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film - Page 229

  • Fighter

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    Il est surnommé la Fierté de Lowell, son heure de gloire il l’a connu lorsqu’on lui a offert la chance de boxer contre Sugar Ray Leonard et qu’il a réussit à le mettre au tapis. Dès qu’il en a l’occasion, notre pote Dicky Ecklund (Christian Bale) ne manque pas de raconter à qui veut l’entendre son exploit et il est d’autant plus excité qu’actuellement la chaine HBO lui consacre un documentaire sur sa vie. A ses cotés, il y a Micky Ward (Marl Wahlberg), son frère qui est lui aussi boxeur mais qui a davantage la réputation de tremplin que de véritable compétiteur. Managé par sa mère et entrainé par Dicky ; il en a assez de ramasser les coups et aimerait lui aussi lancé sa carrière et cela passe par des décisions difficiles à prendre.

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    A part la saga Rocky et le biopic consacré à Mohamed Ali, l’incursion de la boxe au cinéma se fait plutôt rare et on reçoit donc Fighter tel un terrible uppercut. Coté casting, on a de nouveau un énorme Christian Bale décrochant pour l’occasion l’Oscar du meilleur second rôle masculin. Sa transformation physique est impressionnante et n’est pas sans nous rappeler celle qu’il avait opéré dans The machinist. La prestation de Wahlberg n’est pas en reste, on est captivé par les relations ambigües qu’entretiennent ces deux frères et par les combats de boxe de toute beauté. Un grand film assurément et donc un joli Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à faire de la boxe ; Corps, tête, corps, tête … C’est simple non ?

  • Boy eats girl

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    Pas facile d’avouer ses sentiments, notre pote Nathan (David Leon) en sait quelque chose ! Amoureux de la belle Jessica (Samantha Mumba), il n’a encore jamais osé lui demander de sortir avec lui et pourtant la jeune femme n’est pas insensible à son charme. Alors qu’il lui avait donné rendez-vous pour enfin dévoiler son amour, il la surprend en voiture avec un autre garçon. Un fâcheux quiproquo qui va conduire Nathan, sous l’emprise de l’alcool, à se passer une corde autour du cou pour s’amuser. Puis c’est le drame ! C’est sa mère, qui en rentrant dans la chambre précipite sa mort, mais elle a trouvé un moyen peu orthodoxe pour le faire revenir à la vie.

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    Un énième film de morts-vivants avec cette fois comme victimes une bande d’adolescents en pleine période Premiers baisers. Boy eats girl n’a rien pour nous séduire surtout dans un genre où le niveau de la concurrence est si élevé. On peut juste retenir une scène où les zombies se font hacher menu, véritable déluge d’hémoglobine et de pièces détachées humaines qui satisfera temporairement les amateurs de gore. Au casting, il y a Samantha Mumba que l’on connaissait davantage pour ses chansons et qui est venu on ne sait comment se perdre dans ce navet accompagnée d’autres acteurs de seconde zone. Allez, on oublie vite ce film !

  • Les voyages de Gulliver

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    Cela fait maintenant 10 ans que notre pote Lemuel Gulliver (Jack Black) travaille au service courrier du journal New York Tribune et tout se passait bien jusqu’à l’arrivée d’un assistant. En un rien de temps et avec un certain aplomb, ce dernier réussit à être nommé responsable du courrier et Gulliver voit sa fierté en prendre un sacré coup ! Décidé à aller de l’avant, il tente d’avouer enfin ses sentiments à Darcy Silverman (Amanda Peet), une collègue de bureau dont il est tombé amoureux depuis 5 ans. Hélas, une fois encore le courage lui manque et lui fait faire n’importe comme se faire passer pour un voyageur au talent journalistique caché. Voilà comment, il se retrouve en plein cœur des Triangles des Bermudes, un voyage qu’il n’est pas prêt d’oublier.

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    Sans vouloir faire de jeu de mots navrant (c’est pas le genre de la maison), il n’y a aucun doute à dire que ce film est surtout réservé aux plus petits ! Il n’y vraiment que les enfants qui pourront s’amuser devant les tribulations de Jack Black et ne pas tenir rigueur d’un scénario de la taille d’un lilliputien. Les voyages de Gulliver aurait pu être une bonne distraction familiale notamment en développant un peu plus le "Gulliverse" que se crée le personnage au lieu de quoi, on a préféré s’en tenir à des vannes vues et revues. A réserver à ceux qui veulent découvrir l’univers du personnage crée par Jonathan Swift, mais cette adaptation contemporaine est loin d’être extraordinaire.

     

    Il faut le voir pour : Savoir se servir d’une envie pressante pour sauver des vies.

  • Toy Story 2

    Mes amis, c’est la catastrophe !

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    theodore3.JPGWoody a disparu ! En fait, il a été volé par un homme sans scrupules qui semblait absolument vouloir ce jouet. D’ailleurs vous le connaissez surement ; c’est ce vendeur de jouets qui fait la publicité de son magasin actuellement à la télévision celui où un homme est déguisé en poulet.

     

    En fait, c’est un collectionneur de jouets et apparemment Woody doit avoir beaucoup de valeur à ses yeux. Quoi qu’il en soit, il faut absolument qu’on parte à la recherche de notre pote Woody et qu’on le ramène à la maison avant le retour d’Andy de son camp de cowboy.

     

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    Inutile de vous dire que nous allons devoir faire face à mille et un dangers mais foi de Buzz l’éclair, je serais toujours là pour vous protéger !

     

    En route tout le monde, vers l’infini et au delàààààà !

     

    En savoir plus sur Toy Story 2 ?

  • Toi, moi, les autres

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    Après toute une soirée à jouer au poker, notre pote Gabriel (Benjamin Siksou) a pris le volant de sa belle décapotable et un moment d’inattention a suffit pour provoquer un accident. Il a effectivement légèrement touché un petit garçon qui traversait la rue et décide alors de l’accompagner à l’hôpital d’autant plus que sa grande sœur Leila (Leila Bekhti) lui a tapé dans l’œil. Pourtant tous deux évoluent dans des mondes complètement opposés ; Gabriel est issu d’un milieu aisé et s’apprête à épouser une jeune femme d’une grande famille tandis que Leila bataille pour obtenir le diplôme d’avocat qui changerait sa vie.

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    Il est terriblement rare de voir des comédies musicales dans le cinéma français actuel aussi la curiosité est de mise avant de découvrir le film d’Audrey Estrougo. Un pari osé qu’elle tente avec Benjamin Siksou qui s’est fait connaitre pour avoir participé au télé-crochet La nouvelle star et Leila Bekhti qui avait poussé la chansonnette dans le rafraichissant Tout ce qui brille. Il y a malheureusement pas mal de défauts ; un manque d’homogénéité dans les performances voire de la déception (la chorégraphie avec les figurants en Sari aurait mérité plus qu’un plan de 15 secondes) et puis surtout une histoire trop légère. Une bonne comédie musicale se doit de nous transporter et nous faire rêver hélas, Toi, moi, les autres reste très terre-à-terre !

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre entourage de vous faire une belle chorégraphie le jour où vous aurez votre diplôme !

  • Jewish connection

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    Notre pote Sam Gold (Jesse Eiseinberg) avait le profil du gendre idéal ; il aidait son père à la boutique tout en suivant assidument les préceptes de la Torah. D’ailleurs, on lui prédisait un avenir radieux, il était destiné à devenir prochainement Rabbin et à épouser la belle Zeldy Lazar (Stella Keitel). Hélas, Sam s’est laissé entrainer dans une drôle de combine par son voisin Yosef Zimmerman (Justin Bartha) et perd peu à peu le sens des réalités. On lui propose en effet un job en or : transporter des médicaments de l’Europe vers les Etats-Unis seulement il apprendra très vite qu’il s’agit en réalité de drogues. Obnubilé par l’argent brassé par ces affaires, le jeune homme va multiplier les voyages et même devenir un maillon essentiel de ce trafic.

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    Inspiré d’un véritable fait divers, l’histoire de Jewish connection a de quoi faire sourire dans un premier temps puisqu’on y découvre un trafic de drogues mené par des juifs orthodoxes. C’est donc ce décalage entre ce business et les principes hassidiques qui fonde l’histoire mené par le toujours brillant Jesse Eisenberg et secondé par un Justin Bartha plus discret. On ne peut pas dire qu’il s’agit là d’un film inoubliable, à l’image d’un fait divers on pourra s’y s’intéresser pour la singularité de son scénario. Ce n’est donc pas le grand rendez-vous qu’on attend forcément en se rendant au cinéma mais si vous avez juste envie de vous changer les idées alors c’est plutôt un bon choix.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de ramener des "médicaments" dans votre valise !

  • Halal police d’état

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    Une série de meurtres frappe actuellement Paris visant des épiceries arabes dans le quartier de Barbès (… Rochechouart !) et parmi les victimes, on compte la femme d’un diplomate algérien. Pour prêter main forte à la police française, l’Algérie a donc décidé d’envoyer 2 agents malheureusement, le hasard a désigné Nerh-Nerh (Ramzy Bedia) et son pote d’enfance le Kabyle (Eric Judor) ; 2 flics disons … décalés. Leur arrivée ne passe pas inaperçue notamment auprès de leurs collègues français, avec leurs méthodes made in Bled ils ont bien l’intention de démasquer ce tueur. Très vite, Nerh-Nerh fait preuve d’un sens de déduction hors-norme en rapprochant les meurtres au tableau de la cène … vraiment ?

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    Lorsque le duo Eric & Ramzy se réunit au cinéma, c’est forcément pour nous faire rire et c’est vrai qu’Halal police d’état aurait pu être une bonne comédie. Les idées ne manquent pas mais exploitées de manière trop désordonnées pour avoir leurs effets. Le film de Rachid Dhibou s’embourbe dans son 2ND degré jusqu’à donner un humour vraiment pataud comme cette scène chez le tatoueur qui nous met plus mal à l’aise qu’il ne fait rire. Le réalisateur s’est laissé dépasser pour son premier long métrage, le duo lui s’est contenté de faire ce qu’il savait faire de mieux à savoir assurer le show. Grosse déception, on ne s’amuse même pas devant une comédie qui rejoint les abimes du genre.

     

    Il faut le voir pour : Vous méfier de vos potes asiatiques … surtout après 17 heures.

  • La petite chambre

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    Notre pote Rose (Florence Loiret-Caille) vient juste de reprendre son travail d’infirmière à domicile après une absence douloureuse. Son mari Marc (Eric Caravaca) et elle attendaient un enfant, malheureusement après 8 mois de grossesse cela s’est achevé sur une tragédie dont ils ont encore du mal à se remettre. Parmi ses visites, Rose s’occupe d’Edmond (Michel Bouquet), un vieil homme peu commode qui n’accepte pas le fait de voir son fils, et son seul lien familial, partir s’installer prochainement aux États-Unis. L’infirmière va se prendre d’affection pour son patient jusqu’à l’installer chez elle.

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    La petite chambre est un film centré sur la solitude, celle des personnes âgées tout d’abord que l’on confie aux hôpitaux et autres maisons de retraite. Puis il y a celle d’une femme désespérée, une mère déchirée par la disparition d’un enfant dont elle n’a pu faire le deuil. Même si l’on regrette que le regard porté par la réalisatrice n’ait pas su toucher véritablement notre corde sensible ; on ne peut pas passer sous silence les remarquables prestations de Florence Loiret-Caille qui confirme la surprise qu’elle avait provoqué dans La dame de pique et l’émouvant Michel Bouquet. Le film trouve le ton juste mais fait preuve d’un manque évident de personnalité, un défaut qu’on mettra sur le compte d’une première réalisation pour Stéphanie Chuat & Véronique Reymond.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de bouffer les plateaux-repas des personnes âgés.

  • Sex friends

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    Entre Emma & Adam (Natalie Portman & Ashton Kutcher) tout a commencé il y a 15 ans lorsqu’ils étaient en colonie de vacances et que le jeune homme a romantiquement proposé de lui mettre un d…. Bref, des années plus tard, le hasard a fait qu’ils se sont rencontrés de nouveau et quelques jours plus tard, notre pote Adam s’est réveillé totalement nu à l’appartement d’Emma qu’elle partage avec plusieurs colocataires. De fil en aiguille, ils finissent par coucher ensemble mais se mettent d’accord dès le départ ; leur relation sera exclusivement sexuelle et il n’y aura jamais de sentiments entre eux. Plus facile à dire qu’à faire !

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    Quelqu’un aurait-il oublié d’annoncer au réalisateur Ivan Reitman que nous étions désormais en 2011 ? On peut se poser la question devant Sex friends, une comédie éculée avec son scénario prévisible à la simple vue de son affiche. Ashton Kutcher reste abonné au rôle de playboy de service et creuse progressivement sa tombe à Hollywood quant à la charmante Natalie Portman, on préférera amplement sa prestation en danseuse étoile dans Black swan. Le genre de film qui n’invente rien et qui ne mérite vraiment pas qu’on se déplace dans les salles obscures pour le voir !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de présenter votre copine à votre père.

  • Sars War

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    Le virus Sars est en train de décimer des populations entières en Afrique mais que l’on se rassure ; il n’y a aucune chance qu’il arrive en Thaïlande ! Tel est le discours officiel des autorités mais en réalité, c’est un simple moustique qui va propager le virus et transformer ses victimes en des espèces de zombies. Pendant ce temps, une jeune femme du nom de Liu (Phintusuda Tunphairao) a été kidnappée er ne sera rendue qu’en échange d’une énorme rançon. Refusant de se soumettre à cet odieux chantage, son père décide d’engager le formidable Khun Krabii (Suppakom Kitsuwan) pour la libérer.

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    Une véritable perle de nanar ! Si le titre est trompeur puisqu’il ne s’agit pas d’une parodie de la célèbre saga de George Lucas, Sars War tient en revanche ses promesses en matière de film complètement déjanté. On a parfois l’impression d’être devant un délire japonais et pourtant voici bel et bien un produit du cinéma thaïlandais qui nous avait plutôt habitué à des films d’action. Un long métrage qui ne se prend jamais au sérieux et si certains pourraient le fuir devant un produit aussi consternant, d’un autre coté on se régale tant qu’on en redemanderait presque.