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Mesrine : L’instinct de mort

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Après son retour d’Algérie, Jacques Mesrine (Vincent Cassel) avait 2 choix : accepter le boulot que son père lui avait trouvé ou se lancer dans des missions au black. C’est avec le soutien de son pote d’enfance Paul (Gilles Lellouche) qu’il commet ses premiers délits ; les hold-up et cambriolage lui permettent de remplir ses poches en un temps record. Très vite, il est présenté à Guido (Gérard Depardieu) et les affaires s’enchainent, un grand criminel est né et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Eternel séducteur, Jacques rencontre Sofia (Elena Anaya) avec qui il va avoir un enfant ; une situation qui le convainc de se ranger mais combien de temps pourra t-il tenir ainsi ?

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Sans conteste l’un des grands évènements du cinéma français de l’année avec cette adaptation de Jean-François Richet de la vie tumultueuse de celui qui fut surnommé L’ennemi public N°1. Pour incarner Mesrine, Cassel ne s’est pas contenté de prendre quelques kilos, il habite le personnage et porte naturellement Mesrine : L’instinct de mort. A la hauteur de ce que l’on attendait et bénéficiant d’un casting des plus prestigieux, on reste un peu sur notre faim ; la seconde partie devrait pouvoir dissiper rapidement cette légère déception. Cela n’empêche pas le fait que ce film fera date dans l’histoire du cinéma français.



Il faut le voir pour : Arrêter de dire "Messerine"

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