le voir pour : Poser des caméras à la maison pou vérifier que votre femme n'est pas somnambule.

     

  • Le jour où la terre s’arrêta

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    Helen Benson (Jennifer Connelly) s’apprêtait à diner tranquillement avec son fils Jacob (Jaden Smith) lorsque le téléphone sonna. A sa porte, un important dispositif est déployé afin qu’elle soit transportée en urgence dans une des bases de la NASA car l’histoire est en train de s’écrire. Selon les dernières estimations, Manhattan devrait être détruite par l’arrivée d’un objet provenant tout droit de l’espace. A l’heure de l’impact, tout le monde est heureux de constater qu’il ne s’est rien passé et pourtant au cœur de Central Park trône une énorme sphère d’où sort une créature appelée Klaatu (Keanu Reeves).

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    57 ans après le film de Robert Wise, Scott Derrickson nous présente son remake de Le jour où la terre s’arrêta et c’est incroyablement…ennuyeux ! Hormis l’arrivée de la sphère sur la Terre et quelques scènes de destructions assez jouissives, ce n’est pas vraiment le film qui nous en mettra plein les yeux. Si vous parvenez à rester éveillé pendant la 1ère heure du film, vous aurez alors droit au message ridiculement grotesque sur l’avenir de l’humanité. En gros on est de mauvaises personnes, on le sait mais on ne changera que lorsque le pire sera arrivé ; c’est pas nouveau tout ça ! A éviter car une fois dans la salle, on a vraiment l’impression que la Terre s’est arrêté de tourner.

     

    Il faut le voir pour : Echapper aux extra-terrestres qui trainent au McDo du coin.

  • Au bout de la nuit

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    Tom Ludlow (Keanu Reeves) est devenu le grand héros de la ville de Los Angeles. C’est lui qui a retrouvé les 2 jumelles qui avaient été enlevées par des coréens lors d’un assaut qu’il a mené seul. Aucuns témoins du massacre où tous les ravisseurs ont été abattus par légitime défense selon ses dires mais les choses se sont-elles vraiment déroulées comme cela ? Si vous connaissiez mieux l’agent Ludlow et les gars qui l’entourent, vous auriez quelques doutes sur sa version des faits. Sous le commandement du capitaine Jack Wander (Forest Whitaker), ces hommes ont carte blanche pour coincer les criminels quitte à maquiller la vérité.

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    Tiens cela faisait bien longtemps que l’on avait pas vu ce bon vieux Keanu Reeves sur grand écran, un retour au premier plan dans un policier. Plutôt convaincant dans son uniforme de ripoux, Reeves a quand même du mal à capter notre attention pendant plus d’1H40. La faute à un film inégal dans son rythme, pas mal d’action au début pour laisser peu à peu la place à l’analyse psychologique et aux remords d’un flic en quête de rédemption. La conclusion se devine à des kilomètres et nous laisse franchement sur notre faim. Au bout de la nuit est plutôt bien fichu mais manque d’aller véritablement au bout des choses.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais tuer quelqu’un qui est sur le trône, c’est sacré !

  • A scanner darkly

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    Nous sommes en 2013 dans la ville d’Orange County. La guerre contre les narcotrafiquants reste une des priorités des autorités et Bob Arctor (Keanu Reeves) a d’ailleurs infiltré un petit groupe pour démanteler un trafic. Pour cela, il peut compter sur les progrès technologiques et notamment une tenue de camouflage dernier cri qui permet de prendre n’importe quelle apparence. C’est ainsi qu’il rejoint le groupe de Donna Hawthorne, Jim Barris, Ernie Luckman & Charles Freck (Winona Ryder, Robert Downey Jr, Woody Harrelson & Rory Cochrane), parmi eux se cache peut-etre un grand trafiquant.

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    Film de science-fiction tiré de l’œuvre de Philip K. Dick, A scanner darkly attire l’œil de par son aspect visuel. Le réalisateur n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai puisqu’il utilisait déjà cette tehnique d’animation dans Walking life d’autant plus qu’ici il compte un tas de vedettes à commencer par Keanu Reeves. Si graphiquement le film est intéressant, on a beaucoup de mal à entrer dans l’histoire et il vous faudra meme vous accrocher pour tout suivre. Personnellement, j’ai été un peu largué par la trame scénaristique assez complexe ce qui nuit évidemment au plaisir du spectateur lambda que je suis.

  • Entre deux rives

     

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    C’est le début d’une nouvelle vie pour notre pote Alex Wyler (Keanu Reeves) car il vient d’emménager dans cette splendide maison sur le lac de l’Illinois. Ses cartons ne sont pas encore défaits qu’il a déjà du courrier mais il s’agit en fait d’une lettre de l’ancien locataire, une certaine Kate Forster (Sandra Bullock). Cette dernière veut récupérer son courrier rien de plus banal quand on déménage mais un léger détail vient troubler l’histoire : Alex & Kate ne vivent pas à la même époque !

     

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    Le duo Bullock/Reeves on le connaît assez bien puisqu’ils furent les héros du film d’action Speed et on les retrouve cette fois dans un registre bien différent. Voilà donc une histoire d’amour teintée de fantastique qui brille par son originalité (précisons toutefois que ce film est un remake !) et qui saura séduire les spectatrices. Dommage toutefois que le Happy end soit de rigueur mais bon une histoire d’amour finit toujours bien…dans les films et Entre deux rives respecte cette règle.