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Terrence Howard

  • Sabotage

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    Notre pote John "Breacher " Wharton (Arnold Schwarzenegger) et ses hommes forment l’unité spéciale de la D.E.A. Plus qu’un groupe d’intervention, ils composent une vraie famille mais cette équipe a été suspendue après un dernier coup d’éclat causé à un important cartel. Il y a quelques mois, ils ont en effet découvert un magot de près de 200 millions de dollars qu’ils ont détruit. Cependant, selon certaines sources bien informées, il manquerait 10 millions qui ont certainement rempli les poches de Wharton et de ses gars. Ils font ainsi l’objet d’une longue enquête mais leur équipe va être attaquée et tout porte à croire que le cartel veut régler ses comptes.

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    Schwarzie et un groupe de malabars armés jusqu’aux dents, non ce n’est pas encore The Expendables 3 mais on n’en est pas si loin. Derrière la caméra se cache David Ayer qui nous avait déjà servi son pas si passionnant End of watch et ici c’est un peu la même chose. On a du mal à se passionner pour une histoire mal ficelée tournant au ridicule à la fin. Ce ne sont pas non plus les présences de Sam Worthington ou Terrence Howard qui vont venir relever le niveau car tous les personnages sont caricaturaux au possible. Coté action ça n’en manque pas, c’est plutôt musclé mais on sera surtout marqué par une violence assez crue. Sabotage, oui ba y’a pas à dire le titre est vraiment bien trouvé !

     

    Il fait le voir pour : Eviter les tatouages dans le dos, ça évitera les mauvaises surprises !

  • Le majordome

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    Ce n’était encore qu’un jeune garçon lorsque note pote Cecil Gaines (Michael Rainey Jr. / Aml Ameen / Forest Whitaker) a vu son père abattu d’une balle dans la tête alors qu’il travaillait dans un champ de coton. Quelques années plus tard, il quittera une mère qui a totalement perdu l’esprit depuis ce drame et parvient à trouver un emploi à l’Hôtel Excelsior de Washington avant de rejoindre la prestigieuse Maison-Blanche. En tant que majordome, il aura ainsi l’honneur de servir 8 présidents de Dwight Eisenhower (Robin Williams) à Ronald Reagan (Alan Rickman) en passant par John Kennedy (James Marsden) mais sera surtout le témoin privilégié de l’évolution politique de son pays envers ses concitoyens Afro-Américains.

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     « Le film qui a fait pleurer Barack Obama ». En voilà une belle promotion  pour un film inspiré de la véritable histoire d’Eugene Allen qui aura passé 34 années au sein de la Maison-Blanche. Lee Daniels propose ainsi une incroyable fresque historique à travers le personnage de Cecil Gaines qui se trouve aux premières loges devant l’évolution de la situation des noirs-américains. Impossible de ne pas souligner la performance de Forest Whitaker qui trouve là un rôle phare de sa carrière mais je n’ai pas trouvé dans ce film la dose d’émotions qui réussit à transcender cette œuvre pour la rendre incontournable. Avec son casting fleuve, Le majordome offre une belle histoire qui mérite évidemment d’être partagée sans pour autant nous marquer réellement.

     

    Il faut le voir pour : Réviser l’histoire des Etats-Unis !

  • Sous surveillance

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    L’arrestation de Sharon Solarz (Susan Sarandon) a fait la une de tous les journaux enfin presque. Ray Fuller (Stanley Tucci) aurait bien aimé que l’Albany Sun Times traite ce sujet incroyable puisque le FBI a mis la main sur un des coupables du meurtre d’un officier de police durant un braquage qui remonte à 30 ans ! Sharon faisait partie d’un groupe d’activiste activement recherché et pour éviter qu’un nouveau scoop ne lui échappe, Ray confie donc à Ben Shepard (Shia LaBeouf) de mener son enquête qui ne tarde pas à délivrer ses premiers résultats. Il parvient ainsi à griller la couverture d’un certain Jim Grant (Robert Redford) qui se faisait passer jusqu’à présent pour un honnête avocat.

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    Dans ses premiers instants, le scénario s’avère passionnant puisqu’il revient sur des faits réels et notamment au collectif Weather Undeground particulièrement actif dans les années 1960-70 pour protester contre la guerre au Vietnam. C’est donc à partir d’un évènement qu’on pense isolé que se déclenche un thriller mené par Robert Redford qui signe au passage sa 9ème réalisation. Malgré la richesse que sous-entend l’intrigue, celle-ci se résume finalement en une série de rencontres qui ne parviennent pas à donner plus de relief à Sous surveillance. Suspendu à l’enquête menée par Shia LaBeouf, on se retrouve alors avec un film qui finit par trouver un rythme plutôt linéaire et qu’on a plus tellement envie de surveiller.

     

    Il faut le voir pour : Commencer une nouvelle vie !

  • Dead man down

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    Animé par la vengeance, notre pote Victor (Colin Farrell) est déterminé à tuer Alphonse Hoyt (Terrence Howard). Cela fait des mois qu’il s’est infiltré dans le gang de ce dernier gagnant peu à peu sa confiance et bientôt il pourra passer à l’acte pour rendre sa justice et honorer ainsi la mémoire d’une femme et d’une fille disparues. Il n’avait par contre pas imaginé qu’une de ses voisines le surprendrait alors qu’il se débarrassait d’un élément gênant. A sa grande surprise, Béatrice (Noomi Rapace) n’a pas l’intention de le dénoncer mais veut faire appel à ses services pour éliminer un homme ; celui qui a provoqué un accident de la route et qui l’a défiguré.

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    Avant même que le film démarre, s’immisce un terrible doute avec Dead man down. C’est en effet en apercevant le célèbre logo des studios WWE (pour l’anecdote, on aperçoit le british Wade Barrett) que j’ai vite réalisé que ce film ne risquait pas de voler bien haut et ba vous savez quoi, les premières impressions sont toujours les bonnes ! L’espoir résidait toutefois dans le générique puisque Niels Arden Oplev, réalisateur du Millénium suédois retrouve Noomi Rapace accompagnée de Colin Farrell mais aussi notre Isabelle Huppert nationale. La déception reprend vite le dessus à cause de son scénario peu palpitant et ce ne sont pas les scènes d’action sans panache qui vont nous consoler, on va vite l’oublier !

     

    Il faut le voir pour : Penser à rendre les Tupperwares, ce n’est pas un cadeau qu’on vous fait !

  • Big Mamma

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    Agent du FBI, notre pote Malcolm Turner (Martin Lawrence) est le spécialiste du déguisement et il n’y a encore pas si longtemps, il était méconnaissable en coréen black ! Une nouvelle mission l’attend lui et John (Paul Giamatti) ; ils sont actuellement en planque en Géorgie surveillant une certaine Big Mamma (Ella Mitchell). Cette dernière est le seul parent qu’ils connaissent à Sherry (Nia Long), une femme recherchée pour ses liens étroits avec Lester (Terrence Howard), un dangereux criminel qui vient de se faire la malle. Si au départ, il ne s’agissait que de recueillir des informations, les évènements vont vite obliger Malcolm à tout simplement prendre la place de Big Mamma !!

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    Si certains gags trouveront un certain écho, la majorité s’appuie sur des situations improbables teintées de scatomanie. Plus désolant qu’amusant, Lawrence n’est pas non plus acteur à faire dans la demi-mesure quand il s’agit d’enrober la caricature. Amusant tout au plus pendant 5 minutes, l’humour de Big Mamma est lourd (sans vouloir faire de jeux de mots) et ne cherche d’ailleurs jamais à se renouveler. Une fois averti du niveau de cette comédie, on peut toutefois saluer l’impressionnant travail de maquillage réalisé pour transformer l’acteur. Un personnage qui malgré son manque de glamour va tout de même avoir droit à une trilogie ce qui n’est pas négligeable et qui démontre toute la richesse du cinéma !

     

    En savoir plus sur Big Mamma 2 ?

    En savoir plus sur Big Mamma : De père en fils ?

  • Fighting

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    Tous les jours notre pote Shawn (Channing Tatum) traine dans les rues de New York où il gagne sa vie en revendant de la marchandise mais il ne s'en sort pas vraiment. C'est au terme d'une violente altercation qu'il rencontre Harvey (Terrence Howard), un mec qui vit lui aussi de magouilles et qui lui propose un deal intéressant : un combat clandestin avec 5000 dollars à la clé. C'est une somme qui ne se refuse pas et à la grande surprise de tous, Shawn obtient la victoire et commence à se faire un nom dans le milieu. Cela va l'amener à revoir une vieille connaissance Evan Hailey (Brian J. White) qui était autrefois coaché par le père de Shawn.

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    Distribution de mandales dans Fighting, un film qui excitera surtout les males en manque de testostérone. Un semblant de scénario propulse donc Channing Tatum, jeune homme solitaire et fauché dans des combats qui ne manquent pas de punch. Histoire de rendre cela un peu plus poétique, il va bien sur y avoir une belle romance avec une charmante demoiselle entre 2 bastons. Dommage qu'il n'y ait pas plus d'action car avec ce genre de films on ne s'attend évidemment pas à voir une grande œuvre mais au moins quelque chose de bien bourrin. Rien de nouveau à l'horizon donc, un film qui nous offre ce qu'on attendait ni plus ni moins.

  • Hustle & Flow

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    C’est la merde dans le quartier de notre pote DJay (Terrence Howard) ; pour s’en sortir il faut se battre chaque jour et surtout savoir se débrouiller. Entre quelques deals de dopes, il ramasse également pas mal d’argent en tant que mac…Une vie merdique qui contraste avec la réussite de Skinny Black (Ludacris), rappeur originaire du même quartier mais qui a lui réussi à sortir de cette galère. Quand Djay retrouve Key (Anthony Anderson), un vieux pote d’enfance de la fac sa passion pour la musique, le flow renait et il a bien l’intention de réaliser son rêve ; créer un putain de morceau.

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    Basé sur le schéma du bad boy qui veut trouver sa voie à travers la musique, Hustle & Flow ne manquera pas de vous rappeler 8 Mile qui avait propulsé Eminem sur le grand écran. Si Terrence Howard souffre d’une moindre popularité que le rappeur blanc, il n’en reste pas moins que le comédien incarne avec justesse son personnage. Il faut bien sur ne pas être allergique au hip-hop et au rap et dans ce cas, vous passerez une bonne petite soirée entre potes avec ce film assez agréable qui aura remporté le Prix du public lors du festival de Sundance 2005 !

  • A vif

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    Tout allait dans le meilleur des mondes pour notre pote Erica Baine (Jodie Foster) jusqu’à cette soirée cauchemardesque. Alors qu’elle sortait promener son chien en compagnie de son fiancé David Kirmani (Naveen Andrews), le couple est victime d’une violente agression durant laquelle le jeune homme perd la vie. Après 3 semaines de coma, Erica se réveille mais cet évènement va radicalement changer son existence. Devant la passivité des forces de l’ordre, elle décide de se procurer une arme à feu d’abord pour se rassurer et se défendre mais très vite un sentiment de vengeance la submerge et elle sème les cadavres.

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    Une histoire de vengeance personnelle, ça n’a rien de vraiment transcendant mais il suffit de propulser Jodie Foster en justicière pour en faire un film d’une autre envergure. Mettre en lumière un personnage féminin permet d’apporter une autre sensibilité face à la violence urbaine ; là où un mec aurait provoqué un véritable carnage, le réalisateur Neil Jordan tente une réflexion sur le sens de la justice dans notre  société actuelle. Malgré tout, A vif a bien du mal à déchainer les passions avec une Jodie Foster presque crédible mais surtout à cause d’un déroulement de l’histoire sans reliefs.

     

    Il faut le voir pour : Savoir reconnaitre l’I-Pod d’un délinquant.