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Jeff Bridges

  • Le septième fils

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    Notre pote Tom Ward (Ben Barnes) est quelqu’un de spécial car il est le 7ème fils d’un 7ème fils. D’ailleurs, des pouvoirs se sont manifestés en lui sous la forme de visions ainsi lorsqu’il a vu arriver Maitre Gregory (Jeff Bridges), il savait qu’il devrait le suivre en devenant son apprenti. Cet homme est en fait un épouvanteur c’est-à-dire qu’il combat les créatures de l’ombre et un grand danger menace notre monde. Mère Malkin (Julianne Moore) s’est libérée et sa première victime fut l’ancien apprenti de Gregory ; elle s’apprête maintenant à faire déferler les ténèbres et cela se fera lorsque la lune de sang sera pleine.

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    C’est une nouvelle œuvre d’Heroic-Fantasy qui débarque sur nos écrans avec cette adaptation des livres de Joseph Delaney. Au programme, un jeune homme possédant un grand potentiel, un monde en danger et au milieu de tout ça de la magie, des sorcières, des ogres et j’en passe. Si Le septième fils peut compter sur des scènes d’action plutôt agréables sans pour autant être époustouflantes, la galerie de personnages ne possède pas beaucoup de charme. On croirait notre pote Jeff Bridges débarqué du film R.I.P.D. Brigade fantôme, Ben Barnes n’est pas loin d’être transparent et les méchants de service sont anecdotiques. Un film qui au final ne dispose que de peu d’intérêt et donc on s’en passera volontiers.

     

    Il faut le voir pour : Prendre vos précautions après votre 6ème enfant !

  • R.I.P.D. Brigade fantôme

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    Notre pote Nick Walker (Ryan Reynolds) vient de mourir. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais en réalité elle ne vient que de commencer puisqu’il va se retrouver dans les bureaux du Rest In Peace Department autrement dit la Brigade fantôme. Leur objectif est de neutraliser les monstres qui ont réussi à rester sur Terre et Nick accepte son nouveau rôle en espérant pouvoir revoir ainsi sa femme Julia (Stephanie Szostak). Il ignore encore tout de cet univers qui est le sien désormais mais son partenaire Roicephus Pulsipher (Jeff Gridges) va vite le mettre au parfum et ces 2 flics ne manqueront pas de boulot. Ils sont en effet sur une affaire de vol d’or mais dont l’enjeu est bien plus important qu’ils ne le pensaient.

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    Même si l’idée fait penser aux célèbres Men In Black, R.I.P.D. Brigade fantôme partait sur de bonnes bases pour nous faire passer un bon moment. C’est vrai qu’il était plutôt amusant de voir le duo Bridges / Reynolds partir à la chasse aux monstres avec notamment une belle trouvaille pour bosser incognito. En dehors de ça, pas grand-chose d’autre à signaler ; la comédie sent le réchauffé manquant d’humour, de dérision bref de quoi nous éclater vraiment. De la déception et un sentiment de gâchis devant une comédie qui ne dépassera pas le stade d’un simple amusement et c’est bien dommage.

     

    Il faut le voir pour : Si vous sortez avec une belle blonde, invitez la au restaurant indien.

  • True grit

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    A 14 ans, notre pote Mattie Ross (Hailee Steinfeld) n’a qu’une idée en tête : venger la mort de son père en retrouvant son assassin, un certain Tom Chaney (Josh Brolin). Cette fille au fort caractère va alors engager un Marshal, Rooster Cogburn (Jeff Bridges) pour l’aider à rechercher cet homme mais elle va également croiser la route de LaBoeuf (Matt Damon). Ce dernier est un Texas ranger qui est à la recherche de Chaney depuis un certain temps déjà et il va se retrouver alors associé à Cogburn. Malgré le danger qui les guette, Mattie a bien l’intention de les accompagner car elle tient absolument à faire face au meurtrier de son père.

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    Un bon western, c’est d’abord la présence de "grandes gueules" et en l’occurrence, notre pote Jeff Bridges est tout simplement irrésistible ! Matt Damon vient lui aussi jouer les justiciers à travers un personnage qui amène plus de légèreté à l’histoire et puis il ne faut pas oublier la belle découverte du film avec Hailee Steinfeld plus habitué au petit écran qu’aux plateaux 7ème art. Adapté d’un roman qui a déjà eu sa version cinéma avec 100 dollars pour un shérif et la présence d’un certain John Wayne, True grit est un bon vieux western comme on n’en voit que trop rarement. Le cinéma des frères Cohen ne séduit pas toujours mais là, on ne peut qu’apprécier leur talent !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à avoir du cran !

  • Tron l’héritage

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    Depuis l’étrange disparition de son fondateur Kevin Flynn (Jeff Bridges), la société Encom est devenue une firme au succès colossal. Bien qu’il en soit l’héritier direct, Sam (Garrett Hedlund) s’est toujours refusé à prendre les rênes au grand regret d’Alan Bradley (Bruce Boxleitner), le pote d’enfance de son père. D’ailleurs, celui-ci est venu le voir pour lui faire part d’un évènement curieux ; il a reçu un message d’un bipper vieux de plus de 20 ans. Les clés de la salle de jeu en mains, Sam y et retrouve avec émotions quelques souvenirs d’enfance. Surtout, il découvre le bureau secret où son père effectuait toutes les recherches sur la Grille, ce monde numérique dont il avait tant entendu parler.

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    Séquence nostalgie et émotion pour certains spectateurs qui s’étaient extasié sur Tron, un film sorti en 1982 ! C’est un retour qu’on pourrait presque qualifier de logique au vu des progrès technologies de ces dernières décennies et cette suite est un véritable spectacle de son et lumière avec comme bémol une version 3D pas tout du tout convaincante. Que l’on soit adepte ou néophyte de l’univers de Tron, on est immédiatement happé par cette dimension parallèle si particulière ; on l’est moins par contre au niveau du scénario. Clairement on ira voir Tron l’héritage avant tout pour se faire plaisir aux yeux pour le reste on a jamais été aussi proche du domaine du virtuel.

     

    Il faut le voir pour : Se payer un frisbee pour cet été !

  • Crazy heart

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    Chanteur de country, Bad Blake (Jeff Bridges) a connu son heure de gloire mais aujourd'hui il n'est plus que l'ombre de lui-même. Pour gagner sa vie, il est obligé de donner des concerts aux 4 coins des Etats-Unis et parfois dans des bouges peu recommandables. Pour fuir cette réalité, il s'abandonne à l'alcool et enquille les cigarettes se retrouvant parfois dans un état lamentable. Lors d'un concert donné à Santa Fe, Nouveau-Mexique, on le met en relation avec Jean Craddock (Maggie Gyllenhaal), une journaliste qui souhaite l'interviewer. Dès le premier contact, Jean & Bad Blake sentent qu'il y a quelque chose entre eux deux mais leur relation ne sera pas de tout repos.

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    On ne peut pas dire que la musique Country connaisse beaucoup d'adeptes de ce coté de l'Atlantique et cela pourrait donc dissuader quelques spectateurs de découvrir Crazy heart. L'histoire presque trop belle d'un musicien au fond du trou et qui va retrouver le chemin de la gloire ; un scénario qu'on a malheureusement trop l'habitude de voir. C'est le seul défaut qu'on pourrait reprocher car pour le reste Jeff Bridges incarne à la perfection ce chanteur déchu et ce n'est pas pour rien qu'il a obtenu l'Oscar du meilleur acteur ! Ceux qui avaient apprécié l'excellent Walk the line devraient s'y retrouver.

     

    Il faut le voir pour : Freiner sur la consommation de whisky !

     

  • Les chèvres du pentagone

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    C'est par dépit amoureux que notre pote Bob Wilton (Ewan McGregor) a rejoint l'armée et aujourd'hui il se retrouve en Afghanistan. C'est là-bas qu'il fait la connaissance de Lyn Cassady (Georges Clooney), un nom qui ne lui est pas tout à fait inconnu. Il y a quelques temps, lorsque Bob était encore journaliste, il avait interviewé un homme qu'il croyait fou. Selon ce dernier, l'armée américaine dissimulerait certaines recherches et aurait dans ses rangs des soldats développant d'impressionnants pouvoirs psychiques. Lyn fait parti de ceux-là, sa puissance lui aurait même permis de tuer ... une chèvre !

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    Après avoir vaincu Dark Vador et ses sombres desseins, les Jedi sont de retour pour s'en prendre à de pauvres chèvres !  Vous comprendrez mieux en allant voir cette comédie qui à partir d'un sujet plus ou moins sérieux mais véridique - l'étude des pouvoirs de la psyché humaine- nous invite à vivre des situations rocambolesques. Il y a d'excellentes idées dans Les chèvres du pentagone avec cet humour second degré qui fait parfois mouche mais le film a du mal à tenir sur la longueur. Un rythme haché qu'on mettra sur le compte sur l'inexpérience du réalisateur Grant Heslov qui tourne là son premier film.

     

    Il faut le voir pour : Prendre garde au Dim Mak !!

     

  • Stick It

     

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    Si je vous disais qu’Haley Graham (Missy Peregrym) fut l’une des plus talentueuses gymnastes américaines de ces dernières années, vous ne me croirez peut-être pas. Il est bien loin le temps où elle répétait sans relâche ses chorégraphies, aujourd’hui elle préfère trainer avec ses potes d’enfance dans la rue ce qui l’amène inéluctablement à faire quelques bêtises. Excédée par son comportement, la juge décide de l’envoyer à la Vickerman Gymnastics Academy où elle a tout appris. Une nouvelle opportunité pour elle afin de faire oublier la désillusion vécue lors des jeux olympiques.

     

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    Quand on lit les premières lignes du scénario, on voit tout à faire le genre de film auquel on va avoir à faire et généralement sans surprises. Stick it n’échappe donc pas à cette sacro-sainte règle avec une belle histoire de rédemption saupoudrée d’un soupçon de drame et des dialogues d’un niveau parfois navrant. Pour essayer de se démarquer, la réalisation a mis l’accent sur les images alliant effets spéciaux et acrobaties des gymnastes mais cela ne sauve pas le film de sa médiocrité.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre comment les justaucorps des gymnastes ne remontent pas !